Macky Sall sait dans son for intérieur, qu’il a bel et bien volé toutes les ressources et tout l’argent de l’état sénégalais, qu’il a partagés avec son clan, en particulier, avec son frère, Aliou Sall, veut absoudre ses forfaitures suintantes et utiliser les mécanismes douteux par l’entregent des institutions qu’il tient absoument à asservir pour sa propre cause . Celui qui n’a rien à se reprocher, est impatient d’organiser des élections présidentielles, transparentes, démocratiques, libres et à date échue.
Depuis le regrettable soir, du 25 mars
2012, comme toujours, Macky Sall, qui est fidèle à lui-même, car à chaque décembre, rien n’y fait. L’histoire se répéte, puisque le notoire « affairiste Pétain Noir » est devenu depuis belle lurette, le charlatan qu’il reste, se transforme radicalement de plus en plus un « Guissané kat »- niengo- l’homme décomplexé de la magie noire, ne déroge point à la régle, nous habitue d’une compilation de chiffres alignés, totalement bidon. Les sénégalais scotchés épileptiques perdent leur «Cocc Barma». « Un conte de fée ou magnétisme divin », que j’ai publié, le 18 Août 2012.
2012, comme toujours, Macky Sall, qui est fidèle à lui-même, car à chaque décembre, rien n’y fait. L’histoire se répéte, puisque le notoire « affairiste Pétain Noir » est devenu depuis belle lurette, le charlatan qu’il reste, se transforme radicalement de plus en plus un « Guissané kat »- niengo- l’homme décomplexé de la magie noire, ne déroge point à la régle, nous habitue d’une compilation de chiffres alignés, totalement bidon. Les sénégalais scotchés épileptiques perdent leur «Cocc Barma». « Un conte de fée ou magnétisme divin », que j’ai publié, le 18 Août 2012.
L’homme
de la surcharge pondérale a bien
une peur bleue d’être poursuivi,
demain, devant les tribunaux libres et indépendants. C’est bien cette épée de Damoclès qui pèse sur sa têtte, comme tout lâche de son espèce. Comme dit l’adage, derrière un
menteur, surtout professionnel de classe exceptionnelle, se cache toujours un voleur.
Naturellement, la majorité
des sénégalais qui ont déchanté,
sont heurtés, estomaqués, scandalisés, stoïques, indignés
choqués et outrés devant les esclades massives à répétions de Macky Sall, lequel est passé le maître de classe exceptionelle des menteries
inflationnistes. Les sénégalais
sont déçus de l’homme, présumé de
la rupture- tous « diaxlé ».
Le Farba de
la françafrique, le manipulateur
- « wendi ay cadom »- embellit
son bilan catastrophique, calamiteux-
veut nous faire croire d’un Sénégal qui brille.
Un portrait idylique de la gouvernance ethnique, totalitaire, sans
éthique, ni équité dans laquelle
les mensonges sont devenus une norme.
Macky qui s’était bien engagé à réduire non seulement son mandat
présidentiel de 7 à
5 ans, dés les premiers mois de sa magistrature, mais cerises sur le gâteau, avait certifié la baisse des denrées de
première nécessité qu’il avait pourtant promises,
sont oubliées., fait volte-face et donc s’est
donc désengagé, à faire faux bond aux sénégalais . Il s’est résolu à les trahir publiquement.
Pire, l’homme des
galéjades, s’est dégonflé affreusement à la place publique, en particulier,
la rupture totale, sobre, vertueuse, efficiente, et
transparente, le principal thème de sa campagne électotorale. Une incongruité
qu’on ne saurait passer sous silence.
Alors, le Sénégal sera-t-il, alors, donc au rendez-vous
de l’histoire et à
l’épreuve de la légitime
défense contre «
l’affairiste Pétain Noir », MackySall, le guignol, traitre nègre de
service ?
Demain, c’est
maintenant ! Battre le fer tant
qu’il est chaud. Ne jamais reporter ce qui est bien possible maintenant, pour entrer
dans l’histoire, à l’instar du balai
citoyen du pays des hommes intégres.
Sans la liberté, on ne
peut rien construire de
solide. Entre l’esclavage et la liberté, il n y a qu’une seule option réalisable, rationnelle,
c’est celle de la légitime
défense, face à l’impunité. La
république des fripouilles ne peut
faire l’histoire du Sénégal.
Juridiquement, politiquement, Macky Sall
n’a nullement les prérogatives légitimes de consulter le président de l’Assemblée national et celui du Conseil
constitutionnel sur la question. Tous
les deux sont arrimés et sous botte du tyran de
la platitude du
félon Farba de la Françafrique en chair et en os.
En clair, il n’appartient
pas à l’Asemblée Nationale et au Conseil constitutionnel de trancher sur
la question du référendum. Le calendrier républicain prime sur tout le reste.
Selon l’article 27 de la constitution,
la réduction du mandat présidentiel
ne peut être modifiée que par
voie référendaire.
Le calendrier
républicain est supérieur aux
intérêts partisans mesquins, crypto-personnels.
En aucun cas, il n’est écrit de marbre dans la constitution qu’il
incombe à l’Assemblée Nationale,
encore moins au Président du Conseil constitutionnel de
trancher sur la question vitale,
concernant le référendum en lieu et
place des sénégalais.
Décidément, le
symbole paranoïaque, Macky
Sall, choisit le mois de
décembre, pour bénir,
blanchir ses propres
simagrées et échappées
torrides !
Cloué de s’être enrichi illicitement, Ousmane Ngom, qui a transigé dans le secret des dieux par
la médiation pénale— Fenal—
passe à la caisse. Révélations de haute facture du Grand journaliste d’investigation, Baba Aïdara, gros calibre de la bonne plume alerte. CEY SUNU
Rewmilé !
« Léguétu kessé naxut ay bëy »., autrement dit, la calebasse vide ne saurait
tromper la vigilance des chèvres.
Macky Sall sur
l'affaire Samuel Sarr : « Que personne ne vienne me parler de médiation
». Retournement ou « Fen di dadialé ? ». Comme par harsard, Ousmane
Ngom, Samuel Sarr et Madické niang, Macky a levé leur interdiction de sortie
sur une simple décision administrative du chef de l’exécutif
-« Takhrip »- fait ipso
facto de
jugement, sans que les
juges ne puissent trancher. Pendant ce temps, le député, Omar Sar, qui n’a pas voulu
transvaser à la loge maçonniqe, a
été cueilli chez lui à 5 heures du matin.
Ousmane
Ngom, ex ministre de l’intérieur, déclarait
sans ambiguïté en novembre
2012 : « Macky Sall a
fait preuve d'un
grand banditisme financier
»
Les hommes
politiques changent selon la météo du moment.
Il ne suffit pas de faire de beaux discours. Ce qui
compte, ce sont les
actions concrétes, directes, palpables et visibles sur le terrain
Est-ce donc le cas d’espèce ? Ce type est-il vraiment un batrométre crédible ? Tous sont imbus de leurs propres personnes,
ne roulent que pour leurs intérêts mesquins.
Certainement pas.
Les discours verbeux —
« du réchauffé » — entrent en droite ligne des
écrans de fumée, cosmétiques, dans lesquels les effets d’annonce stériles
par des verbiages taillés,
emphatiques, engendrent l’unique l’échafaudage d’une
rupture écloppée. Ce qui prime
pour les citoyens, ce sont les réalisations, la gestion transparente des affaires de la cité, dont l’éthique,
l’équité constituent le socle fondamental
de toute réelle à l’épreuve des faits tangibles.
De
telles sorties nauséabondes, sont
lamentables. Mais que voulez-vous ? L’ancien ministre n’est pas un cas anodin,
car il y en a beaucoup à la
pelle sur le paysage singulier de la classe politique, désertique,
antipatriotique et majoritairement.
Le 31 décembre est-il donc devenu le puzzle des mystifications bénies à propensions, chez Macky Sall, le schizophréne, symbole maléfique
de la
paranoïa ?
Comme
d’habitude, Macky Sall, le récidiviste
fourbe chevronné, bénit
une fois de plus ses mensonges le 31 décembre 2015 une incongruité abrasive.
Plus il ment, plus, il en rajoute des
couches supplémentaires.
Par Ahmadou Diop CPC
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