mercredi 20 avril 2016

Radio Sunuker présente Emission «Xew Xewi Rewmi» avec Ahmadou Diop du 19 Avril 2016



Macky Sall mérite-t-il vraiment le statut de président de la république ? Jusqu’où ira-t-il donc ? La réponse est évidemment non.
Qu’on le veuille ou non, lorsqu’il s’agit de jouer les plaisantins dans la basse cour du pré-carré de la françafrique, les élites fourbes africaines, s’accordent et s’activent toutes pitoyablement devant leurs maîtres suprémacistes, expansionnistes, blancs, bon teint, au point qu’elles oublieent leurs semblables du côté hexagonal. MAcky Sall, est bien en première loge « de la caste des fonctionnaires africains de la politique ». L’esclandre de la démocratie ethnique, tribaliste, ostensiblement satanique plombe et retarde le développement du Sénégal.
 
Face au malaise social endémique, chronique, qui va en pis, l’homme des dénégations et des reniements, du haut de son piédestal, s’en fout de tout, pille, rafle à tout vent et interdit toute contradiction politique, mais brille par son mutisme coupable sur la question du pétrole et gaz, qu’il s’accapare avec son frère Aliou Sall, lequel «Takrip»- écrabouille tout citoyen libre, face à une justice garde-à-vous et aux ordres, laquelle est bien dévoué, vouée à l’hégémonie d’un chef exécutif, corporatiste, terroriste, lui-même, dans les faits éloquents.
Soyons donc sérieux pour dire que Macky Sall n’est pas la solution du Sénégal. Naturellement en Afrique, la contradiction politique se conçaoit exclusivement par l’abus de la force publique pour faire taire toute opposition toalement résignée, cisaillée, qui abdique par consentement réactionnaire sur toute la ligne.
Soyons aussi conséquents, car le plouque, fourbe, Macky Sall en chair et en os, est-il vraiment la solution d’un Sénégal prospère, émergent et debout avec une diplomatie forte ? Et la gambie, qui est dans l’appendice du Sénégal, tenue d’une main de fer par le dictateur, sanguinaire, Yaya jammeh, putschiste, sert de bases arrières pour des terroristes. Face au mou, le despote des tribulations assassine des sénégalais comme des mouches, s’insurge, s’autorise tout, les divise, qu’il disjoint, les corrompt abondamment à tour de bras, qu’on appelle des soi-disants artistes , alimentaires, présumés panafricains-mon œil-,quémandeurs, oui, chantent sa gloire.
Sur le plan international, on assiste sans discontinuer à une diplomatie lamentable, molle, chancelante, peu réactive, totalement farfelue, voire même inexistente, absente, qui fait profil bas, face à ses responsabilités, lorsqu’il s’agit de défendre ses ressotissants en europe, lesquels en détresse, sont laissés à eux-mêmes et pour compte, pendant ce temps sur le terrain du crime, la république des fripouilles et de la bamboula, bande ses muscles à la moindre fantaisie, continue ses interminables procès judicaires à double standard et à géométrie variable par des coups tordus, selon la tête des clients sélectionnés , qui sont au mauvais endroits, et dont les contours portent en bandoulière des connotations politiques en arrière-plan. Sans prendre partie pour karim wade, qui fut ministre d’état, n’a jamais bénéficié des tribunaux d’exception, mais il est jugé par la crei dite la cour royale de Macky Sall-« l’envoyé Spécial Colonial au Sénégal » en Afrique des élites serviles, toutes alignées par la même puissance colonilale, qui monopolise toutes les parts de marchés et sans appel d’offres.

 
A l’intérieur, pour couronner le tout, on nous sort un chiffre bidon de 6, 50% d’un taux de croissance supposé qui contraste totalement avec la réalité. Mais ce qui est cocasse, c’est que la presse de carpette fait moins de bruit sur le procès de Mimi Touré, suite à la plainte d’Hissène Habré, se déroule le 18 avril 2016, pour avoir fait faux et usage, fasilication de signature pour les cae. L’ex ministre exige son procès par la haute cour de justice, alors que le même traitement a été refusé à karim WADE.
Quel est donc le secret de l’anesthésie généralisée des sénégalais sur le régime le plus scandaleux de toute l’histoire du Séngal par ses dénégations des couches épaisses, alors que sous d’autres cieux, la moindre once de frasque les faisait bondir dans leur gonds ?

 
Le voleur Macky Sall à col blanc continue de bénéficier d’un blanc seing national, malgré l’abondance de son impunité à propension, alors que les milliards de francs cfa qu’il a détournés dans la poche du contribuable sénégalais dorment dans le secret des dieux et dans les paradis fiscaux qu’il massifie avec des comptes ouverts et placés à l’étranger à l’abri des regards indiscrets.

mardi 19 avril 2016

Chronique Macky Sall est-il la solution du Sénégal ? Par Ahmadou Diop CPC


Macky  Sall   mérite-t-il  vraiment  le statut de président de la république ? Jusqu’où ira-t-il  donc ? La réponse est évidemment  non.
Qu’on le veuille ou non, lorsqu’il s’agit de jouer les plaisantins dans la basse cour du pré-carré de la françafrique, les élites fourbes africaines,  s’accordent  et s’activent toutes  pitoyablement  devant leurs maîtres suprémacistes, expansionnistes, blancs, bon teint, au point  qu’elles oublieent  leurs semblables du côté hexagonal. MAcky  Sall, est  bien en première loge « de la caste des fonctionnaires  africains de la politique ». L’esclandre de la démocratie ethnique, tribaliste,  ostensiblement  satanique plombe et  retarde le développement du Sénégal.
Face au malaise social endémique, chronique, qui va en pis,  l’homme des dénégations et des reniements,  du haut de son piédestal, s’en fout de tout, pille,  rafle à tout vent et  interdit toute contradiction politique,  mais brille par son mutisme coupable sur la question du pétrole et gaz, qu’il s’accapare avec son frère Aliou Sall, lequel  «Takrip»- écrabouille tout citoyen libre, face à une justice garde-à-vous et aux ordres,  laquelle est bien dévoué, vouée  à l’hégémonie  d’un chef exécutif, corporatiste, terroriste, lui-même, dans les faits éloquents.
Soyons donc  sérieux pour dire que  Macky Sall n’est pas la solution du Sénégal.  Naturellement en Afrique,  la contradiction politique  se conçaoit exclusivement   par l’abus de la force publique pour faire taire  toute opposition  toalement  résignée, cisaillée, qui abdique  par consentement réactionnaire sur toute la ligne.
Soyons aussi conséquents,  car le plouque, fourbe, Macky  Sall en chair et en os,   est-il  vraiment  la solution  d’un   Sénégal prospère, émergent et debout avec une diplomatie forte ? Et la gambie, qui est dans l’appendice  du Sénégal, tenue d’une main de fer  par le dictateur, sanguinaire, Yaya jammeh,  putschiste,  sert de bases  arrières pour des terroristes. Face au mou, le despote des  tribulations assassine des sénégalais comme des mouches, s’insurge, s’autorise tout, les divise, qu’il disjoint, les  corrompt abondamment  à tour de bras, qu’on appelle des soi-disants artistes , alimentaires, présumés panafricains-mon œil-,quémandeurs,  oui, chantent sa gloire.
Sur le plan international, on assiste sans discontinuer à une diplomatie lamentable, molle,  chancelante, peu réactive,  totalement  farfelue, voire même inexistente, absente,   qui fait profil bas, face à ses responsabilités, lorsqu’il s’agit de défendre ses ressotissants en europe,  lesquels en détresse,  sont laissés à eux-mêmes et pour compte, pendant ce temps sur le terrain du crime, la république des fripouilles  et de la bamboula,  bande ses muscles à la moindre fantaisie, continue ses interminables procès judicaires à double standard et  à géométrie  variable par des coups tordus,  selon la tête des clients sélectionnés , qui sont au mauvais endroits, et dont les contours portent  en bandoulière des connotations politiques en arrière-plan.  Sans prendre partie pour karim wade, qui fut ministre d’état, n’a jamais bénéficié des tribunaux d’exception, mais il est jugé par la crei dite la cour royale de Macky Sall-«  l’envoyé Spécial  Colonial au Sénégal » en Afrique des élites serviles, toutes alignées par la même puissance colonilale, qui  monopolise toutes les parts de marchés et sans appel d’offres.
A  l’intérieur, pour couronner  le tout, on nous sort un chiffre bidon de 6, 50% d’un taux de croissance  supposé qui contraste totalement avec la réalité. Mais ce qui est cocasse,  c’est que la presse de carpette fait moins de bruit sur le procès  de Mimi Touré,   suite à la plainte d’Hissène Habré, se déroule le 18 avril 2016, pour avoir  fait faux et usage, fasilication de signature pour les cae. L’ex ministre  exige son procès  par la haute cour de justice, alors que le même traitement a été refusé à karim WADE.
Quel est donc le secret  de l’anesthésie généralisée des sénégalais sur le régime le plus scandaleux de toute l’histoire du Séngal par ses dénégations  des couches épaisses, alors que sous d’autres cieux, la moindre once de frasque les faisait bondir  dans leur gonds ?
Soyon  aussi conséquents !  Le voleur  Macky Sall à col blanc continue de bénéficier  d’un blanc seing national, malgré l’abondance  de son impunité à propension, alors que les milliards de francs cfa  qu’il a détournés dans la poche du contribuable sénégalais dorment dans le secret des dieux et  dans les paradis fiscaux qu’il massifie avec des comptes ouverts et  placés à l’étranger à l’abri des regards indiscrets.
Et les  zones d’ombre  entre Arcelor Mittal- qui a déboursé  72, 20 milliards de francs  cfa en septembre  2014  entre autres, la longue  liste non exhaustive des mêmes patronymes des postes de nomination  Tan Sa Boula Nex- et  à caractère ethnique   de Macky Sall, non encore  élucidés ?  Pétrole et gaz ou le scandale qui éclabousse  Macky  Sall et Aliou Sall.
Le seigneur du Tchad, Idriss Déby, qui est  au pouvoir en 1990, suite à un coup d’Etat, soutenu par la France.  Quoique l’on puisse dire,   le maître  du Tchad apparaît, triomphaliste et  obtiendrait  à tous les coups et systèmatiquement des scores fantasmagoriques, comme tout despote endurci.  En Afrique des  fascistes les scrutins   ne sont  qu’une simple formalité administrative.
Pendant  que les parodies judiciaires dissidents   contre Hissène continuent  dans le temple  obscurci du népotisme et des falsificateurs,  déclarés et ceci sous le nez et la barbe des mêmes parrains  bienveillants, qui restent  tous silencieux  sur un régime ethnocentrique, sanguinaire d’Idriss Déby,  lequel reste totalement invisible dans les radars assombris de la cpi suprémaciste blanche pour ne juger que des  indigènes nègres, présumés.
En Afrique, le  poste de président de  la république sous tutelle coloniale s’achète à coups de milliards de Francs  CFA à travers  le  piano américano-français.
 Et la  Haute autorité des collectivités locales  qui  s’apparente à du « réchauffé- Tangal »- en vérité,  c’est le retour du sénat en quelque sorte qui ne dit pas son nom-  tout comme l’était d’ailleurs le cse- Conseil économique et social Sénégal du temps du-pds - qui devient le Conseil Economique, Social et Environnemental- compte 120 personne, dirigé par la transumante Aminata Tall. Le référendum-fourre-tout  est taillé sur mesure par le renégat, faussaire dans l’âme, change son fusil d’épaule, continue sa trajectoire totalitaire par  ses menteries inflationnistes.  Le même  rituel  des changements   sans changements véritables sévit,  car   le dictateur Macky Sall, continue sa trajectoire, totalitaire  pour caser  sa bande de « doungourous » tous convertis, en alimentaires. Cette prétendue haute autorité n’est en définitive qu’une  cour royale des recalés politiques, clientèlistes,  mafieusx, très voraces et boulimiques, qu’il nourrit par la caisse noire,  communément appelée la machine toxique à corruptions massives.

dimanche 17 avril 2016

En Toute Objectivite avec Baba Aidara Journaliste d'Investigation Eclairage sur Petrotim Timis Corpo ou l e plus Grand scandale Grotesqque du Siècle de l’histoire politico-financière du Sénégal









En Toute Objectivite avec Baba Aidara Journaliste d'Investigation Eclairage sur Petrotim Timis Corpo ou l e plus Grand scandale Grotesqque du  Siècle de l’histoire politico-financière  du Sénégal.

Rappel : Ovidiu Tender, l'homme d'Affaires auquel le Sénégal a cédé les deux puits de pétrole Saloum Onshore et Sud Sénégal Offshore, condamné à 12 ans et 7 mois de prison en Roumanie pour fraude, corruption et blanchiment d'argent
 Macky Sall-président de la république du Sénégal & son frère, Aliou Sall s'emparent du pétrole du Sénégal

mercredi 13 avril 2016

Radio Sunuker présente Emission «Xew Xewi Rewmi» avec Ahmadou Diop du 12 Avril 2016


Tout d’abord, constatons les faits matériellement têtus et analysons les rigoureusement ! Depuis l’avénement du triste soir du 25 mars 2012, la particularité des nominations scandaleuses, symbolise la singularité satanique, caractérielle et dangereuse de ce régime avilissant, fondamentalement ethnique de Macky Sall, lequel s’arroge un négationniste, fasificateur, constitue le socle de son magistère estampillé d’apartheid, dans les faits.
C’est quoi donc un falsificateur ? C’est quelqu’un qui falsifie sciemment, altère, dénature l’histoire, les faits, usurpe sa posture, les remodèle à sa façon et s’en proprie, pour tromper et établir sa propre vérité.
Apparemment, quoique l’on puisse dire, par entente directe des non-dits, aujourd’hui, plus hier, la caste politique et militaire (hauts gradés) tous si riches, se sucrent sur le dos de la république, plombent la démocratie et le développement du Sénégal. Cette minorité toute puissante, ploutocratique, militaro-politique, religieuse d’une certaine classe maraboutique bourgeoise et capitaliste cartellisée, qui se tient par le même ombilical, ne défend que leur conscience de classe par la solidarité mutuelle.
Pour arriver à ses fins, l’opportuniste, arriviste, parvenu, , taciturne à l’époque, qui a bien emprunté les mêmes chemins douteux, jadis peint sur des oripeaux victimaires de pacotille, utilise les mêmes recettes , colore sa famille immédiate et privilègie son ethnie, ses produits manufacturés, nocifs, qu’il célèbre, nomme, gratifie, densifie, à des postes de haute stature dans les plus grandes structures de l’état, en leur assurant bassement ipso facto des promotions sociales, taillées sur mesure, avec à l’appui des cv et expériences bidon, gonflés ridiculement et grossièrement corsés, bien embellis, savamment mis en avant pompeusement, alors que tout n’est qu’un amas de rapines, décousu de fond en comble du début à la fin. C’est ça l’habileté d’un falsificateur empesté, né, qui se croit plus futé que l’ensemble des sénégalais réunis.
Et sa bande de servitude, farandole, mercenaire, alimentaire, matelassée, bien attachée, copieusement arroséé par les deniers de l’état, assure le service après- vente des déchets toxiques, se charge abondamment du sale boulot, qui consiste vendre féériquement au public, présumé inculte, les marchandises avariées, de façon à les blanchir vaille que vaille, comme étant des vérités éternelles devant l’étternel, ce qui correspond identiquement aux mêmes méthodes du régime nazi d’Hitler, pour les couvrir à tout prix, en leur attribuant , par ricochet, un caractère légal, transparent, vertueux, sous l’autel d’un miracle baptisé blanc seing de la transprence,-mon œil ! – qui n’est qu’une simple vue, peu crédible. Les mensonges de l’Etat -APR sont devenus, décidément, une norme acceptble dans ce pays étrange et à la renverse.
Nous avons entendu les discours peu glorieux de Mansour Faye, maire de st louis et ministre de l’hydraulique et de l’Assainissement, grommeler piteusement, lorsqu’il occupait le poste de Délégué Général à la Solidarité Nationale : « j’ai des diplômes et suis bien méritant, comme si la méritocratie dans ce pays, se mesure à l’aune des mêmes patronymes substantifs, classés bien distingués, sont les plus compétents, les plus expérimentés que l’ensemble des Sénégalais.
Malheureusement, la majorité des citoyens sénégalais naïfs, n’ont pris jusqu’ci, la mesure de la gravité exceptionnelle de cé régime tortionnairementet totalitairement clanique jusqu’à l’abysse, pour les bouter hors du pouvoir et les réduire au silence.
Sans exagérer, Mamadou sow, colonel, qui franchit toutes les étapes, vaut-il plus que tous les autres officiers-hauts gradés-et à performances égales ou supérieures, pour qu’il ait autant de gratifications et d’égard en l’espace de 4 ans, après l’accession de macky sall, al pulaar au pouvoir en 2012 ?
Lors de la fête de l’indépendance dite de la dépendance d’avril 2016, Mamadou Sow, colonel en septembre 2012, devient subitement, depuis le 1 er juillet 2013-Général de division-chef d’état major des armées- cemga- Général de corps d’armée / (Cinq étoiles), par décret présidentiel.
Le Général est aux anges grâce à la baraka de Macky Sall, qui est devenu le promoteur des manières aléatoires. Selon la vision de la république, des fripouilles, toutes les nominations obéissent nécessairement à des critères cliniquement claniques. Pour dire la vérité, pour avoir sa place au soleil, il faut donc absolument porter des patronymes bien distincts. C’est la régle édictée à l’épreuve des faits. Revisitez sans modération aucune, la liste incommensurable des nominations et vous serez bien éffarés et édifiés sur la nature d’un chef de clan, juge et partie !
Soyons sérieux, courageux et moins dupes, pour rétablir la vérité des faits historiques ! Cette montée fulgurante n’est qu’un écran de fumée qui s’amoncelle.- kuy tague sa mbër dodioum.
Cette compilation tyrannique des décorations magiques en grande pompe,constitue immanquablement le prolongement à propension et en toute logique de la face émergée des nominations aux connotations ethniques- cet enfumage emphatique articulé à la gradiloquence nébuleuse qui en dit long sur une mystification à répétitions d’un magistère aux histoires carambouilleuses, tant les superlatifs et les qualificatifs farfelus sont proportionnels à la marque de fabrique du despote illuminé, qui auréole en termes élogieux, peu crédibles son général, qu’il a crée de toute pièce, comme il existe en Afrique des dictateurs.
Les raisons invoquées : L’argumentaire léger que l’on nous a bien servi, selon lequel cette distinction est une grande première dans l’histoire des armées sénégalaises, pour avoir équipé et modernisé l’Armée jusqu’à hisser le Sénégal au rang de première puissance militaire de la sous-région. Mon œil !
Personne ne peut les nier au risque d’être burlesque, car l’homme décoré, n’est qu’une charpente fabriquée de toute pièce. en toute logique,. Habituellement, dans l’armée, la gratification d’un militaire n’intervient que lorsque si celui -ci est en pleine possession et au top de sa force physique et ses facultés mentales, restent intactes, et non quand il atteint l’âge de 56 ans en 2012 et 60 ans, en 2013, cela apparaît nettement comme étant une molle carcasse. E t C’est suspect. Manifestement la graine avariée ne peut donc produire le contraire et l’effet escompté. « Léguétou kessé Naxout Ay Bëy ».
Les faits probants, qui sont têtus, troublants, établis, parlent d’eux-mêmes. Ce saut rime parfatement avec un ethnocentrisme débridé, sous le magistère bancal, ethnique de Macky Sall.
Rien que du vent. C’est bien l’argent du contribuable,par les emprunts obligatoires et au nom de l’état du sénégal. C’est une façon de dédouaner une nomination décriée, mais cela n’explique nullement pour autant son envol fulgurant, qui résulte incontestablement d’un favoritisme et d’une ruse savamment élaborée pour tromper, croquer les sénégalais et justfier l’injustifiable d’une gouvernance pandémique.
Nous sommes en droit de nous poser des questions légitimes et des interrogations sur de telles nominations qui sont aussi rapides que les éclairs !
Il ne suffit point d’égrener habilement un tableau fallacieux ou d’établir un portrait idylique truffé de tromperies avec des expériences mal ficelées, pour gonfler un parcours enjolivé- qui ne résulte que d’une simple vue de l’esprit, alors qu’au sein de l’armée sénégalaise, il y de jeunes Grands Officiers, indociles, plus guerriers , plus capables, plus valeureux, plus solides, plus calés, qui sont pourvus de diplômes supérieurs, plus soutenus , plus étoffés que l’amplitude ethnique des orientations totalement discriminatoires, alors que tous sont sorties dans les plus grandes écoles de guerres, se taisent par devoirs de réserve.
Décidément, le spectacle permanent, suffocant, continue, pour les beaux yeux d’une gouvernance incurieuse, bancale, compense son incapacité outrancière par ses folies dépensières, tapageuses, inutiles, le tout dans une furie décapante et au nom d’un misérabilismse mystificateur, emphatique et sur fond d’une litanie de contrevérités fumantes à couper le soufle, pendant que les populations, hélas, trinquent, trépassent, sont lassées et laissées pour compte constamment sur le quai, vivent dans la précarité absolue , pataugent, restent les victimes quodiennement frappées par les coups excessifs de la vie chère, qui deviennent de plus en plus intenables, et dont la survie est aggravée par les plans structurels de la banque mondiale et du fmi, qui les maintiennent plutôt dans la misère chronique, galopante, n’ont ni eau, ni électricité, ni la bonne santé.
A quoi servent alors les parades des blindés, sortis de terre, apparemment: restaurés, venus d’ailleurs, on ne sait où et pour quelle missions totalement obscures ? Parlons justement des institutions financières internationales !
Au lendemain de la deuxième guerre mondiale, les accords de bretton woods en 1945 mis sur pied par les vainqueurs, ont permis le développement de la banque mondiale et du fmi- ne sont rien d’autre que des outils de domination ou des entreprises capitalistes,, en bandoulière, constituent incontestablement les prolongements habiles du « colonialisme soft » coûtent beaucoup plus chers aux pays africains francophones- tous alignés, asservis, sattelisés par les même entités expansionnistes- qu(elles ne leur apportent en réalité, alors qu’ielles avaient servi de prétexte pour les aider. Ce qui est clair, c’est que partout où elles interviennent, s’installe et s’étale le marasme social, qui va en pis. C’est la régle. Car le malheur des uns fait le bonheur des autres.
Plus l’Afrique des guignols et des pantins est saccagée, attachée, s’appauvrit davatange, mieux les deux officines internationales, financières, toutes liées aux oligarchies mafieuses, tel un écheveau, se portent bien.
Pis, considérant que la primauté de la force physique infaillible des africains l’emporterait à coup sûr, face à celle des leucodermes par le corps à coprs direct, il fallut donc utiliser des armes sophistiquées, redoutables, imparables par le développement de la mécanique aérienne et sur guidage laser.
C’est efficace et rentable, étant donné que les risques encourus sont très limités. C’est pour cela que Cheikh Anta Diop- la référence par excellence de l’homme noir, la figure de proue, l’emblèmatique scientifique savant, le plus coriace par ses facultés mentales, hors-pair, dont on ne saurait mesurer la capacité extraordinaire, prôner l’édification d’un Etat fédéral continental africain.
Dans «Nations Nègres et Culture », l’éminent Pr Cheikh Anta Diop » y développa son thème favori, qui est toujours d’actulaité. Nous le citons encore : “l’Afrique doit opter pour une politique de développement scientifique et intellectuel et y mettre le prix ; sa vulnérabilité excessive des cinq derniers siècles est la conséquence d’une déficience technique.
Le développement intellectuel est le moyen le plus sûr de faire cesser le chantage, les brimades, les humiliations. L’Afrique peut redevenir un centre d’initiatives et de décisions scientifiques, au lieu de croire qu’elle est condamnée à rester l’appendice, le champ d’expansion économique des pays développés ”.
A L’inverse, les brics libres , indépendants et souverains, à l’endroit et au bon moment, qui ont le réflexe de haut niveau, finalisent parallélement leur spécifique FMI pour leur compte et par la solidarité mutuelle , développent leurs propres économies, bétonnées sur des bases voulues, libres pour assurer leur propre destin, mais ici, nos élites de pacotille satettlisées, préférent s’accorder et s’arrimer bassement sur les escalades massives de l’escarcelle impérialiste, capitalise, divise, clive, pille abondamment, sans état d’âme, recèle toutes les ressources africaines, ce don de dieu, alimente leurs industries lourdes en pleine expansion, renforce, durablement leur hégémonie sur des colonies prétendument indépendantes.
Par Ahmadou Diop CPC

Radio Sunuker présente Emission «Xew Xewi Rewmi» avec Ahmadou Diop du 5 Avril 2016


Quoique l’on puisse dire, le Sénégal est plus que jamais dans l’indépendance de la dépendance !
Sans ornements, l’indépendance du Sénégal n’est que formelle, comme le sont les 13 autres pays africains, tous soumis, mis dans une bouteille
et sous tutelle coloniale française, s’inscrivent parfaitement en toute logique dans la dépendance sytèmatique, versus les prolongations expansionnistes de la France – triomphaliste, omnipotente, garantit la monnaie de la zone Franc CFA, tant sur le plan militaire, économique, linguistique, que politique, monopolise toutes les parts de marchés et sans le moindre appel d’offres. Dans ces conditions, vouloir parler de la souverainté d’un Sénégal, indépendant et libre, prospère, émergent, n’est qu’une pure affabulation mensongère, grotesque, même.

La constitution du Sénégal qui est taillée sur mesure pour un seul homme, ou cette copie certifiée à la V ème république, autorise le président de la république, qui est dans les faits, un monarque de droit divin, juge et partie, punit qui il veut, quand il veut, ditribue à tout vent des bons et mauvais points aux uns et aux autres grâcie le 03 avril 2016, 586 personnes, dont Outaz Taïb, qui a été condamné à 5 ans de prison ferme pour «association de malfaiteurs et escroquerie». Cette liste arbitraire bien choisie, obeit à des crières politiques, non assumés, qu’il définit lui-même à sa propre convenance personnelle. Cette faveur divise qui les sénégalais, cache des allures en bandoulire, qui ne souffrent d’aucune discussion possible.
Or, la grâce présidentielle en France, qui émane de la réminiscence monarchique, napoléonnnienne, est demandée lorsque tous les recours judiciaires ont été épuisés. Les élites actuelles de pacotille brillent toutes dans un mimétisme inexplicable.
L’impunité et l’imposture de la monarchie présidentielle, sémènt la pagaille et l’arnarchie, nous renseignent sur une justice bien attachée, talibanisée, jusqu’à la lie, à qui on dicte ce qu’elle doit faire. Autrement dit, une droiture entortillée, taillable et corvéable à merci. Bref, c’est « le far west de l’état -apr », imprime sa marque de fabrique.
Le même rituel de l’enfumage ignominieux classique continue dans le ciel obscurci de la république des procès, pour faire beau et phagocyter les consciences sénégalaises, présumées oublieuses. La traque tout azimut continue pour parachever le totalitarisme qui tourne à plein régime. Le pétrole et gaz du sénégal sont entre les mains de Macky Sall et son frère, Aliou Sall. N’oublions pas « les affaires jakpot et Salllgate », en autres, les scandales des postes de nommination à caractères ethniques, en sus de l’esclandre Arcelor-Mittal restent totalement invisibles dans les radars aveugles d’une justice aux ordres.
Après l’intronisation de Mansour Faye et maire de St Louis et ministre de l’hydraulique et de l’assainissement, le frère de Marième Faye — elle-même, s’adjuge automatiquement le poste de présidente de la république officieuse du Sénégal.
Quant à Aliou Sall, il s’auto-déclare par des combines politiques et maire de Guédiawaye et président des maires du Sénégal et président, présumé des élus locaux. Nonobstant, qu’il s’est transformé en étrange banquier, outre les 30% du pétrole et gaz de l’état sénégalais. L’homme passe à la vitesse supérieure, crée Sahel Aviation, pour se sucrer sur le dos de la république.
Et Benno Bokk Yaakar, qui est cette bande d’écervelés -Takhrip Andado- Sacc xalissou rewmi- sédoko, suivra sans nul doute la même logique des législatives en 2017 ?
Après la mascarade électorale, place maintenant à la ribambelle des supplétifs mafieux, larbinisés de service et des sinécures ! Rien ne change. Plus c’est gros, mieux les escalades massives passent. C’est la régle des méthodes fascistes, décomplexées. Aucune ligne Maginot n’est dressée contre la servilité en toile d’araignée.
Alors, aussi extraordinaire que cela puisse paraître, pluôt de faire profil bas sur ce qu’il est convenu d’appeler le capharnaüm d’un référendum, la politique de l’esbroufe en permanence, passe comme une lettre à la poste.
Décidément, le ridicule ne tue plus dans ce pays étrange et à la renverse, car la machine chevaleresque toxique des rapines est en jointure avec l’escobarderie suintante, estampillée SS waffen, laquelle est encordée à l’escarcelle de la tyrannie molléculaire apr, représentée en la personne du tonitruant mercenaire, Ousmane DIENG, a élu domicile dans l’avion présidentiel, depuis le regrettable soir du 25 mars 2012. Et qu’en est-il donc du paysage politique, qui est devenu le laboratoire des paradoxes et des alliances contre nature ?
L’ensemble de la classe politique, traitresse, des politcards qui sont tous tenus en laisse, ont mangé dans tous les râteliers par son avilissement, depuis l’indépendance des parodies.
le pays de la téranga de 1963 à nos jours, reste, qu’on le veuille ou non, le ciel obscurci de l’exotisme politique, où tous les coups sont automatiquement permis et ceci aux dépens des citoyens scandalisés, choqués et indignés devant les escalades masives à répétitions de tous les présidents — -monarques, qui se sont succédé jusqu’ici, y compris, d’ailleurs, le dernier venu, qui est pire que tout, malgré l’abondance de ses promesses électorales qu’il a reniées sans vergogne aucune.
Malgré les apparences, le sénégal, ce pays étrange, est largement dominé constamment par des soubresauts et des combines bassement politiciennes, qui sont en constante progression, et sur fond d’un régime présidentiel tout puissant, incarné par de Senghor, l’homme des français, arrêta Mamadou DIA, le Président du Conseil, pour avoir tenté de le renverser, écrit-on.
En vérité, les fameux événements du 17 décembre 1962, n’étaient qu’un stratagème savamment orchesté de toute pièce, pour instaurer définitivement un régime présidentiel. Le pouvoir personnel de Senghor de l’époque se manifestait par l’interdiction systèmatique du multipartisme, constitue une parfaite illustration, car après 20 ans de régne absolu, sans partage, Senghor, l’absolutiste, qui dirigea le Sénégal d’une main de fer, permit à son dauphin, Abdou diouf, premier ministre, d’accéder à la magistrature suprême, le 1er janvier 1981, suite à la modification de l’article 35 de la constitution. Celui-ci a régné 19 ans à la tête de l’état sénégalais.
Malgré l’abondance des dityrambes à sa faveur, Abdou diouf est devenu le président de la république par decret présidentiel de feu Senghor.
Ousmane Tanor Dieng, tout comme son mentor, Abdou Diouf, n’a jamais rien obtenu de lui-même. L’actuel tonitruant secrétaire général du ps n’est pas un cas isolé. Il y en a à la pelle. La plupart des hommes politiques les plus loquaces ne doivent leur posture que grâce à des postes de nomination Tan Sa Boula Nex. Aucun n’échappe à la régle érigée comme système de gouvernance. En toute logique, leurs créateurs appliquent la régle, selon laquelle je vous ai nommés et je vous contrôle tous automatiquement.
S’agissant de l’homme de la francophonie auquel le samedi dernier, la rts, qui a des entournures médiatico- politiques, en bandoulière, et ceci par la baguette magique de Racine Talla Racine, a rendu un hommage, en termes élogieux, complaisants, sous la bienveillance de Macky Sall, lequel est transformé en promoteur népotique, ethnique, pour services rendus au  Sénégal.

Chronique : le Sénégal : l’indépendance de la dépendance ? Par Ahmadou Diop CPC


Quoique l’on puisse dire, le Sénégal est plus que jamais dans l’indépendance de la dépendance !
Sans ornements, l’indépendance du Sénégal n’est que formelle, comme le sont les 13 autres pays africains, tous soumis, mis dans une bouteille et sous tutelle coloniale française, s’inscrivent parfaitement en toute logique dans la dépendance sytèmatique, versus les prolongations expansionnistes de la France – triomphaliste, omnipotente, garantit la monnaie de la zone Franc CFA, tant sur le plan militaire, économique, linguistique, que politique, monopolise toutes les parts de marchés et sans le moindre appel d’offres. Dans ces conditions, vouloir parler de la souverainté d’un Sénégal, indépendant et libre, prospère, émergent, n’est qu’une pure affabulation mensongère, grotesque, même.
La constitution du Sénégal qui est taillée sur mesure pour un seul homme, ou cette copie certifiée à la V ème république, autorise le président de la république, qui est dans les faits, un monarque de droit divin, juge et partie, punit qui il veut, quand il veut, ditribue à tout vent des bons et mauvais points aux uns et aux autres grâcie le 03 avril 2016, 586 personnes, dont Outaz Taïb, qui a été condamné à 5 ans de prison ferme pour «association de malfaiteurs et escroquerie». Cette liste arbitraire bien choisie, obeit à des crières politiques, non assumés, qu’il définit lui-même à sa propre convenance personnelle. Cette faveur divise qui les sénégalais, cache des allures en bandoulire, qui ne souffrent d’aucune discussion possible.
Or, la grâce présidentielle en France, qui émane de la réminiscence monarchique, napoléonnnienne, est demandée lorsque tous les recours judiciaires ont été épuisés. Les élites actuelles de pacotille brillent toutes dans un mimétisme inexplicable.
L’impunité et l’imposture de la monarchie présidentielle, sémènt la pagaille et l’arnarchie, nous renseignent sur une justice bien attachée, talibanisée, jusqu’à la lie, à qui on dicte ce qu’elle doit faire. Autrement dit, une droiture entortillée, taillable et corvéable à merci. Bref, c’est « le far west de l’état -apr », imprime sa marque de fabrique.
Le même rituel de l’enfumage ignominieux classique continue dans le ciel obscurci de la république des procès, pour faire beau et phagocyter les consciences sénégalaises, présumées oublieuses. La traque tout azimut continue pour parachever le totalitarisme qui tourne à plein régime. Le pétrole et gaz du sénégal sont entre les mains de Macky Sall et son frère, Aliou Sall. N’oublions pas « les affaires jakpot et Salllgate », en autres, les scandales des postes de nommination à caractères ethniques, en sus de l’esclandre Arcelor-Mittal restent totalement invisibles dans les radars aveugles d’une justice aux ordres.
Après l’intronisation de Mansour Faye et maire de St Louis et ministre de l’hydraulique et de l’assainissement, le frère de Marième Faye — elle-même, s’adjuge automatiquement le poste de présidente de la république officieuse du Sénégal.
Quant à Aliou Sall, il s’auto-déclare par des combines politiques et maire de Guédiawaye et président des maires du Sénégal et président, présumé des élus locaux. Nonobstant, qu’il s’est transformé en étrange banquier, outre les 30% du pétrole et gaz de l’état sénégalais. L’homme passe à la vitesse supérieure, crée Sahel Aviation, pour se sucrer sur le dos de la république.
Et Benno Bokk Yaakar, qui est cette bande d’écervelés -Takhrip Andado- Sacc xalissou rewmi- sédoko, suivra sans nul doute la même logique des législatives en 2017 ?
Après la mascarade électorale, place maintenant à la ribambelle des supplétifs mafieux, larbinisés de service et des sinécures ! Rien ne change. Plus c’est gros, mieux les escalades massives passent. C’est la régle des méthodes fascistes, décomplexées. Aucune ligne Maginot n’est dressée contre la servilité en toile d’araignée.
Alors, aussi extraordinaire que cela puisse paraître, pluôt de faire profil bas sur ce qu’il est convenu d’appeler le capharnaüm d’un référendum, la politique de l’esbroufe en permanence, passe comme une lettre à la poste.
Décidément, le ridicule ne tue plus dans ce pays étrange et à la renverse, car la machine chevaleresque toxique des rapines est en jointure avec l’escobarderie suintante, estampillée SS waffen, laquelle est encordée à l’escarcelle de la tyrannie molléculaire apr, représentée en la personne du tonitruant mercenaire, Ousmane DIENG, a élu domicile dans l’avion présidentiel, depuis le regrettable soir du 25 mars 2012. Et qu’en est-il donc du paysage politique, qui est devenu le laboratoire des paradoxes et des alliances contre nature ?
L’ensemble de la classe politique, traitresse, des politcards qui sont tous tenus en laisse, ont mangé dans tous les râteliers par son avilissement, depuis l’indépendance des parodies.
le pays de la téranga de 1963 à nos jours, reste, qu’on le veuille ou non, le ciel obscurci de l’exotisme politique, où tous les coups sont automatiquement permis et ceci aux dépens des citoyens scandalisés, choqués et indignés devant les escalades masives à répétitions de tous les présidents — -monarques, qui se sont succédé jusqu’ici, y compris, d’ailleurs, le dernier venu, qui est pire que tout, malgré l’abondance de ses promesses électorales qu’il a reniées sans vergogne aucune.
Malgré les apparences, le sénégal, ce pays étrange, est largement dominé constamment par des soubresauts et des combines bassement politiciennes, qui sont en constante progression, et sur fond d’un régime présidentiel tout puissant, incarné par de Senghor, l’homme des français, arrêta Mamadou DIA, le Président du Conseil, pour avoir tenté de le renverser, écrit-on.
En vérité, les fameux événements du 17 décembre 1962, n’étaient qu’un stratagème savamment orchesté de toute pièce, pour instaurer définitivement un régime présidentiel. Le pouvoir personnel de Senghor de l’époque se manifestait par l’interdiction systèmatique du multipartisme, constitue une parfaite illustration, car après 20 ans de régne absolu, sans partage, Senghor, l’absolutiste, qui dirigea le Sénégal d’une main de fer, permit à son dauphin, Abdou diouf, premier ministre, d’accéder à la magistrature suprême, le 1er janvier 1981, suite à la modification de l’article 35 de la constitution. Celui-ci a régné 19 ans à la tête de l’état sénégalais.
Malgré l’abondance des dityrambes à sa faveur, Abdou diouf est devenu le président de la république par decret présidentiel de feu Senghor.
Ousmane Tanor Dieng, tout comme son mentor, Abdou Diouf, n’a jamais rien obtenu de lui-même. L’actuel tonitruant secrétaire général du ps n’est pas un cas isolé. Il y en a à la pelle. La plupart des hommes politiques les plus loquaces ne doivent leur posture que grâce à des postes de nomination Tan Sa Boula Nex. Aucun n’échappe à la régle érigée comme système de gouvernance. En toute logique, leurs créateurs appliquent la régle, selon laquelle je vous ai nommés et je vous contrôle tous automatiquement.
S’agissant de l’homme de la francophonie auquel le samedi dernier, la rts, qui a des entournures médiatico- politiques, en bandoulière, et ceci par la baguette magique de Racine Talla Racine, a rendu un hommage, en termes élogieux, complaisants, sous la bienveillance de Macky Sall, lequel est transformé en promoteur népotique, ethnique, pour services rendus au  Sénégal.

mardi 12 avril 2016

Chronique : Macky Sall anoblit son Général d’armée Mamadou Sow/ Cinq Etoiles : ou les Dessous des Décorations Magiques en Grande Pompe ? Par Ahmadou Diop CPC



Tout d’abord, constatons les faits matériellement têtus et analysons les rigoureusement ! Depuis l’avénement du triste soir du 25 mars 2012, la particularité des nominations scandaleuses, symbolise la singularité satanique, caractérielle et dangereuse de ce régime avilissant, fondamentalement ethnique de Macky Sall, lequel s’arroge un négationniste, fasificateur, constitue le socle de son magistère estampillé d’apartheid, dans les faits.
C’est quoi donc un falsificateur ? C’est quelqu’un qui falsifie sciemment, altère, dénature l’histoire, les faits, usurpe sa posture, les remodèle à sa façon et s’en proprie, pour tromper et établir sa propre vérité.
Apparemment, quoique l’on puisse dire, par entente directe des non-dits, aujourd’hui, plus hier, la caste politique et militaire (hauts gradés) tous si riches, se sucrent sur le dos de la république, plombent la démocratie et le développement du Sénégal. Cette minorité toute puissante, ploutocratique, militaro-politique, religieuse d’une certaine classe maraboutique bourgeoise et capitaliste cartellisée, qui se tient par le même ombilical, ne défend que leur conscience de classe par la solidarité mutuelle.
Pour arriver à ses fins, l’opportuniste, arriviste, parvenu, , taciturne à l’époque, qui a bien emprunté les mêmes chemins douteux, jadis peint sur des oripeaux victimaires de pacotille, utilise les mêmes recettes , colore sa famille immédiate et privilègie son ethnie, ses produits manufacturés, nocifs, qu’il célèbre, nomme, gratifie, densifie, à des postes de haute stature dans les plus grandes structures de l’état, en leur assurant bassement ipso facto des promotions sociales, taillées sur mesure, avec à l’appui des cv et expériences bidon, gonflés ridiculement et grossièrement corsés, bien embellis, savamment mis en avant pompeusement, alors que tout n’est qu’un amas de rapines, décousu de fond en comble du début à la fin. C’est ça l’habileté d’un falsificateur empesté, né, qui se croit plus futé que l’ensemble des sénégalais réunis.
Et sa bande de servitude, farandole, mercenaire, alimentaire, matelassée, bien attachée, copieusement arroséé par les deniers de l’état, assure le service après- vente des déchets toxiques, se charge abondamment du sale boulot, qui consiste vendre féériquement au public, présumé inculte, les marchandises avariées, de façon à les blanchir vaille que vaille, comme étant des vérités éternelles devant l’étternel, ce qui correspond identiquement aux mêmes méthodes du régime nazi d’Hitler, pour les couvrir à tout prix, en leur attribuant , par ricochet, un caractère légal, transparent, vertueux, sous l’autel d’un miracle baptisé blanc seing de la transprence,-mon œil ! – qui n’est qu’une simple vue, peu crédible. Les mensonges de l’Etat -APR sont devenus, décidément, une norme acceptble dans ce pays étrange et à la renverse.
Nous avons entendu les discours peu glorieux de Mansour Faye, maire de st louis et ministre de l’hydraulique et de l’Assainissement, grommeler piteusement, lorsqu’il occupait le poste de Délégué Général à la Solidarité Nationale : « j’ai des diplômes et suis bien méritant, comme si la méritocratie dans ce pays, se mesure à l’aune des mêmes patronymes substantifs, classés bien distingués, sont les plus compétents, les plus expérimentés que l’ensemble des Sénégalais.
Malheureusement, la majorité des citoyens sénégalais naïfs, n’ont pris jusqu’ci, la mesure de la gravité exceptionnelle de cé régime tortionnairementet totalitairement clanique jusqu’à l’abysse, pour les bouter hors du pouvoir et les réduire au silence.
Sans exagérer, Mamadou sow, colonel, qui franchit toutes les étapes, vaut-il plus que tous les autres officiers-hauts gradés-et à performances égales ou supérieures, pour qu’il ait autant de gratifications et d’égard en l’espace de 4 ans, après l’accession de macky sall, al pulaar au pouvoir en 2012 ?
Lors de la fête de l’indépendance dite de la dépendance d’avril 2016, Mamadou Sow, colonel en septembre 2012, devient subitement, depuis le 1 er juillet 2013-Général de division-chef d’état major des armées- cemga- Général de corps d’armée / (Cinq étoiles), par décret présidentiel.
Le Général est aux anges grâce à la baraka de Macky Sall, qui est devenu le promoteur des manières aléatoires. Selon la vision de la république, des fripouilles, toutes les nominations obéissent nécessairement à des critères cliniquement claniques. Pour dire la vérité, pour avoir sa place au soleil, il faut donc absolument porter des patronymes bien distincts. C’est la régle édictée à l’épreuve des faits. Revisitez sans modération aucune, la liste incommensurable des nominations et vous serez bien éffarés et édifiés sur la nature d’un chef de clan, juge et partie !
Soyons sérieux, courageux et moins dupes, pour rétablir la vérité des faits historiques ! Cette montée fulgurante n’est qu’un écran de fumée qui s’amoncelle.- kuy tague sa mbër dodioum.
Cette compilation tyrannique des décorations magiques en grande pompe,constitue immanquablement le prolongement à propension et en toute logique de la face émergée des nominations aux connotations ethniques- cet enfumage emphatique articulé à la gradiloquence nébuleuse qui en dit long sur une mystification à répétitions d’un magistère aux histoires carambouilleuses, tant les superlatifs et les qualificatifs farfelus sont proportionnels à la marque de fabrique du despote illuminé, qui auréole en termes élogieux, peu crédibles son général, qu’il a crée de toute pièce, comme il existe en Afrique des dictateurs.
Les raisons invoquées : L’argumentaire léger que l’on nous a bien servi, selon lequel cette distinction est une grande première dans l’histoire des armées sénégalaises, pour avoir équipé et modernisé l’Armée jusqu’à hisser le Sénégal au rang de première puissance militaire de la sous-région. Mon œil !
Personne ne peut les nier au risque d’être burlesque, car l’homme décoré, n’est qu’une charpente fabriquée de toute pièce. en toute logique,. Habituellement, dans l’armée, la gratification d’un militaire n’intervient que lorsque si celui -ci est en pleine possession et au top de sa force physique et ses facultés mentales, restent intactes, et non quand il atteint l’âge de 56 ans en 2012 et 60 ans, en 2013, cela apparaît nettement comme étant une molle carcasse. E t C’est suspect. Manifestement la graine avariée ne peut donc produire le contraire et l’effet escompté. « Léguétou kessé Naxout Ay Bëy ».
Les faits probants, qui sont têtus, troublants, établis, parlent d’eux-mêmes. Ce saut rime parfatement avec un ethnocentrisme débridé, sous le magistère bancal, ethnique de Macky Sall.
Rien que du vent. C’est bien l’argent du contribuable,par les emprunts obligatoires et au nom de l’état du sénégal. C’est une façon de dédouaner une nomination décriée, mais cela n’explique nullement pour autant son envol fulgurant, qui résulte incontestablement d’un favoritisme et d’une ruse savamment élaborée pour tromper, croquer les sénégalais et justfier l’injustifiable d’une gouvernance pandémique.
Nous sommes en droit de nous poser des questions légitimes et des interrogations sur de telles nominations qui sont aussi rapides que les éclairs !
Il ne suffit point d’égrener habilement un tableau fallacieux ou d’établir un portrait idylique truffé de tromperies avec des expériences mal ficelées, pour gonfler un parcours enjolivé- qui ne résulte que d’une simple vue de l’esprit, alors qu’au sein de l’armée sénégalaise, il y de jeunes Grands Officiers, indociles, plus guerriers , plus capables, plus valeureux, plus solides, plus calés, qui sont pourvus de diplômes supérieurs, plus soutenus , plus étoffés que l’amplitude ethnique des orientations totalement discriminatoires, alors que tous sont sorties dans les plus grandes écoles de guerres, se taisent par devoirs de réserve.
Décidément, le spectacle permanent, suffocant, continue, pour les beaux yeux d’une gouvernance incurieuse, bancale, compense son incapacité outrancière par ses folies dépensières, tapageuses, inutiles, le tout dans une furie décapante et au nom d’un misérabilismse mystificateur, emphatique et sur fond d’une litanie de contrevérités fumantes à couper le soufle, pendant que les populations, hélas, trinquent, trépassent, sont lassées et laissées pour compte constamment sur le quai, vivent dans la précarité absolue , pataugent, restent les victimes quodiennement frappées par les coups excessifs de la vie chère, qui deviennent de plus en plus intenables, et dont la survie est aggravée par les plans structurels de la banque mondiale et du fmi, qui les maintiennent plutôt dans la misère chronique, galopante, n’ont ni eau, ni électricité, ni la bonne santé.
A quoi servent alors les parades des blindés, sortis de terre, apparemment: restaurés, venus d’ailleurs, on ne sait où et pour quelle missions totalement obscures ? Parlons justement des institutions financières internationales !
Au lendemain de la deuxième guerre mondiale, les accords de bretton woods en 1945 mis sur pied par les vainqueurs, ont permis le développement de la banque mondiale et du fmi- ne sont rien d’autre que des outils de domination ou des entreprises capitalistes,, en bandoulière, constituent incontestablement les prolongements habiles du « colonialisme soft » coûtent beaucoup plus chers aux pays africains francophones- tous alignés, asservis, sattelisés par les même entités expansionnistes- qu(elles ne leur apportent en réalité, alors qu’ielles avaient servi de prétexte pour les aider. Ce qui est clair, c’est que partout où elles interviennent, s’installe et s’étale le marasme social, qui va en pis. C’est la régle. Car le malheur des uns fait le bonheur des autres.
Plus l’Afrique des guignols et des pantins est saccagée, attachée, s’appauvrit davatange, mieux les deux officines internationales, financières, toutes liées aux oligarchies mafieuses, tel un écheveau, se portent bien.
Pis, considérant que la primauté de la force physique infaillible des africains l’emporterait à coup sûr, face à celle des leucodermes par le corps à coprs direct, il fallut donc utiliser des armes sophistiquées, redoutables, imparables par le développement de la mécanique aérienne et sur guidage laser.
C’est efficace et rentable, étant donné que les risques encourus sont très limités. C’est pour cela que Cheikh Anta Diop- la référence par excellence de l’homme noir, la figure de proue, l’emblèmatique scientifique savant, le plus coriace par ses facultés mentales, hors-pair, dont on ne saurait mesurer la capacité extraordinaire, prôner l’édification d’un Etat fédéral continental africain.
Dans «Nations Nègres et Culture », l’éminent Pr Cheikh Anta Diop » y développa son thème favori, qui est toujours d’actulaité. Nous le citons encore : “l’Afrique doit opter pour une politique de développement scientifique et intellectuel et y mettre le prix ; sa vulnérabilité excessive des cinq derniers siècles est la conséquence d’une déficience technique.
Le développement intellectuel est le moyen le plus sûr de faire cesser le chantage, les brimades, les humiliations. L’Afrique peut redevenir un centre d’initiatives et de décisions scientifiques, au lieu de croire qu’elle est condamnée à rester l’appendice, le champ d’expansion économique des pays développés ”.
A L’inverse, les brics libres , indépendants et souverains, à l’endroit et au bon moment, qui ont le réflexe de haut niveau, finalisent parallélement leur spécifique FMI pour leur compte et par la solidarité mutuelle , développent leurs propres économies, bétonnées sur des bases voulues, libres pour assurer leur propre destin, mais ici, nos élites de pacotille satettlisées, préférent s’accorder et s’arrimer bassement sur les escalades massives de l’escarcelle impérialiste, capitalise, divise, clive, pille abondamment, sans état d’âme, recèle toutes les ressources africaines, ce don de dieu, alimente leurs industries lourdes en pleine expansion, renforce, durablement leur hégémonie sur des colonies prétendument indépendantes.
Par Ahmadou Diop CPC