Le
Sénégal est-il en déficit chronique de banques, au point que Macky Sall
en éprouve le besoin de créer une presto illico et dans des conditions
opaques et pour qui et à quelle fin ?
libération
de Karim wade, un exutoire habile pour masquer les scandales à la pelle
et les charrettes de mensonges d’un label de la tyrannie d’un
brigandage et des discoureurs, alimentaires, incultes de la pègre,
ethnique, ségrégationniste d’apartheid, à l’emporte pièce.
Peut-on
parler d’une banque de Dakar ou d’une entreprise familiale
politico-financière avec zones d’ombre. Être ou ne pas être ? Voilà la
question !
Quoique l’on puisse dire, actuellement, la deuxième
alternance-alternoce, n’a pas produit les effets escomptés, malgré les
discours médiatico-poloitiques, emphatiques, inflationnistes.
En
toute connaissance de cause, Macky Sall himself, est indiscutablement
et par définition, un chef de clan partial et un non véritable chef
d’état qui le prouve éloquemment.
Curieusement, le même personnage atypique, qui avait promis le changement, a fait bond à tout le pays.
Dans
ces conditions, nous ne devons pas perdre de vue qu’il doit être
nécessairement la cible, désignée, prioritaire à abattre politiquement.
Pour cela, nous devons accorder tous nos violons, sans voix fausses
notes, en nous mobilisant davatange, pour agir comme un seul homme par
un sursaut national, et en concentrant tous nos efforts par des tirs
groupés, massifs contre lui.
A
mon humble avis, tel doit être le sens de notre combat légitime pour
mettre fin définitivement à l’arbitraire et la tyrannie, qui n’ont que
trop duré, voici bientôt presque 5 ans.
Aussi
extraordinaire que cela puisse paraître, celui qui s'est autoproclamé
l'homme de la rupture sobre, vertueuse, efficiente et transparente,
place son propre frère, aliou sall, un simple journaliste, n’a jamais
écrit le moindre article, visible dans les archives des professionnels
de l’information et de la communication, est bien à la tête de cette
officine totalement troublante.
Depuis
le regrettable soir du 25 mars 2012, les compilations massives de ses
idioties et ses renoncements , vont en pis avec ses reniements, en plus,
se parlent de plus en plus, par les placements décriés des postes de
nomination à connotations ethniques, portent essentiellement les mêmes
patronymes particuliers, qui s’accaprent de toutes structures que compte
l’état du Sénégal, mais pire, la non réduction de son mandat
présidentiel de 7 à 5 ans, qui se traduit par une parodie référendaire,
reste comme une chape de plomb dans la gorge des sénégalais qu’il
piétine au su et au vu de tout le monde. En sus de toutes ses dérives et
ses dénégations exponentielles à la pelle, l’exceptionnel spécialiste
promoteur du népotisme passe à la vitesse supérieure, gracie impunément à
sa propre convenance, Karim wade, en vue d’apparaître comme le clément
pour en tirer et engranger les dividendes politiques de bas étage.
Les dessous de l’établissement qui est entre les mains échappent à tout contrôle de l’état.
Frank
Tim et l’espagnol Cortina, nous dit-on, sont présumés comme étant les
véritables maîtres, servent de paravent, car on peut se demander alors,
ce que fait Aliou Sall, le pâteux, guignol, dans cette affaire.
Bouche
et motus cousue, car Macky Sall n’a jamais communiqué sur cette banque
ténébreuse et les autres scandales, au point que l’illuminé
opportuniste, maire de Guédiawaye autoproclamé, devient subitement par
magie, un financier respectable de classe exceptionnelle, pour jouer les
supposés bons offices, au moment où son propre frère, arrive par
effraction au pouvoir à cause des esclandres de ses milliards F CFA,
sortis de terre on ne sait où et comment ?
L’érection
la plus opaque et dans le secret des dieux d’une telle officine
étrange, scandaleuse, si grave ne semble pas préoccuper outre mesure,
les sénégalais et les organes de contrôle institutionnels et l’Assemblée
Nationale.
Or,
la caractéristique essentielle du paroxysme odieux de la gouvernance
bancale par sa particularité sidérante et monstrueuse, collectionne à
longueur de journées des inepties insurmontables, se mesurent à l’aune
des charrettes de scandales exceptionnelles, passent sous silence et à
la barbe de la servitude de ramassis, très bavards, fait totalement
abstraction sur la rupture estropiée des hypocrites déclarés hautement
toxiques.
Il
faut s’interroger sur le pourquoi et le comment d’une telle entreprise
scandaleuse, dont l’administrateur aliou sall, demeure les oreilles et
les yeux de Macky sall, qui est la fois président de la république et le
secrétaire général de l’apr. Inutile de dire qu’il y a des conflits
d’intérêts évidents.
L’inimitable,
aurait-il donc reçu des milliards F CFA de la part de l’émir Tamim ben
al Thani , via la banque de Dakar, baptisée [BMS] ?
Si
l’accusé karim wade échappe et atterrit à Paris, c’est parce que son
geôlier principal l’a bien voulu, le corrompu, le plus humidifié,
takhrip, a bien organisé sa libération, en échange des pétrodollars de
l’émir du Qatar et sur la bienveillance de la communauté dite
internationale mondialiste de l’arbitraire et de la tyrannie, laquelle a
prêté l’oreille au groupe de travail de l’onu. C’est donc une ruse
savamment élaborée de la sommité mondiale et par l’émir interposé du
qatar. En vérité, la cheville ouvrière de la libération de karim wade
reste le groupe de travail de l’onu agi de façon souterraine.
Qu’on
le veuille ou non, notre radio sunuker, surnommée remarquablement, la
première Africaine en indépendante et libre par sa capacité et sa
faculté mentale est la plus représentative en termes de civilité ,
patriotisme, de crédibilité , d’analyses politiques , objectives,
rigoureuses, raffinées par sa compétence remarquable pour le traitement
équilibré des information, qu’elle décortique, décrypte sans
complaisance, lorsqu’il s’agit des affaires de la cité, cette icône
emblématique exceptionnelle médiatique, la plus charismatique.
Alors,
dans ces conditions notre radio Sunuker FM, toujours fidèle à
elle-même, incorruptible, se distingue par souveraineté absolue, ne
dévie jamais de sa ligne éditoriale, est équidistante par rapport aux
politicards et leurs satellites chiens de garde, lesquels ne pensent
qu’à eux-mêmes par leur nombrilisme disproportionné.
En dehors donc
de notre radio Sunuker, y a t-il vraiment une presse libre,
déontologique, impartiale et patriotique et responsable, et qui prend en
compte les faits et les causes des intérêts supérieurs, incessibles du
Sénégal ?
La réponse est évidemment non, ne souffre donc d’aucune discussion possible.
Naturellement
en politique, tout se tient. Car suite au coup d’état de 1963, opéré
par Senghor, l’homme des français, contre l’honorable sentinelle de la
démocratie parlementaire, le regretté Mamadou Dia, qui fut le président
du Conseil, l’Assemblée nationale a totalement abdiqué sur toute la
ligne pour n’être qu’une caisse de servitude, d’enregistrement de
services , de sinécures et de résonnance au service du régime
présidentiel, tout-puissant, dans lequel le président de la république
imprime par devers in fine sa marque de fabrique, punit , agit contre
vents et marées, grâce à tout vent, amnistie, gracie qui il veut, quand
il veut, à sa propre convenance et à sa cause personnelle, à des fins de
stratégies de politique politicienne.
Depuis
lors, hélas, le journalisme a perdu piteusement sa raison d’être est
plus que jamais sur les attaches du chef de l’exécutif, s’érige en
véritable monarque en vers et contre tous.
Le
métier de journaliste n’est plus une profession de foi, pour défendre
la démocratie, la liberté d’expression et des causes nobles par rapport à
son intime conviction, et qui use de son intelligence et ses
expériences, parfois même il agit au péril de sa vie, comme il en existe
dans les grandes démocraties éloquentes.
Aujourd’hui,
ce métier galvaudé, n’est plus un sacerdoce, mais un gagne-pain,
fourvoyé, dilué de sa substance, se met au service du politiquement
incapable, profanateur, professionnel qui passe tout son temps à mentir
et mentir, comme il respire jusqu’à l’abîme.
Quelle
crédibilité et quelle valeur ajoutée ces pitoyables prétendus
professionnels en la matière, peuvent-ils finalement prouver
matériellement, réellement devant le peuple paralysé, face à leur
avilissement et leur amateurisme, qui vont pis, devant l’histoire ?
Alors
contrairement aux idées reçues, distillées ici où là, et par rapport à
son apparence trompe-l’oeil, ce que l’on appelle avec grandiloquence,
aujourd’hui, et pompeusement, la caste des patrons de presse, coupables,
sont tous des alignés qui roulent pour leurs propres intérêts
matérielles et sur fond de notoriété ou de prestige mal placé, jusqu’à
la lie, sont versés dans l’art de la désinformation, la manipulation par
des dithyrambes cousus de fil blanc.
Il
faudrait que des voix autorisées, plus libres et plus corsées, aient la
sagesse, le courage de faire taire ceux qui prennent en otage les
médias et qui croient détenir l’intelligence, le monopole du verbe et la
rhétorique. Alors que leurs discours ne sont qu’une simple vue de
l’esprit. La Maison de la Presse , APS, le Soleil, La Rts, les médias
publics et privés, périphériques, attachés et tenus d’une main de fer,
laminent et e foule du pied la démocratie, s’alignent bassement sur la
trajectoire du règne d’un régime le plus le scandaleux que notre pays
n’ait jamais connu.
Bref,
ces prétendus spécialistes de l’information et de la communication ne
sont que des gourous de la charogne et des vautours propagandistes,
dégonflés, dévergondés, qu’ils prouvent par leurs mystifications,
torrentielles, surannées, récurrentes, purulentes, et dont la plupart
d’entre entre eux qui s’y logent, ne sont en définitive que des
corrompus, des faussaires, des vers de terre, transmués en lamentables
mercenaires, accroupis, pressureurs, alimentaires, incultes, glissent au
gré du vent, en fonction de leurs propres intérêts crypto personnels ,
selon la météo du moment, se travestissent allégrement en sempiternels
abrutis, transhumants, s’adjugent et s’arrogent par leur nombrilisme et
leur arrogance démentielle, la qualité de rhéteurs, qu’ils ne sont point
; évidemment à dessein de transvaser les citoyens indécis, pour
tromper, coopter le lecteur censé être crédule.
Des
avariés « notabilisés» font étage de leur savoir présagé, démontrent
leurs coquetteries qu’ils vendent aux politiques les plus offrants,
alors qu’en réalité, il ne s’agit que du vent et d’un verbiage immonde,
creux et verbeux, ne reposant sur aucun postulat réel, tangible, si ce
n’est qu’un tissuthèque de mensonges adroits, d’inepties et
d’élucubrations fumeuses, compilées les unes après les autres.
Les
intellectuels altruistes de pure souche, intègres et incorruptibles
n’ont point de tribune pour relayer leurs pensées de hautes qualités,
car non seulement elles sont inécoutables, mais leurs plumes éminemment
corsées alertes, représentent une menace réelle pour la survie des
élites politiques traitresses. La ligne éditoriale qu’ils affichent est
modulable à la demande sur commande recommandée.
Tous
les citoyens libres et indépendants qui écrivent, dénoncent, sont
systématiquement charcutés, traînés dans la boue comme des illuminés ou
des malfrats. Autrement dit, toute capacité de résistance est réduite à
sa plus simple expression, car l’aliénation culturelle expansionniste a
crée dans le substrat sénégalais le complexe d’infériorité.
Libération
de karim Wade : y aurait- il une contrepartie financière, massive à la
banque de Dakar, estampillée BMS- banque de Macky Sall, échappe à tout
contrôle de l’état ?
Où
sont donc les instituts de sondages et la nomenklatura
médiatico-politique qui se déchaînaient et passaient hier leur sale
temps à mesurer la température ambiante, due au climat délétère contre
Abdoulaye wade, décrié, malmené, traîné dans la boue et traité de tous
les noms d’oiseau, se transforment vulgairement, pitoyablement en
carpettes dans leurs trous par leur couardise inégalée ?
Alors,
si nous étions dans une démocratie véritable , transparente et dans un
état de droit qui tourne à plein régime, dans l’hypothèse absolue où il y
aurait des sondages en bonne et due forme, plus de 95 % des sénégalais
interrogés, quelle que soit la date, ne souhaiteraient jamais que macky
sall, le fraudeur, l’affairiste pétain noir, ou l’apostat en chair et en
os de classe exceptionnelle, soit candidat aux prochaines élections
présidentielles de 2019, 2025, 2030 et peut être même au-delà.
Tout
d’abord, examinons donc le ciel obscurci du côté de la Seine, la
référence prophétisée des colonies africaines et des élites attardées,
serviles, cartellisées, toutes sont sous tutelle coloniale par le même
gendarme colonial Selon un institut de sondage bien connu par les
français, datant moins de trois mois, huit Français sur dix ne
souhaitent pas que François Hollande soit candidat en 2017, pour n’avoir
pas tenu ses engagements.
L’histoire
d’un peuple déterminé, composé d’un agrégat d’hommes et de femmes, n’a
de sens où elle se passe et au bon moment de son histoire.
Le
pays de Marianne, qui a une histoire, matériellement tangible, tous les
médias, massivement unis dans leurs cris d’orfraie, libres à l’endroit,
sont tous debout, indépendants, tous unis , sans exclusive , montent au
créneau, parlent d’un même langage, y compris même les instituts de
sondages , jouent immanquablement leur partition, mesurant
quotidiennement sans trêves la température ambiante, tirent à vue et
crachent ce qu’ils appellent leurs vérités éternelles à l’encontre d’un
seul personnage, fut-il le premier d’entre eux, ne manquent de piments
pas, pour s’adonner , mordicus, du matin au soir, à des ratonnades
torrentielles à couper le souffle contre ce dernier, sans modération
aucune, en lui prédisant même sans appel, l’apocalypse en 2017, à date
échue, si toutefois, il se représentera aux élections présidentielles,
s’accordant inlassablement, la tête haute publiquement à François
hollande, le challenger de Nicolas sarkozy, l’homme qui envoya à la
corde le discoureur de Dakar, dans un débat télévisé, historique, qui
est resté célébrissime. L’homme des slogans, le changement, c’est
maintenant, tente de sauver les meubles, pour limiter la casse.
En
France, les médias sont dans cette logique de la résistance, alors
qu’ici, au contraire, plus les mensonges s’amoncellent de la part de
celui qui fait faux bond aux concitoyens sénégalais, plus la meute de
chiens , encapsulés, tous convertis en ribambelle d’énergumènes, de
ramassis, taillables, et abimés, ne parlent que pour bien manger, font
honteusement profil bas, à la face du monde, en dédouanant par des
pirouettes alambiquées, le maître médiocre, lequel du haut de son
piédestal , continue de tromper les sénégalais, tous accroupis. Alors
que celui qui prônait des changements profonds au niveau du conseil
anticonstitutionnel, passe par derrière et récupère de la main gauche ce
qu’il défendait orbi et urbi, tord le bras à Moustapha niasse, qui s’y
complaît, nomme tout seul, en définitive ; tous les membres de cette
prétendue institution, placée à son escarcelle.
Comme
on dit souvent, ne vendons pas la peau de l’ours avant de l’avoir tué.
Malgré ce brouhaha infernal , burlesque indigeste et sciemment entretenu
sur la question de la libération karim wade, ceux qui pensent que l’ex
super ministre d’état ne se présenterait pas aux élections
habituellement théâtrales de 2019, risqueraient de se fourvoyer et
désenchanter lourdement, pour cause, auraient sûrement la gueule de
bois, quand demain fera jour, car en tout état de cause et en toute
logique, la nébuleuse internationale , qui a servi de pivot de premier
plan, laquelle encordée à la mafia politico-financière interne, modelée
par le premier délinquant de la république, en l’occurrence, le maître
des reniements , ont réussi une prouesse titanesque dans le secret des
dieux pour affranchir l’ancien super ministre d’état, qui a été condamné
à 6 ans d’emprisonnement pour s’être enrichi illicitement à hauteur de
138 milliards F CFA.
Hypocrisie,
filouterie, combines tout y est. il y aurait des surprises. Tout est
bien possible, sous l’ère du nègre de services. Macky Sall. Rien n’est
exclu d’avance, puisqu’il s’agit de l’éternel changeant incapable,
lequel le moment venu, comme d’habitude, trouvera habilement un
stratagème, qu’il qualifiera d’indispensable , contre toute attente,
pourrait bien faire voter à l’assemblée nationale, une loi en catimini
pour amnistier karim wade, soi-disant pour préserver la paix sociale, le
climat délétère, exécrable, tendant à faire croire à un apaisement
national, allant dans le sens de l’unité nationale, l’entente cordiale,
politique et la cohésion sociale et au nom du dialogue politique de
piètre qualité. Et le tour sera joué. C’est notre intime conviction,
jusqu’à preuve du contraire.
Décidément,
après les sorties et les invectives saccadées des uns et des autres,
Abdou Latif Coulibaly, le journaliste politique « autoproclamé le
Socrate du palais », béni, railleur, philosophe, qui se distinguer, y
met son grain de sel sur ce qu’il est convenu d’appeler, le prolongement
du plus vaste complot international de 2012- versus mafieuse constitue à
n’en pas douter, un serpent à deux têtes – lui aussi, ne déroge pas à
la règle des alignés, veut lui aussi défrayer la chronique, envahir les
médias sous tutelle du pouvoir totalitaire, tient à ravir la vedette et
égaler ses camarades.
Concurrence
déloyale oblige, pour gravir des échelons et s’ériger en mascotte du
palais alpulaar, l’homme y va avec ses propos surréalistes, en vue d’y
tirer son miel sur l’actualité pressante du moment.
Le
journaliste d’investigation est-il donc aveugle, sourd et muet sur la
gouvernance bancale dispendieuse, éloquemment familiale ethnique,
ségrégationniste, d’apartheid ?
La
plume du despote, distille ses propres vérités historiques pour laver
ipso facto et par ricochet ou gommer les taches de son parrain, qu’il
adule, comme si rien n’était- plus takrip – finalement, ceux qui étaient
en mauvaise en posture, et qui prétendaient défendre des valeurs, hier,
se renient eux-mêmes à la place publique.
L’homme
qu’il labellise est pire que son devancier par ses pirouettes et son
banditisme financier, dont il est coupable, en sus de ses reculades
massives, en particilier, la non réduction de son mandat présidentiel de
7 à 5 nans, qu’il a organisé par une parodie référendaire-deum : un
comble du vandalisme- l’envoyé spécial du palais des féticheurs, qui est
censé avoir une audience plus élevée que tout le monde, mandaté ,
mouille le maillot , ne fait pas de la dentelle, se met en jointure avec
ses talibés , s’offre une tribune et tente de colmate les morceaux,
pour arrondir les angles et cintrer, les coins, cherche une bouée de
sauvetage à son bienfaiteur, tourne en dérision la libération karim
wade, l’échappée belle, qu’il qualifie lui-même « d’assise sur la
demande de sa famille », tendant à justifier l’injustifiable, en s’y
prenant maladroitement.
De
Senghor à Abdou Diouf, en passant par Abdoulaye Wade et jusqu’à
principalement Macky Sall, ou la république apocalyptique des
fétichistes ethniques, des proxénètes, des Xarfa foufa , « des
salitigués, ressuscités » et de la magie noire. Et pour la première fois
au Sénégal, la cassure du tuyau de keur Momar qui a privé tout Dakar
d’eau pendant un mois consécutif et au-delà même, ne nous contredira pas
sur ce plan là.
N’est-ce
pas là une preuve de culpabilité avérée de Macky sall et sur fond d’un
manque d’argument évident et d’un aveu de taille, indiscutable, que l’on
ne saurait cimenter sous aucun prétexte ?
Tout compte fait, il y a lieu de réécrire les Comptes et mécompte Bis d’une magistrature, moribonde, carambouilleuse
,
à l’aune des postes de nominations à connotations ouvertement
ethniques, toutes conformes aux mêmes patronymes particuliers, sont
synonymes de trahisons multiples.
Si
la libération de karim wade est une assise sur la demande de sa
famille, le faux chantre de la rupture, supposé incorruptible, est-il
obligé de céder par la ruse de la puissance des pétrodollars de l’émir
du Qatar ? Et pourquoi ? Que fait le journaliste politique sur les
renoncements et les reniements exponentiels, infinis et surtout
l’accaparement du pétrole et gaz, qui sont exclusivement entre les mains
baladeuses de Macky Sall et Aliou Sall.
Abdou
Latif Coulibaly est-il oublieux pour absoudre tout seul la gouvernance
de Macky Sall, dont le moins que l’on puisse dire, n’est guère une
orthodoxie, au point de nier l’histoire, surtout de la part de quelqu’un
qui a été très loquace sur la gestion présumée nébuleuse, lors du
sommet de la conférence islamique qui s’était tenu à Dakar en mars 2008 ?
Abdou Latif Coulibaly emboîte-t-il donc le pas à Abdoulaye wade, qui
tempêtait, jadis, des propos insolites, selon lesquels, il n’accepte pas
que l’on critique un gouvernement auquel il participe. Pour rappel,
sous le régime de Diouf, Me wade était nommé ministre d’état sans
portefeuille.