mercredi 24 août 2016

Radio Sunuker présente Emission «Xew Xewi Rewmi» avec Ahmadou Diop du 23 Aout 2016: Antiesclavagisme en Mauritanie : ou la violence institutionnalisée comme système d’Apartheid des Maures blancs.


L’antiesclavagisme  en Mauritanie rime-t-il  donc avec négationnisme d’état ?
Avant tout, tout  peuple mûr culturellement et  politiquement , fier de lui-même, doit s’approprier, s’accaparer et s’imprégner de son histoire  glorieuse, plutôt  de mettre  hystériquement en musique  l’hymne national du nègre éternel,  décrié comme étant le maître atypique, investi exclusivement   dans  l’art et qui  danse constamment , tel un guignol, par opposition au blanc, présagé, source de la rationalité.
Condamnation  de 3 à 15 ans de prison ferme pour 13 anti-esclavagistes (Cour) pénale raciale d’état – point d’émoi ni condamnation unanime des gouvernements africains, tous corrompus ne s’émeuvent outre mesure  devant un procès ridicule d’un état arabo-berbère  de la démesure.- une châtiment  pédagogique pour tuer dans l’œuf toute velléité de résistance contre la tyrannie des maures blancs- les français l’ont fait chez les  populations bamilékés  toutes arrosées de napalm au Cameroun  et dont les  victimes atteignirent  le chiffre astronomique effrayant de 6000,  donnant la chair de poule  dans les années 1956, après que  les troupes français eurent subi une défaite cuisante par leur débandade  massive au Vietnam, face à la détermination sans faille  du vietcong tout  debout comme un seul homme. Pierre Messmer en sut  un peu plus que les autres.

Ce qui est insolite et incongru, c’est qu’un  certain discours discourtois, inacceptable, émanant  directement du pays des droits de l’Homme, veuille qu’on  accrédite  absolument la thèse selon laquelle le patriotisme, le panafricanisme et le  nationalisme africain soient présentés comme étant des menaces  contre l’occident ! De telles qualités éminemment légitimes, ne peuvent constituer un quelconque danger. C’est comme si  nous devons continuer à tendre  perpétuellement  la  sébile et l’aide de l’extérieur.

Tout se tient en politique.   Ce qui continue  dans  la  République des Maures blancs, versus yéménito  arabo- berbère, maquillé en  communautarisme suprémaciste, est un crime imprescriptible contre l’humanité, comme tant d’autres à la pelle.   Il n’y a ni plus  ni moins  d’un procès hérétique,  calamiteux,  ignoble, inouï, raciste en continu  pour légaliser  de facto la barbarie, ce que l’on pourrait appeler  sans détours , comme  étant  un système d’apartheid, agissant à visage découvert et  qui dit bien son nom.
Où sont donc les règles  légales, fondamentales de cet état, dont l’existence virtuelle n’a  été visible que récemment ? Il n’y a rien qui tienne sur l’existence réelle de cet état qui a été crée de toute pièce par la France ! C’est un régime carcéral dans lequel des noirs sont encellulés pour leurs idées nobles justes et légitimes. Un état criminel dans lequel la démocratie  des bourreaux tient lieu de contradictions totalitaires.  Les populations noires  sont écrabouillées, niées dans leur existence  et dans leurs droits et  à l’indifférence quasi générale de la démocratie mondialiste de l’arbitraire et de la tyrannie.
Où sont  donc l’éthique et l’équité dont se targue l’état mauritanien, présumé   maure blanc ?
La Mauritanie  des Maures blancs  est-elle  donc négrophobe ?
Dans notre pays, la qualité de chérif blanc est-elle  synonyme d’abondance de baraka, que sais-je encore ?  Sommes-nous des moins que rien pour ne pas avoir le courage de rétablir la vérité et remettre les pendules à l’heure ?
Nous déclarons  solennellement  et sans ambages que la violence présagée des anti- esclavagistes : des  légèretés  et des arguties  absconses  ne peuvent  servir de caution, tendant à instaurer davantage  une loi scélérate  institutionnalisée  par  la violence de l’état mauritanien négationniste dans son mode de  fonctionnement  raciste.  Par principe, la violence de l’état arabo-berbère en Mauritanie appelle nécessairement la réaction par nature, d’où  la légitime défense, surtout  dans un pays où la majorité des citoyens sont d’origine négroïde.
L’histoire retient qu’en 1905, la Mauritanie devient territoire français et acquiert ainsi des frontières qu’elle n’avait jamais eues auparavant, étant avant tout une terre de nomades, venues d’ailleurs comme des immigrés.
Et  L’UA    semble jouer  apparemment  les   abonnés  absents ?   Et le silence coupable   du laxisme  des élites  de pacotille toutes  tenues en laisse par la Mauritanie et l’Arabie Saoudite ?
Nous  interpellons  directement  tous  les  états africains  de prendre leurs responsabilités et pour qu’ils  rompent   définitivement leurs relations diplomatiques avec le régime ségrégationniste dans les faits. Mais faut-il que les dirigeants africains aient le courage de frapper  fort un grand coup ?
 Il  est évident que tous  les africains noirs qui continuent d’établir des relations diplomatiques  avec  ces deux états et qui  ferment  ouvertement  leurs yeux par leur consentement réactionnaire, les soutiennent de facto, en particulier, les autorités sénégalaises, le voisin immédiat.  Tous ont failli à leurs missions régaliennes pour se complaire dans l’autocratie de l’état arabo-berbère. Naturellement, c’est le dernier de leurs soucis, car ils ne pensent qu’à eux-mêmes et à leurs pouvoirs, qu’ils ont arrachés par des mécanismes douteux.
Et la presse de servitude farandole, guignolesque,  qui  joue les plates bandes des nègres de service, préfère  elle,  servilement faire profil bas sur la question vitale.
Pour  des raisons intentionnellement pratiques  et éviter d’être long sur la question en toute humilité, nous nous passerons donc de l’historique de la fondation de  l’’état  Mauritanien, pour lequel d’ailleurs, nous avions  déjà  tracé les grands contours  antérieurement dans l’émission l’Info Autrement de notre Radio Sunuker.
Nous condamnons fermement sans équivoque et jusqu’à la dernière énergie, les tribulations  du régime fascisme  cliniquement clanique de l’état  mauritanien. Les dérives  permanentes à grande échelle revêtent des  connotations racistes contre les vrais natifs, se multiplient à un rythme effréné  chaque jour que dieu fait.
Aussi extraordinaire que cela puisse paraître, la communauté dite internationale  apparaît peu réactive et aphone, face à ce qu’il est convenu d’appeler  la caste de   la tyrannie  coalisée des Maures blancs. On ne peut justifier sous aucun prétexte  l’injustifiable.  Pour toutes ces raisons,  nous martelons à  voix audibles  l’ignominie abjecte d’un tel état qui manque de respect et de considération  à l’endroit des  citoyens noirs mauritaniens, tous épris de paix et de justice pour un état égalitaire devant la loi en droit comme devoir.
Nous exigeons  aussi immédiatement  et  sans conditions la relaxe pure et simple des détenus politiques,  anti-esclavagistes qui  réclament  la tête haute leurs droits inaliénables,  pour que  triomphe une justice  égalitaire pour tous, une justice sociale politique,  dénuée de velléités racistes, comme arrière-plan  !  Ce qui se passe actuellement en terre mauritanienne est tout simplement infâme.
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Par Ahmadou Diop

Chronique: Antiesclavagisme en Mauritanie : ou la violence institutionnalisée comme système d’Apartheid des Maures blancs. Par Ahmadou Diop


L’antiesclavagisme  en Mauritanie rime-t-il  donc avec négationnisme d’état ?
Avant tout, tout  peuple mûr culturellement et  politiquement , fier de lui-même, doit s’approprier, s’accaparer et s’imprégner de son histoire  glorieuse, plutôt  de mettre  hystériquement en musique  l’hymne national du nègre éternel,  décrié comme étant le maître atypique, investi exclusivement   dans  l’art et qui  danse constamment , tel un guignol, par opposition au blanc, présagé, source de la rationalité.
Condamnation  de 3 à 15 ans de prison ferme pour 13 anti-esclavagistes (Cour) pénale raciale d’état – point d’émoi ni condamnation unanime des gouvernements africains, tous corrompus ne s’émeuvent outre mesure  devant un procès ridicule d’un état arabo-berbère  de la démesure.- une châtiment  pédagogique pour tuer dans l’œuf toute velléité de résistance contre la tyrannie des maures blancs- les français l’ont fait chez les  populations bamilékés  toutes arrosées de napalm au Cameroun  et dont les  victimes atteignirent  le chiffre astronomique effrayant de 6000,  donnant la chair de poule  dans les années 1956, après que  les troupes français eurent subi une défaite cuisante par leur débandade  massive au Vietnam, face à la détermination sans faille  du vietcong tout  debout comme un seul homme. Pierre Messmer en sut  un peu plus que les autres.

Ce qui est insolite et incongru, c’est qu’un  certain discours discourtois, inacceptable, émanant  directement du pays des droits de l’Homme, veuille qu’on  accrédite  absolument la thèse selon laquelle le patriotisme, le panafricanisme et le  nationalisme africain soient présentés comme étant des menaces  contre l’occident ! De telles qualités éminemment légitimes, ne peuvent constituer un quelconque danger. C’est comme si  nous devons continuer à tendre  perpétuellement  la  sébile et l’aide de l’extérieur.

Tout se tient en politique.   Ce qui continue  dans  la  République des Maures blancs, versus yéménito  arabo- berbère, maquillé en  communautarisme suprémaciste, est un crime imprescriptible contre l’humanité, comme tant d’autres à la pelle.   Il n’y a ni plus  ni moins  d’un procès hérétique,  calamiteux,  ignoble, inouï, raciste en continu  pour légaliser  de facto la barbarie, ce que l’on pourrait appeler  sans détours , comme  étant  un système d’apartheid, agissant à visage découvert et  qui dit bien son nom.
Où sont donc les règles  légales, fondamentales de cet état, dont l’existence virtuelle n’a  été visible que récemment ? Il n’y a rien qui tienne sur l’existence réelle de cet état qui a été crée de toute pièce par la France ! C’est un régime carcéral dans lequel des noirs sont encellulés pour leurs idées nobles justes et légitimes. Un état criminel dans lequel la démocratie  des bourreaux tient lieu de contradictions totalitaires.  Les populations noires  sont écrabouillées, niées dans leur existence  et dans leurs droits et  à l’indifférence quasi générale de la démocratie mondialiste de l’arbitraire et de la tyrannie.
Où sont  donc l’éthique et l’équité dont se targue l’état mauritanien, présumé   maure blanc ?
La Mauritanie  des Maures blancs  est-elle  donc négrophobe ?
Dans notre pays, la qualité de chérif blanc est-elle  synonyme d’abondance de baraka, que sais-je encore ?  Sommes-nous des moins que rien pour ne pas avoir le courage de rétablir la vérité et remettre les pendules à l’heure ?
Nous déclarons  solennellement  et sans ambages que la violence présagée des anti- esclavagistes : des  légèretés  et des arguties  absconses  ne peuvent  servir de caution, tendant à instaurer davantage  une loi scélérate  institutionnalisée  par  la violence de l’état mauritanien négationniste dans son mode de  fonctionnement  raciste.  Par principe, la violence de l’état arabo-berbère en Mauritanie appelle nécessairement la réaction par nature, d’où  la légitime défense, surtout  dans un pays où la majorité des citoyens sont d’origine négroïde.
L’histoire retient qu’en 1905, la Mauritanie devient territoire français et acquiert ainsi des frontières qu’elle n’avait jamais eues auparavant, étant avant tout une terre de nomades, venues d’ailleurs comme des immigrés.
Et  L’UA    semble jouer  apparemment  les   abonnés  absents ?   Et le silence coupable   du laxisme  des élites  de pacotille toutes  tenues en laisse par la Mauritanie et l’Arabie Saoudite ?
Nous  interpellons  directement  tous  les  états africains  de prendre leurs responsabilités et pour qu’ils  rompent   définitivement leurs relations diplomatiques avec le régime ségrégationniste dans les faits. Mais faut-il que les dirigeants africains aient le courage de frapper  fort un grand coup ?
 Il  est évident que tous  les africains noirs qui continuent d’établir des relations diplomatiques  avec  ces deux états et qui  ferment  ouvertement  leurs yeux par leur consentement réactionnaire, les soutiennent de facto, en particulier, les autorités sénégalaises, le voisin immédiat.  Tous ont failli à leurs missions régaliennes pour se complaire dans l’autocratie de l’état arabo-berbère. Naturellement, c’est le dernier de leurs soucis, car ils ne pensent qu’à eux-mêmes et à leurs pouvoirs, qu’ils ont arrachés par des mécanismes douteux.
Et la presse de servitude farandole, guignolesque,  qui  joue les plates bandes des nègres de service, préfère  elle,  servilement faire profil bas sur la question vitale.
Pour  des raisons intentionnellement pratiques  et éviter d’être long sur la question en toute humilité, nous nous passerons donc de l’historique de la fondation de  l’’état  Mauritanien, pour lequel d’ailleurs, nous avions  déjà  tracé les grands contours  antérieurement dans l’émission l’Info Autrement de notre Radio Sunuker.
Nous condamnons fermement sans équivoque et jusqu’à la dernière énergie, les tribulations  du régime fascisme  cliniquement clanique de l’état  mauritanien. Les dérives  permanentes à grande

échelle revêtent des  connotations racistes contre les vrais natifs, se multiplient à un rythme effréné  chaque jour que dieu fait.
Aussi extraordinaire que cela puisse paraître, la communauté dite internationale  apparaît peu réactive et aphone, face à ce qu’il est convenu d’appeler  la caste de   la tyrannie  coalisée des Maures blancs. On ne peut justifier sous aucun prétexte  l’injustifiable.  Pour toutes ces raisons,  nous martelons à  voix audibles  l’ignominie abjecte d’un tel état qui manque de respect et de considération  à l’endroit des  citoyens noirs mauritaniens, tous épris de paix et de justice pour un état égalitaire devant la loi en droit comme devoir.
Nous exigeons  aussi immédiatement  et  sans conditions la relaxe pure et simple des détenus politiques,  anti-esclavagistes qui  réclament  la tête haute leurs droits inaliénables,  pour que  triomphe une justice  égalitaire pour tous, une justice sociale politique,  dénuée de velléités racistes, comme arrière-plan  !  Ce qui se passe actuellement en terre mauritanienne est tout simplement infâme.
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Par Ahmadou Diop

mercredi 27 juillet 2016

Chronique : Dénazifier impérativement la constitution du Sénégal : une question de salubrité publique ? Par Ahmadou Diop


La constitution symbolisée par la cheville ouvrière de la tyrannie garantit le statut d’impunité du président de la république.
Le monarque dispose chaque année d’une caisse noire, dont le chiffre reste un secret d’état, qu’est cette machine toxique à corruptions massives.
Pourant, pendant la campagne électorale, Macky Sall promettait sur toutes les chaînes de télévision à l’échelle planétaire internation, qu’il réduirait, ipso facto son mandat présidentiel de 7 à 5 ans, dés les premiers mois de sa magistrature et par respect à l’article 27 de la constitution.
Article 27 :
La durée du mandat du Président de la République est de sept ans. Le mandat est renouvelable une seule fois.
Cette disposition ne peut être révisée que par une loi référendaire.
Aussi extraordinaire que cela puisse paraître, lors du mois béni, de dévotion, de partage et de santé, Macky Sall, surnommé « Charlie », le caractériel Profanateur, professionnel fourbe, menteur- croit pouvoir laver tout seul tous ses péchés, insurmontables, ment et continue de nous mentir, s’est métamorphosé en caméléon, en « changeant radicalement sa peau à Paris, mais garde sa nature » sur le terrain du crime, interdit toute manifestation pacifique, légalise la corruption et la transhumance à coup de milliards F CFA, tout azimut, fait sa campagne électorale, déloyale avec les deniers de l’état.
La première dame, qui n’est qu’un symbole, ne dispose d’aucun poste officiel reconnu par la constitution. Sous Macky Sall,Marième Faye dirige avec son propre frère, Daouda Faye, la structure familiale bidon « Servir le Sénégal », pour se servir elle -même et abondamment, financièrement et servir politiquement son mari, complice. Plusieurs milliards de F CFA sont déposés dans les comptes de cette fondation qui échappe aux organes de contrôle institutionnels. Une grosse arnaque politique.
Selon la presse , attribution d’un marché d’assainissement à Adama Faye, frère de la Première Dame : Le népotisme parental – Par contrat en date du 12 mai 2014, passé par entente directe, l’Office National d’Assainissement (ONAS) a attribué à l’entreprise C.I.A, appartenant à monsieur Adama Faye, petit frère de Marème Faye première dame du Sénégal, un marché de 239 millions -196.148 F CFA TTC.
L’homme de la complaisance aux facteurs multiplicatifs nous a donc menti de fond en comble et sur toute la ligne. Le comble du comble, c’est que l’assemblée nationale, assujettie, accroupie, combinarde, s’est dégonflée piteusement et affreusement à la face du monde.
Tant que le régime présidentiel demeurera, le parlementarisme n’aura plus de sens et perdra peu à peu son existence.
Alors, dans ces conditions, peut-on vraiment parler de démocratie tangible, et à l’épreuve des faits ? En conséquence, l’Assemblée Nationale et le Conseil constititutionnel ne sont que des institutions factices, pour n’être instruments tyranniques, mafieux, propagandistes, cartellisés, convertis automatiquement en caisse de résonnance et d’enregistrement, se confinent dans leurs rôles de vacataires, plaident abjectement pour les cause et les faits du président de la république, qui est juge et partie.

La posture du président de la république présente absolument et immanquablement des conflits d’intérêts manifestes. Le personnage tout-puissant tient par la corde toute la presse. Plutôt de jouer son rôle dévolu pour le traitement objectif des informations et dans la confrontation des idées, elle se convertit en servile propagandiste docile, pour que demeurent à jamais la désinformation et la manipulation. Tout le monde sait que la dépendance politique et financière de la presse constitue une menace réélle à la démocratie.
Pis, tous les acteurs politicards, voleurs, mercenaires, tranhumants, qui se donnent des statures présidentialistes pitoyables, esquissent sciemment l’éternelle écharde à la démocratie : c’est-à-dire la réforme de la constitution moribonde et celle du statut du chef de l’état.
Il convient donc de restaurer impérativement le régime parlementaire, qui est le plus juste que le régime présidentiel, si nous voulons demain un véritable état de droit dans lequel tous les citoyens naissent libres et égaux en droit comme en devoir. Pour cela, il ne faut plus que la justice soit sous la botte du chef de l’exécutif. Nous devons prendre l’exemple des Etat-unis. Où est donc la rupture à tambour battant, dont nous parlait Macky Sall depuis le regrettable soir historique du 25 mars en 2012 ? Place maintenant à une rupture estropiée sur fond des charrettes de mensonges !
La première mesure que nous devrions prendre, c’est la nationalisation irréversible de toutes les entreprises étrangères opérant au Sénégal pour que nous puissions retrouver notre souveraineté monétaire, politique, économique et la défense nationale. C’est le premier réflexe d’un pays souverain, libre et indépendant.
-« Sénégaliser » toutes les rues et avenues qui portent des noms colonialistes.
– Dissoudre l’Agence de sécurité de proximité
– Toutes les Agences budgétivores
Libérer la presse des griffes du palais : tous ne sont que des instruments tyranniques, de propagande et sous le contrôle direct du président de la république.
– Suppression du Haut Conseil des Collectivités, qui est une réplique du Sénat Bis qui ne dit pas son nom
-Conseil économique social et environnemental ; deux machines toxiques à corruptions massives clientélistes, superflues.
-Libérer la Maison de la Presse, La RTS, Le Soleil, APS.
-Créer un Haut Conseil de l’Audio visuel. Elire des Sages dont le nombre se situe entre 7 et 8, quet qui sont neutres, compétents indépendants de manière qu’il y ait l’éthique et l’équité. Le temps d’antenne pour tous les acteurs politiques sans disctinction d’appartenance politique.
Réformer totalement en profondeur les institutions immobilisées, toutes soumises sous la coupole du président de la république et sa femme..
On ne peut être et à la fois président de la république et chef de parti en exerce. C’est immoral, contreproductif et immoral, car il y a des conflits d’intérêts manifestes, qui sont antinomiques à la démocratie.
La justice obéit donc au doigt et à l’œil du chef de l’exécutif, n’est jamais rendue au nom du peuple par le peuple et pour le peuple, mais elle est dictée selon la seule volonté du président de la république, qui se croit surhumain, invincible et immortel, s’érige en monarque dans les faits.

dimanche 17 juillet 2016

Radio Sunuker présente Emission «Xew Xewi Rewmi» avec Ahmadou Diop du 12 Juillet 2016: Législatives en perspective des parodies rituelles du cartel des béni – oui-oui : ou le pacte de la corruption massive à haut débit



Les impérissables cirques électoraux auront en 2017, martèle à demi-mot le pouvoir totalitaire maintient orbi et urbi son calendrier masqué. Pourquoi donc cette imprécision de taille et à quelle fin, comme toujours ? Le prétendu dialogue politique de piétre qualité et ses zones d’ombre ne visent qu’à tromper durablement les sénégalais méprisés.

Législatives 2017 : le sempiternel marché de dupes en continu sévira au nom de l’enfumage classique en bande organisée mafieuse, abondamment arrosée, grâce aux deniers de l’état. Où sont donc les intérêts supérieurs du Sénégal dans tout cela ?
De 63 à nos jours, qu’importe les sempiternelles consultations clinquantes et choquantes se joueront, dans la cour des voleurs multimilliardaires en bande organisée. Plus les mensonges et les promesses se perlent à un rythme effréné par la sarabande, interposée, corrompue et taillable, plus la majorité des citoyens coptés, adhérent massivement à la soldatesque mafieuse, catellisée, s’y complaisent. L’issue des scrutins n’est nullement l’expression du peuple, mais l’expression de la puissance de l’argent volé —Xalis Seytané- Moy fal—lequel est directement puisé dans la poche des contribuables, astiqués, accablés, criblés d’impôts et de taxes de toutes sortes.
Qu’on le veuille ou non, tant que le statut du président de la république ne sera réformé précisément et en profondeur, comme il se doit, comme il en existe dans les nations matériellement prouvées, il n’y aura point de survie, ni de démocratie, ni d’émergence visible.
Deux options s’imposent, si nous voulons rééllement en finir avec l’impunité du chef de l’exécutif :
Soit, les juges et les magistrats seront élus au suffrage universel pour une durée bien déterminée, à l’instar des élections présidentielles américaines, soit, ils sont nommés instantanément par un directoire collégial, qui est composé de magistrats indépendants et libres au pouvoir politique et à bulletins secrets.
Personne ne peut le nier, car l’immunité du président de la république, devient, dans les faits, une impunité incongrue au pays de la Téranga, complaisamment présumé la vitrine des mensonges adroits. Malgré son apparence, Macky Sall, le fourbe Farba, le nègre de services par sa suffisance, ne cherche qu’une opposition virtuelle, servile béni-oui-oui, se contente que « des sucettes » qu’on veuille bien leur donner.
Depuis la parodie de l’indépendance de la dépendance vis-à-vis de l’extérieur, le mal endémique, chronique, va en pis, nonobstant les promesses congelées. Mutisme et bouche cousue sur cette écharde, qui n’a que trop duré. A quoi servent, si alors, les prétendus organes de contrôle institutionnels qui ne sont point libres, ni indépendants par rapport au pouvoir exécutif, s’alignent lourdement sur le ndiguel de ce dernier, se transforment automatiquement en instruments flatteurs de propagande, pour exister et en vue de gravir indûment des échelons, si ce n’est que pour faire du sensationnel ?
Ce qui est cocasse dans notre beau pays que nous aimons tant, comme la prunelle de nos yeux, c’est que la prétendue opposition peu convaincante, plutôt d’agir et jouer un contre- pouvoir dévolu, nécessairement salutaire, se confine dans son rôle de contre nature, est vassalisée, grugée, unie et taillable à merci, se transforme éloquemment en moutons tondus pour n’être que le serviteur dévoué pour la cause de l’abondance d’un président réconforté, revigoré.
Des hâbleurs multimiliardaires, déclarés, non- éclairés, orientent volontairement la majorité des Sénégalais, mal préparés dans leurs choix par presse interposée, laquelle est disproportionnellement engraissée avec les deniers publics. Tout est parfaitement réglé de manière que les intérêts exclusifs des lobbies prennent le dessous sur tout, en attendant les éternels gueules de bois, lorsqu’il sera toujours trop tard pour agir. C’est un secret de polichinelle de que dire l’incivisme du paysage singulier est la clé de voûte de nos désenchantements éternellement établis. Dans ce pays, le mal va en pis, puisque les médiocres de référence cartellisés font l’histoire à la place des bons que l’on enterre sciemment.
Les sénégalais n’attendent rien d’autre que des simulacres d’élections et des déceptions, sur fond de mystifications encore plus pesantes.
L’esclandre de la démocratie ethnique, tribaliste, parentale, ségrégationniste qui est ouvertement démoniaque plombe et retarde l’émergence du Sénégal dans le sens des progrès.
Depuis 5 ans, le bazar en continu des incultes mercenaires et des menteries fatigantes sont devenus un apéritif très apprécié dans le paysage singulier sénégalais.
Rappel : lors de la parodie référendaire -deum- la soldatesque wafffen SS, désertique, ethnique, coalisée autoproclamée, dans l’option de préparer les esprits, pestaient abondamment ceci :
« Le Comité des intellectuels républicains pour le suivi des engagements et de la massification de l’Alliance pour la République- à « respecter l’avis des cinq Sages du Conseil constitutionnel sur le projet de référendum »]-restreindre les libertés fondamentales ».
Si on’ n’y prend pas garde, car les législatives de 2017 ne seront que des symboles de la tartufferie nauséabonde, passeront comme une lettre à la poste comme celles de 2012.
Le gouvernement du Sénégal du peuple par le peuple et pour le, peuple, lit-on dans le préambule de la constitution moribonde, dans laquelle le régime présidentiel, dispose de tous les pouvoirs exhorbitants. En effet, il ne s’agit que d’un mensonge grossier, habile dans les faits qu’on ne saurait démentir sous aucun prétexte.
En vérité, le peuple perd son pouvoir et sa souveraneté dés lors qu’il élit le président de la république, qui devient de facto un monarque. Une grosse arnaque.
Désormais, les tractations souterraines, les combines politiques vont bon train, tout azimut, se multiplient, à dessein de préparer en toute impunité l’éternel complot permanent pour donner une majorité parlementaire au chef de clan, plus riche par les raccourcis politiques, lequel dispose en sus d’une caisse noire, qu’on appelle la machine toxique à corruptions massives extensibles : un instrument tyrannique au service du président de la république, cumule le poste le poste de secrétaire général de son propre parti politique cliniquement partisan . A quoi bon donc d’organiser un tel cirque, tant que sévira le tout-puissant ? Il n y aura ni changement ni la transparence, ni la démocratie, pour croire opérer une nette rupture et à l’épreuve des faits.
Rien ne changera, puisque les continuels tranhumants des postes de nomination Tan sa boula nex, se transforment vulgairement en mercenaires rabatteurs indécrottables sont à l’affût, toujours prompts à se transvaser honteusement. Les uns et les autres sont envoyés aux charbons, s’activent bassement sur l’autel de l’opportunisme, rempilent, se donnent de la voix dans la perspective d’avoir des strapontin , demain, dans une cour de godillot, dressée en coupe réglée pour l’honneur « d’un naz », en chair et en os,et dont le moins que l’on puisse dire, n’a jamais fait preuve de patriotisme, tant sa richesse étalée, si rapide et dans des conditions totalement ténébreuses, ne fait l’ombre d’un doute.
Le carpharnaüm, symbolisé par le conglomérat benno bok wor rewmi en jointure avec l’assemblée nationale et le conseil constitutionnel ne sont que des auxiliaires de services et de progagande travaillent et obéissent au doigt et à l’oeil pour les seuls intérêts d’un chef d’exécutif, paresseux, agisseur, diligente tout par derrière, confisque habilement la démocratie. La constitution est bien antipodes à nos valeurs traditionnelles, historiques, spécifiques. Cette prétendue institution autorise par devers le président de la république à nommer tous les emplois civils, militaires. Dans ces conditions, peut-on alors parler de la démocratie ? C’est donc par définition une écharde à la démocratie par son caractère blasphématoire.
Ne nous voilons pas la face, puisque les dés sont déjà pipés. Car la bonne marmite se sent par son odeur, dit un adage bien chez nous. Le même rituel d’une armée de faussaires, notoires, chevaleresques, tous puissants par sa faculté de nuisance reproduira nécessairement les mêmes effets nocifs le moment venu. Ansi, le spectacle invariable continuera dans le ciel obscurci, comme si rien n’était.
Dans une véritable démocratie, le contre-pouvoir est nécessaire, mais ici, il n’en est rien.
Fidèle à lui-même, l’homme, ne déroge point à la régle, n’a jamais dévié d’un pouce de sa trajectoire totalitaire, garde dans le secret des dieux la date du cirque électoraliste, alors que dans les grandes démocraties, éloquentes, le calendrier est fixé d’avance au moins 4 ans.
L’homme ne pique pas un seul mot sur la question du calendrier républicain, absolu, prioritaire, est supérieur à tout. Mais Macky sall, qui s’en fout de tout, la foule du pied. S’attendre à des prétendues législatives, libres, transparentes et démocratiques, relève d’une illusion monumentale. Il y a de quoi plus normal, dans un p ays où une minorité trairesse, ploutocrate par des postes de nomination domine la majoritaire, présagée comme des bêtes électorales tondues, se plient à sa régle absolutiste.
Malgré les apparences peu convaincantes, il est parfaitement établi que la plupart des médias sénégalais sont larbinisés, corrompus, pour s’être coalisés avec le même rituel cartel mafieux de l’abondance , vouent corps et âme à ce nègre de services, qui se niche derrière les grilles d’un palais, étrangement devenu l’ennemi public, pour avoir violé maintes fois les code des marchés publics.
En septembre 2013, Thierno Alassane Sall etAmadou Kane récoltent 30 milliards pour la construction de l’aéroport International Blaise Diagne (AIBD).
Benno bok yakaar : Moustapha Niasse, Sg de l’Afp : “Aucun imbécile, aucun salopard, ne peut me séparer de Macky Sall”.
Macky Sall invité à se pencher sur le «plus grand scandale foncier ».
A quoi servent des institutions qui se plient à la loi du despotique, incorrigible, au point qu’il tranche en lieu et place de tout le monde ?
Puisqu’on parle de litige foncier, allons droit aussi au litige foncier des alamadies ! Macky Sall défrayait la chronique quatre ans après sa nomination. Dans sa livraison du 14 octobre 2004- N° 3459, une certaine presse titrait : litige foncier aux Almadies : Macky sall accusé d’arracher d’autrui, appartenant à Amadou diop, entrepreneur de son état. le 12 octobre, sur ordre du gouverneur de Dakar, les bulldozers démolissent la maison de l’entrepreneur aux almadies.
L’homme qui s’est transformé en sous-marin américano français, en savait-il donc un peu plus sur le pétrole et gaz du Sénégal en abondance, dont les populations ne verront jamais la couleur ?
Le même sorcier, s’est bien enrichi en un quart de tour, tout juste 4 ans, à la tête de Pétrosen, une société de droit sénégalais, s’octroie  librement une belle villa à grand standing à Houston, aux Etat-Unis, et par crédit , dans des conditions ombrageuses, totalement scandaleuses.
Avec quel argent et quelle garantie, il s’est permis d’acheter un tel luxe qui dépasse largement l’indice de son salaire ? Curieusement dans la déclaration de son patrimoine qui est absolument gigantesque, l’homme de l’indécence fulmine qu’il a bien bénéficié des privilèges relatifs à sa position d’ancien premier ministre.
Naturellement, les premiers minsitres, le président de l’assemblée nationale, y compris le président de la république, tous disposent immanquablement d’une caisse noire et dans le secret des dieux. Derrière un menteur, se cache de facto un voleur pris la main dans le sac, n’est-ce pas ?

mercredi 13 juillet 2016

Chronique\Législatives en perspective des parodies rituelles du cartel des béni – oui-oui : ou le pacte de la corruption massive à haut débit. Par Ahmadou Diop CPC.




Les impérissables cirques électoraux auront en 2017, martèle à demi-mot le pouvoir totalitaire maintient orbi et urbi son calendrier masqué. Pourquoi donc cette imprécision de taille et à quelle fin, comme toujours ? Le prétendu dialogue politique de piètre qualité et ses zones d’ombre ne visent qu’à tromper durablement les sénégalais méprisés.
 
Législatives 2017 : le sempiternel marché de dupes en continu sévira au nom de l’enfumage classique en bande organisée mafieuse, abondamment arrosée, grâce aux deniers de l’état. Où sont donc les intérêts supérieurs du Sénégal dans tout cela ?
De 63 à nos jours, qu’importe les sempiternelles consultations clinquantes et choquantes se joueront, dans la cour des voleurs multimilliardaires en bande organisée. Plus les mensonges et les promesses se perlent à un rythme effréné par la sarabande, interposée, corrompue et taillable, plus la majorité des citoyens cooptés, adhérent massivement à la soldatesque mafieuse, 
cartellisée
, s’y complaisent. L’issue des scrutins n’est nullement l’expression du peuple, mais l’expression de la puissance de l’argent volé —Xalis Seytané- Moy fal—lequel est directement puisé dans la poche des contribuables, astiqués, accablés, criblés d’impôts et de taxes de toutes sortes.
Qu’on le veuille ou non, tant que le statut du président de la république ne sera réformé précisément et en profondeur, comme il se doit, comme il en existe dans les nations matériellement prouvées, il n’y aura point de survie, ni de démocratie, ni d’émergence visible.
Deux options s’imposent, si nous voulons
réellement en finir avec l’impunité du chef de l’exécutif :
Soit, les juges et les magistrats seront élus au suffrage universel pour une durée bien déterminée, à l’instar des élections présidentielles américaines, soit, ils sont nommés instantanément par un directoire collégial, qui est composé de magistrats indépendants et libres au pouvoir politique et à bulletins secrets.
Personne ne peut le nier, car l’immunité du président de la république, devient, dans les faits, une impunité incongrue au pays de la Téranga, complaisamment présumé la vitrine des mensonges adroits. Malgré son apparence, Macky Sall, le fourbe Farba, le nègre de services par sa suffisance, ne cherche qu’une opposition virtuelle, servile béni-oui-oui, se contente que « des sucettes » qu’on veuille bien leur donner.
Depuis la parodie de l’indépendance de la dépendance vis-à-vis de l’extérieur, le mal endémique, chronique, va en pis, nonobstant les promesses congelées. Mutisme et bouche cousue sur cette écharde, qui n’a que trop duré. A quoi servent, si alors, les prétendus organes de contrôle institutionnels qui ne sont point libres, ni indépendants par rapport au pouvoir exécutif, s’alignent lourdement sur le ndiguël
l ce dernier, se transforment automatiquement en instruments flatteurs de propagande, pour exister et en vue de gravir indûment des échelons, si ce n’est que pour faire du sensationnel ?
Ce qui est cocasse dans notre beau pays que nous aimons tant, comme la prunelle de nos yeux, c’est que la prétendue opposition peu convaincante, plutôt d’agir et jouer un contre- pouvoir dévolu, nécessairement salutaire, se confine dans son rôle de contre nature, est vassalisée, grugée, unie et taillable à merci, se transforme éloquemment en moutons tondus pour n’être que le serviteur dévoué pour la cause de l’abondance d’un président réconforté, revigoré.
Des hâbleurs multimilliardaires, déclarés, non- éclairés, orientent volontairement la majorité des Sénégalais, mal préparés dans leurs choix par presse interposée, laquelle est disproportionnellement engraissée avec les deniers publics. Tout est parfaitement réglé de manière que les intérêts exclusifs des lobbies prennent le dessous sur tout, en attendant les éternels gueules de bois, lorsqu’il sera toujours trop tard pour agir. C’est un secret de polichinelle pour dire que  l’incivisme du paysage singulier est la clé de voûte de nos désenchantements éternellement établis. Dans ce pays, le mal va en pis, puisque les médiocres de référence cartellisés font l’histoire à la place des bons que l’on enterre sciemment.
Les sénégalais n’attendent rien d’autre que des simulacres d’élections et des déceptions, sur fond de mystifications encore plus pesantes.
L’esclandre de la démocratie ethnique, tribaliste, parentale, ségrégationniste qui est ouvertement démoniaque plombe et retarde l’émergence du Sénégal dans le sens des progrès.
Depuis 5 ans, le bazar en continu des incultes mercenaires et des menteries fatigantes sont devenus un apéritif très apprécié dans le paysage singulier sénégalais.
Rappel : lors de la parodie référendaire -deum- la soldatesque wafffen SS, désertique, ethnique, coalisée autoproclamée, dans l’option de préparer les esprits, pestaient abondamment ceci :
« Le Comité des intellectuels républicains pour le suivi des engagements et de la massification de l’Alliance pour la République- à « respecter l’avis des cinq Sages du Conseil constitutionnel sur le projet de référendum »]-restreindre les libertés fondamentales ».
Si on’ n’y prend pas garde, car les législatives de 2017 ne seront que des symboles de la tartufferie nauséabonde, passeront comme une lettre à la poste comme celles de 2012.
Le gouvernement du Sénégal du peuple par le peuple et pour le, peuple, lit-on dans le préambule de la constitution moribonde, dans laquelle le régime présidentiel, dispose de tous les pouvoirs exorbitants . En effet, il ne s’agit que d’un mensonge grossier, habile dans les faits qu’on ne saurait démentir sous aucun prétexte.
En vérité, le peuple perd son pouvoir et sa souveraineté dés lors qu’il élit le président de la république, qui devient de facto un monarque. Une grosse arnaque.
Désormais, les tractations souterraines, les combines politiques vont bon train, tout azimut, se multiplient, à dessein de préparer en toute impunité l’éternel complot permanent pour donner une majorité parlementaire au chef de clan, plus riche par les raccourcis politiques, lequel dispose en sus d’une caisse noire, que l'on  appelle la machine toxique à corruptions massives extensibles : un instrument tyrannique au service du président de la république, cumule le poste le poste de secrétaire général de son propre parti politique cliniquement partisan . A quoi bon donc d’organiser un tel cirque, tant que sévira le tout-puissant ? Il n'y aura ni changement ni la transparence, ni la démocratie, pour croire opérer une nette rupture et à l’épreuve des faits.
Rien ne changera, puisque les continuels transhumants des postes de nomination Tan sa boula nex, se transforment vulgairement en mercenaires rabatteurs indécrottables sont à l’affût, toujours prompts à se transvaser honteusement. Les uns et les autres sont envoyés aux charbons, s’activent bassement sur l’autel de l’opportunisme, rempilent, se donnent de la voix dans la perspective d’avoir des strapontin, demain, dans une cour de godillot, dressée en coupe réglée pour l’honneur « d’un nazi », en chair et en os,et dont le moins que l’on puisse dire, n’a jamais fait preuve de patriotisme, tant sa richesse étalée, si rapide et dans des conditions totalement ténébreuses, ne fait l’ombre d’un doute.
Le
capharnaüm, symbolisé par le conglomérat benno bok wor rewmi en jointure avec l’assemblée nationale et le conseil constitutionnel ne sont que des auxiliaires de services et de propagande travaillent et obéissent au doigt et à l’œil pour les seuls intérêts d’un chef d’exécutif, paresseux, agitateur, diligente tout par derrière, confisque habilement la démocratie. La constitution est bien aux  antipodes à nos valeurs traditionnelles, historiques, spécifiques. Cette prétendue institution autorise par devers le président de la république à nommer tous les emplois civils, militaires. Dans ces conditions, peut-on alors parler de la démocratie ? C’est donc par définition une écharde à la démocratie par son caractère blasphématoire.
Ne nous voilons pas la face, puisque les dés sont déjà pipés. Car la bonne marmite se sent par son odeur, dit un adage bien chez nous. Le même rituel d’une armée de faussaires, notoires, chevaleresques, tous puissants par sa faculté de nuisance reproduira nécessairement les mêmes effets nocifs le moment venu. Ainsi, le spectacle invariable continuera dans le ciel obscurci, comme si rien n’était.
Dans une véritable démocratie, le contre-pouvoir est nécessaire, mais ici, il n’en est rien.
Fidèle à lui-même, l’homme, ne déroge point à la règle, n’a jamais dévié d’un pouce de sa trajectoire totalitaire, garde dans le secret des dieux la date du cirque électoraliste, alors que dans les grandes démocraties, éloquentes, le calendrier est fixé d’avance au moins 4 ans.
L’homme ne pique pas un seul mot sur la question du calendrier républicain, absolu, prioritaire, est supérieur à tout. Mais Macky sall, qui s’en fout de tout, la foule du pied. S’attendre à des prétendues législatives, libres, transparentes et démocratiques, relève d’une illusion monumentale. Il y a de quoi plus normal, dans un pays où une minorité traitresse, ploutocrate par des postes de nomination domine la majoritaire, présagée comme des bêtes électorales tondues, se plient à sa règle absolutiste.
Malgré les apparences peu convaincantes, il est parfaitement établi que la plupart des médias sénégalais sont larbinisés, corrompus, pour s’être coalisés avec le même rituel cartel mafieux de l’abondance , vouent corps et âme à ce nègre de services, qui se niche derrière les grilles d’un palais, étrangement devenu l’ennemi public, pour avoir violé maintes fois les code des marchés publics.
En septembre 2013, Thierno Alassane Sall et Amadou Kane récoltent 30 milliards pour la construction de l’aéroport International Blaise Diagne (AIBD).
Benno bok yakaar : Moustapha Niasse, Sg de l’Afp : “Aucun imbécile, aucun salopard, ne peut me séparer de Macky Sall”.
Macky Sall invité à se pencher sur le «plus grand scandale foncier ».
A quoi servent des institutions qui se plient à la loi du despotique, incorrigible, au point qu’il tranche en lieu et place de tout le monde ?
Puisqu’on parle de litige foncier, allons droit aussi au litige foncier des Almadies ! Macky Sall défrayait la chronique quatre ans après sa nomination. Dans sa livraison du 14 octobre 2004- N° 3459, une certaine presse titrait : litige foncier aux Almadies : Macky Sall accusé d’arracher d’autrui, appartenant à Amadou Diop, entrepreneur de son état. le 12 octobre, sur ordre du gouverneur de Dakar, les bulldozers démolissent la maison de l’entrepreneur aux Almadies.
L’homme qui s’est transformé en sous-marin américano français, en savait-il donc un peu plus sur le pétrole et gaz du Sénégal en abondance, dont les populations ne verront jamais la couleur ?
Le même sorcier, s’est bien enrichi en un quart de tour, tout juste 4 ans, à la tête de Pétrosen, une société de droit sénégalais, s’octroie  librement une belle villa à grand standing à Houston, aux
États-Unis, et par crédit , dans des conditions ombrageuses, totalement scandaleuses.
Avec quel argent et quelle garantie, il s’est permis d’acheter un tel luxe qui dépasse largement l’indice de son salaire ? Curieusement dans la déclaration de son patrimoine qui est absolument gigantesque, l’homme de l’indécence fulmine qu’il a bien bénéficié des privilèges relatifs à sa position d’ancien premier ministre.
Naturellement, les premiers ministres, le président de l’assemblée nationale, y compris le président de la république, tous disposent immanquablement d’une caisse noire et dans le secret des dieux. Derrière un menteur, se cache de facto un voleur pris la main dans le sac, n’est-ce pas ?

mercredi 6 juillet 2016

Chronique : La République des scandales et la face cachée de la banque de Dakar ou [banque de Macky Sall- BMS] ? À qui profite donc la Nébuleuse ? Par Ahmadou Diop




Le Sénégal est-il en déficit chronique de banques, au point que Macky Sall en éprouve le besoin de créer une presto illico et dans des conditions opaques et pour qui et à quelle fin ?
libération de Karim wade, un exutoire habile pour masquer les scandales à la pelle et les charrettes de mensonges d’un label de la tyrannie d’un brigandage et des discoureurs, alimentaires, incultes de la pègre, ethnique, ségrégationniste d’apartheid, à l’emporte pièce.
Peut-on parler d’une banque de Dakar ou d’une entreprise familiale politico-financière avec zones d’ombre. Être ou ne pas être ? Voilà la question !
Quoique l’on puisse dire, actuellement, la deuxième alternance-alternoce, n’a pas produit les effets escomptés, malgré les discours médiatico-poloitiques, emphatiques, inflationnistes.
En toute connaissance de cause, Macky Sall himself, est indiscutablement et par définition, un chef de clan partial et un non véritable chef d’état qui le prouve éloquemment.
Curieusement, le même personnage atypique, qui avait promis le changement, a fait bond à tout le pays.
Dans ces conditions, nous ne devons pas perdre de vue qu’il doit être nécessairement la cible, désignée, prioritaire à abattre politiquement. Pour cela, nous devons accorder tous nos violons, sans voix fausses notes, en nous mobilisant davatange, pour agir comme un seul homme par un sursaut national, et en concentrant tous nos efforts par des tirs groupés, massifs contre lui.
A mon humble avis, tel doit être le sens de notre combat légitime pour mettre fin définitivement à l’arbitraire et la tyrannie, qui n’ont que trop duré, voici bientôt presque 5 ans.
Aussi extraordinaire que cela puisse paraître, celui qui s'est autoproclamé l'homme de la rupture sobre, vertueuse, efficiente et transparente, place son propre frère, aliou sall, un simple journaliste, n’a jamais écrit le moindre article, visible dans les archives des professionnels de l’information et de la communication, est bien à la tête de cette officine totalement troublante.
Depuis le regrettable soir du 25 mars 2012, les compilations massives de ses idioties et ses renoncements , vont en pis avec ses reniements, en plus, se parlent de plus en plus, par les placements décriés des postes de nomination à connotations ethniques, portent essentiellement les mêmes patronymes particuliers, qui s’accaprent de toutes structures que compte l’état du Sénégal, mais pire, la non réduction de son mandat présidentiel de 7 à 5 ans, qui se traduit par une parodie référendaire, reste comme une chape de plomb dans la gorge des sénégalais qu’il piétine au su et au vu de tout le monde. En sus de toutes ses dérives et ses dénégations exponentielles à la pelle, l’exceptionnel spécialiste promoteur du népotisme passe à la vitesse supérieure, gracie impunément à sa propre convenance, Karim wade, en vue d’apparaître comme le clément pour en tirer et engranger les dividendes politiques de bas étage.
Les dessous de l’établissement qui est entre les mains échappent à tout contrôle de l’état.
Frank Tim et l’espagnol Cortina, nous dit-on, sont présumés comme étant les véritables maîtres, servent de paravent, car on peut se demander alors, ce que fait Aliou Sall, le pâteux, guignol, dans cette affaire.
Bouche et motus cousue, car Macky Sall n’a jamais communiqué sur cette banque ténébreuse et les autres scandales, au point que l’illuminé opportuniste, maire de Guédiawaye autoproclamé, devient subitement par magie, un financier respectable de classe exceptionnelle, pour jouer les supposés bons offices, au moment où son propre frère, arrive par effraction au pouvoir à cause des esclandres de ses milliards F CFA, sortis de terre on ne sait où et comment ?
L’érection la plus opaque et dans le secret des dieux d’une telle officine étrange, scandaleuse, si grave ne semble pas préoccuper outre mesure, les sénégalais et les organes de contrôle institutionnels et l’Assemblée Nationale.
Or, la caractéristique essentielle du paroxysme odieux de la gouvernance bancale par sa particularité sidérante et monstrueuse, collectionne à longueur de journées des inepties insurmontables, se mesurent à l’aune des charrettes de scandales exceptionnelles, passent sous silence et à la barbe de la servitude de ramassis, très bavards, fait totalement abstraction sur la rupture estropiée des hypocrites déclarés hautement toxiques.
Il faut s’interroger sur le pourquoi et le comment d’une telle entreprise scandaleuse, dont l’administrateur aliou sall, demeure les oreilles et les yeux de Macky sall, qui est la fois président de la république et le secrétaire général de l’apr. Inutile de dire qu’il y a des conflits d’intérêts évidents.
L’inimitable, aurait-il donc reçu des milliards F CFA de la part de l’émir Tamim ben al Thani , via la banque de Dakar, baptisée [BMS] ?
Si l’accusé karim wade échappe et atterrit à Paris, c’est parce que son geôlier principal l’a bien voulu, le corrompu, le plus humidifié, takhrip, a bien organisé sa libération, en échange des pétrodollars de l’émir du Qatar et sur la bienveillance de la communauté dite internationale mondialiste de l’arbitraire et de la tyrannie, laquelle a prêté l’oreille au groupe de travail de l’onu. C’est donc une ruse savamment élaborée de la sommité mondiale et par l’émir interposé du qatar. En vérité, la cheville ouvrière de la libération de karim wade reste le groupe de travail de l’onu agi de façon souterraine.
Qu’on le veuille ou non, notre radio sunuker, surnommée remarquablement, la première Africaine en indépendante et libre par sa capacité et sa faculté mentale est la plus représentative en termes de civilité , patriotisme, de crédibilité , d’analyses politiques , objectives, rigoureuses, raffinées par sa compétence remarquable pour le traitement équilibré des information, qu’elle décortique, décrypte sans complaisance, lorsqu’il s’agit des affaires de la cité, cette icône emblématique exceptionnelle médiatique, la plus charismatique.
Alors, dans ces conditions notre radio Sunuker FM, toujours fidèle à elle-même, incorruptible, se distingue par souveraineté absolue, ne dévie jamais de sa ligne éditoriale, est équidistante par rapport aux politicards et leurs satellites chiens de garde, lesquels ne pensent qu’à eux-mêmes par leur nombrilisme disproportionné.
En dehors donc de notre radio Sunuker, y a t-il vraiment une presse libre, déontologique, impartiale et patriotique et responsable, et qui prend en compte les faits et les causes des intérêts supérieurs, incessibles du Sénégal ?
La réponse est évidemment non, ne souffre donc d’aucune discussion possible.
Naturellement en politique, tout se tient. Car suite au coup d’état de 1963, opéré par Senghor, l’homme des français, contre l’honorable sentinelle de la démocratie parlementaire, le regretté Mamadou Dia, qui fut le président du Conseil, l’Assemblée nationale a totalement abdiqué sur toute la ligne pour n’être qu’une caisse de servitude, d’enregistrement de services , de sinécures et de résonnance au service du régime présidentiel, tout-puissant, dans lequel le président de la république imprime par devers in fine sa marque de fabrique, punit , agit contre vents et marées, grâce à tout vent, amnistie, gracie qui il veut, quand il veut, à sa propre convenance et à sa cause personnelle, à des fins de stratégies de politique politicienne.
Depuis lors, hélas, le journalisme a perdu piteusement sa raison d’être est plus que jamais sur les attaches du chef de l’exécutif, s’érige en véritable monarque en vers et contre tous.
Le métier de journaliste n’est plus une profession de foi, pour défendre la démocratie, la liberté d’expression et des causes nobles par rapport à son intime conviction, et qui use de son intelligence et ses expériences, parfois même il agit au péril de sa vie, comme il en existe dans les grandes démocraties éloquentes.
Aujourd’hui, ce métier galvaudé, n’est plus un sacerdoce, mais un gagne-pain, fourvoyé, dilué de sa substance, se met au service du politiquement incapable, profanateur, professionnel qui passe tout son temps à mentir et mentir, comme il respire jusqu’à l’abîme.
Quelle crédibilité et quelle valeur ajoutée ces pitoyables prétendus professionnels en la matière, peuvent-ils finalement prouver matériellement, réellement devant le peuple paralysé, face à leur avilissement et leur amateurisme, qui vont pis, devant l’histoire ?
Alors contrairement aux idées reçues, distillées ici où là, et par rapport à son apparence trompe-l’oeil, ce que l’on appelle avec grandiloquence, aujourd’hui, et pompeusement, la caste des patrons de presse, coupables, sont tous des alignés qui roulent pour leurs propres intérêts matérielles et sur fond de notoriété ou de prestige mal placé, jusqu’à la lie, sont versés dans l’art de la désinformation, la manipulation par des dithyrambes cousus de fil blanc.
Il faudrait que des voix autorisées, plus libres et plus corsées, aient la sagesse, le courage de faire taire ceux qui prennent en otage les médias et qui croient détenir l’intelligence, le monopole du verbe et la rhétorique. Alors que leurs discours ne sont qu’une simple vue de l’esprit. La Maison de la Presse , APS, le Soleil, La Rts, les médias publics et privés, périphériques, attachés et tenus d’une main de fer, laminent et e foule du pied la démocratie, s’alignent bassement sur la trajectoire du règne d’un régime le plus le scandaleux que notre pays n’ait jamais connu.
Bref, ces prétendus spécialistes de l’information et de la communication ne sont que des gourous de la charogne et des vautours propagandistes, dégonflés, dévergondés, qu’ils prouvent par leurs mystifications, torrentielles, surannées, récurrentes, purulentes, et dont la plupart d’entre entre eux qui s’y logent, ne sont en définitive que des corrompus, des faussaires, des vers de terre, transmués en lamentables mercenaires, accroupis, pressureurs, alimentaires, incultes, glissent au gré du vent, en fonction de leurs propres intérêts crypto personnels , selon la météo du moment, se travestissent allégrement en sempiternels abrutis, transhumants, s’adjugent et s’arrogent par leur nombrilisme et leur arrogance démentielle, la qualité de rhéteurs, qu’ils ne sont point ; évidemment à dessein de transvaser les citoyens indécis, pour tromper, coopter le lecteur censé être crédule.
Des avariés « notabilisés» font étage de leur savoir présagé, démontrent leurs coquetteries qu’ils vendent aux politiques les plus offrants, alors qu’en réalité, il ne s’agit que du vent et d’un verbiage immonde, creux et verbeux, ne reposant sur aucun postulat réel, tangible, si ce n’est qu’un tissuthèque de mensonges adroits, d’inepties et d’élucubrations fumeuses, compilées les unes après les autres.
Les intellectuels altruistes de pure souche, intègres et incorruptibles n’ont point de tribune pour relayer leurs pensées de hautes qualités, car non seulement elles sont inécoutables, mais leurs plumes éminemment corsées alertes, représentent une menace réelle pour la survie des élites politiques traitresses. La ligne éditoriale qu’ils affichent est modulable à la demande sur commande recommandée.
Tous les citoyens libres et indépendants qui écrivent, dénoncent, sont systématiquement charcutés, traînés dans la boue comme des illuminés ou des malfrats. Autrement dit, toute capacité de résistance est réduite à sa plus simple expression, car l’aliénation culturelle expansionniste a crée dans le substrat sénégalais le complexe d’infériorité.
Libération de karim Wade : y aurait- il une contrepartie financière, massive à la banque de Dakar, estampillée BMS- banque de Macky Sall, échappe à tout contrôle de l’état ?
Où sont donc les instituts de sondages et la nomenklatura médiatico-politique qui se déchaînaient et passaient hier leur sale temps à mesurer la température ambiante, due au climat délétère contre Abdoulaye wade, décrié, malmené, traîné dans la boue et traité de tous les noms d’oiseau, se transforment vulgairement, pitoyablement en carpettes dans leurs trous par leur couardise inégalée ?
Alors, si nous étions dans une démocratie véritable , transparente et dans un état de droit qui tourne à plein régime, dans l’hypothèse absolue où il y aurait des sondages en bonne et due forme, plus de 95 % des sénégalais interrogés, quelle que soit la date, ne souhaiteraient jamais que macky sall, le fraudeur, l’affairiste pétain noir, ou l’apostat en chair et en os de classe exceptionnelle, soit candidat aux prochaines élections présidentielles de 2019, 2025, 2030 et peut être même au-delà.
Tout d’abord, examinons donc le ciel obscurci du côté de la Seine, la référence prophétisée des colonies africaines et des élites attardées, serviles, cartellisées, toutes sont sous tutelle coloniale par le même gendarme colonial Selon un institut de sondage bien connu par les français, datant moins de trois mois, huit Français sur dix ne souhaitent pas que François Hollande soit candidat en 2017, pour n’avoir pas tenu ses engagements.
L’histoire d’un peuple déterminé, composé d’un agrégat d’hommes et de femmes, n’a de sens où elle se passe et au bon moment de son histoire.
Le pays de Marianne, qui a une histoire, matériellement tangible, tous les médias, massivement unis dans leurs cris d’orfraie, libres à l’endroit, sont tous debout, indépendants, tous unis , sans exclusive , montent au créneau, parlent d’un même langage, y compris même les instituts de sondages , jouent immanquablement leur partition, mesurant quotidiennement sans trêves la température ambiante, tirent à vue et crachent ce qu’ils appellent leurs vérités éternelles à l’encontre d’un seul personnage, fut-il le premier d’entre eux, ne manquent de piments pas, pour s’adonner , mordicus, du matin au soir, à des ratonnades torrentielles à couper le souffle contre ce dernier, sans modération aucune, en lui prédisant même sans appel, l’apocalypse en 2017, à date échue, si toutefois, il se représentera aux élections présidentielles, s’accordant inlassablement, la tête haute publiquement à François hollande, le challenger de Nicolas sarkozy, l’homme qui envoya à la corde le discoureur de Dakar, dans un débat télévisé, historique, qui est resté célébrissime. L’homme des slogans, le changement, c’est maintenant, tente de sauver les meubles, pour limiter la casse.
En France, les médias sont dans cette logique de la résistance, alors qu’ici, au contraire, plus les mensonges s’amoncellent de la part de celui qui fait faux bond aux concitoyens sénégalais, plus la meute de chiens , encapsulés, tous convertis en ribambelle d’énergumènes, de ramassis, taillables, et abimés, ne parlent que pour bien manger, font honteusement profil bas, à la face du monde, en dédouanant par des pirouettes alambiquées, le maître médiocre, lequel du haut de son piédestal , continue de tromper les sénégalais, tous accroupis. Alors que celui qui prônait des changements profonds au niveau du conseil anticonstitutionnel, passe par derrière et récupère de la main gauche ce qu’il défendait orbi et urbi, tord le bras à Moustapha niasse, qui s’y complaît, nomme tout seul, en définitive ; tous les membres de cette prétendue institution, placée à son escarcelle.
Comme on dit souvent, ne vendons pas la peau de l’ours avant de l’avoir tué. Malgré ce brouhaha infernal , burlesque indigeste et sciemment entretenu sur la question de la libération karim wade, ceux qui pensent que l’ex super ministre d’état ne se présenterait pas aux élections habituellement théâtrales de 2019, risqueraient de se fourvoyer et désenchanter lourdement, pour cause, auraient sûrement la gueule de bois, quand demain fera jour, car en tout état de cause et en toute logique, la nébuleuse internationale , qui a servi de pivot de premier plan, laquelle encordée à la mafia politico-financière interne, modelée par le premier délinquant de la république, en l’occurrence, le maître des reniements , ont réussi une prouesse titanesque dans le secret des dieux pour affranchir l’ancien super ministre d’état, qui a été condamné à 6 ans d’emprisonnement pour s’être enrichi illicitement à hauteur de 138 milliards F CFA.
Hypocrisie, filouterie, combines tout y est. il y aurait des surprises. Tout est bien possible, sous l’ère du nègre de services. Macky Sall. Rien n’est exclu d’avance, puisqu’il s’agit de l’éternel changeant incapable, lequel le moment venu, comme d’habitude, trouvera habilement un stratagème, qu’il qualifiera d’indispensable , contre toute attente, pourrait bien faire voter à l’assemblée nationale, une loi en catimini pour amnistier karim wade, soi-disant pour préserver la paix sociale, le climat délétère, exécrable, tendant à faire croire à un apaisement national, allant dans le sens de l’unité nationale, l’entente cordiale, politique et la cohésion sociale et au nom du dialogue politique de piètre qualité. Et le tour sera joué. C’est notre intime conviction, jusqu’à preuve du contraire.
Décidément, après les sorties et les invectives saccadées des uns et des autres, Abdou Latif Coulibaly, le journaliste politique « autoproclamé le Socrate du palais », béni, railleur, philosophe, qui se distinguer, y met son grain de sel sur ce qu’il est convenu d’appeler, le prolongement du plus vaste complot international de 2012- versus mafieuse constitue à n’en pas douter, un serpent à deux têtes – lui aussi, ne déroge pas à la règle des alignés, veut lui aussi défrayer la chronique, envahir les médias sous tutelle du pouvoir totalitaire, tient à ravir la vedette et égaler ses camarades.
Concurrence déloyale oblige, pour gravir des échelons et s’ériger en mascotte du palais alpulaar, l’homme y va avec ses propos surréalistes, en vue d’y tirer son miel sur l’actualité pressante du moment.
Le journaliste d’investigation est-il donc aveugle, sourd et muet sur la gouvernance bancale dispendieuse, éloquemment familiale ethnique, ségrégationniste, d’apartheid ?
La plume du despote, distille ses propres vérités historiques pour laver ipso facto et par ricochet ou gommer les taches de son parrain, qu’il adule, comme si rien n’était- plus takrip – finalement, ceux qui étaient en mauvaise en posture, et qui prétendaient défendre des valeurs, hier, se renient eux-mêmes à la place publique.
L’homme qu’il labellise est pire que son devancier par ses pirouettes et son banditisme financier, dont il est coupable, en sus de ses reculades massives, en particilier, la non réduction de son mandat présidentiel de 7 à 5 nans, qu’il a organisé par une parodie référendaire-deum : un comble du vandalisme- l’envoyé spécial du palais des féticheurs, qui est censé avoir une audience plus élevée que tout le monde, mandaté , mouille le maillot , ne fait pas de la dentelle, se met en jointure avec ses talibés , s’offre une tribune et tente de colmate les morceaux, pour arrondir les angles et cintrer, les coins, cherche une bouée de sauvetage à son bienfaiteur, tourne en dérision la libération karim wade, l’échappée belle, qu’il qualifie lui-même « d’assise sur la demande de sa famille », tendant à justifier l’injustifiable, en s’y prenant maladroitement.
De Senghor à Abdou Diouf, en passant par Abdoulaye Wade et jusqu’à principalement Macky Sall, ou la république apocalyptique des fétichistes ethniques, des proxénètes, des Xarfa foufa , « des salitigués, ressuscités » et de la magie noire. Et pour la première fois au Sénégal, la cassure du tuyau de keur Momar qui a privé tout Dakar d’eau pendant un mois consécutif et au-delà même, ne nous contredira pas sur ce plan là.
N’est-ce pas là une preuve de culpabilité avérée de Macky sall et sur fond d’un manque d’argument évident et d’un aveu de taille, indiscutable, que l’on ne saurait cimenter sous aucun prétexte ?
Tout compte fait, il y a lieu de réécrire les Comptes et mécompte Bis d’une magistrature, moribonde, carambouilleuse
, à l’aune des postes de nominations à connotations ouvertement ethniques, toutes conformes aux mêmes patronymes particuliers, sont synonymes de trahisons multiples.
Si la libération de karim wade est une assise sur la demande de sa famille, le faux chantre de la rupture, supposé incorruptible, est-il obligé de céder par la ruse de la puissance des pétrodollars de l’émir du Qatar ? Et pourquoi ? Que fait le journaliste politique sur les renoncements et les reniements exponentiels, infinis et surtout l’accaparement du pétrole et gaz, qui sont exclusivement entre les mains baladeuses de Macky Sall et Aliou Sall.
Abdou Latif Coulibaly est-il oublieux pour absoudre tout seul la gouvernance de Macky Sall, dont le moins que l’on puisse dire, n’est guère une orthodoxie, au point de nier l’histoire, surtout de la part de quelqu’un qui a été très loquace sur la gestion présumée nébuleuse, lors du sommet de la conférence islamique qui s’était tenu à Dakar en mars 2008 ? Abdou Latif Coulibaly emboîte-t-il donc le pas à Abdoulaye wade, qui tempêtait, jadis, des propos insolites, selon lesquels, il n’accepte pas que l’on critique un gouvernement auquel il participe. Pour rappel, sous le régime de Diouf, Me wade était nommé ministre d’état sans portefeuille.