vendredi 30 octobre 2015

Radio Sunuker Présente Emission « Xew Xewi Rewmi » avec Ahmadou Diop du 27 octobre 2015 : Spécial Lat Dior Ngoné Latir Diop : l’homme d’honneur, le résistant et patriote.



Spécial Lat Dior Ngoné Latir Diop : l’homme d’honneur, le résistant et patriote.
Rappeler l’histoire d’un peuple  est  par  définition, source  de  pédagogie.
Lat dior Ngoné Latir  Diop, fut  le Grand  Résistant  et  patriote,  qu’on a délibérément oublié   
Les  intelletuels incultes, en particulier l’élite politique, désertique,  ont  tous trahi et  failli  à  leur mission, ne s’intéressent qu’à eux, ne  parlent que d’eux, ne travaillent que pour leur promotion sociale par leur nombrilisme, mais  oublient sciemment par leur égoîsme  ceux qui sont morts pour  la patrie.
Tous les  héros   qui ont fait la fierté du  sénégal, sont  sacralisés pour perpétuer leurs mémoires.   Mais curieusement, la singularité  du Sénégal fait  que  Lat
Diop, l’indomptable guerrrier, demeure  l’exceptionnel  oublié.
Toute  capacité  de rappeler  l’histoire  glorieuse, emblèmatique  du grand résistant national est  vue sous l’angle d’une monarchie rampante.  Ce n’est qu’une simple vue de l’esprit. 
Le Sénégal  dénie ses résistants, mais  bénit ses traitres. Lat dior, le  patriote,  la figure de proue,  l’un des héros les plus emblèmatiques,  les plus charismatiques, témoignent éloquemment  la trahison  de  ses élites  contre cet illustre personnage, par son courage, sa ténacité remarquable , exceptionnnele de ce vaillant guerrrie, qui infligea de lourdes pertes  aux troupes colonialistes, malgré l’armement supérieur  de ces derniers.  Le sénégal  n’honore point  ses hommes d’honneurs historiques. 
Un peuple politiquement immature, oublieux,  enterre  sciemment  l’histoire  remarquable  et la  mémoire   de ceux  qui  jouèrent, jadis,  un role de premier de  plan.
Le Sénégal est-il vraiment un pays civilisé ?  Ceux qui ont  défendu héroïquement, vaillament résisté contre  la tyrannie  des colonialistes  sont  sciemment entérrés, oubliés, charcutés, réduits au silence, comme s’ils   furent des moins que rien.
De 60 à nos jours,   toute la classe polique du Sénégal  n’a jamais   n’affiché le moindre respect  vis-à-vis du tombeau de Lat Dior Ngoné Latir Diop, qui est en ruine et à l’indifférence quasi général. Une honte.
Lat Dior Ngoné Latir Diop, le téméraire, l’indomptable, le héros national du Sénégal, le  rarissime résistant, le  plus prestigieux,  l’audacieux,  le plus coriace et  le plus célèbre  de son temps,  fut l’ennemi tant redouté, redoutable des troupes coloniales.  Lisez bien les témoignages historiques  de  Faidherbe,  Pinet Laprade, Valois et Cie,  qui  en surent beaucoup sur l’homme qui laissa son empreinte digitale Au Sénégal. Et pour cause.  
Déjà à l’époque, Lat Dior Ngoné Latir Diop, âgé seulement à peine de 15 ans, entra  dans la case des hommes, combattit farouchement les troupes impérialistes  jusqu’à son dernier souffle, dans une bataille acharnée et violente à Dékheulé,  le 27 octobre 1886, qui resta  une date  historique dans les mémoires collectives. Cet homme fut bien  l’auteur  des propos célébrissimes, devenus une référence : « gan du  tabax »-l’étranger ne construit point !
La  bataille de Latir Dior Ngoné Latir commença, alors, en 1856, suite à la décision  de contruire   la ligne télégraphique Dakar - St Louis et celle  du chemin de fer  dans le  même sens.   La  ligne ferroviaire  fut financée  par la société  des Batignolles.
12 janvier 1864, Lat Dior Ngoné Latir Diop et  les tiédos  rencontrèrent Pinet Laprade à Loro. Lat Dior en tua plusieurs  hommes, mais perdit  au moins 300.
Au lendemain de l'abolition de la traite  nègrière européenne, il fallut  donc développer l’essor éconnomique  et corriger le manque à gagner.

Par Ahmadou Diop


mercredi 28 octobre 2015

Chronique: Spécial Lat Dior Ngoné Latir Diop : l’homme d’honneur, le résistant et patriote. Par AhmadouDiop CPC


Spécial Lat Dior Ngoné Latir Diop : l’homme d’honneur, le résistant et patriote. Rappeler l’histoire d’un peuple est par définition, source de pédagogie. Lat dior Ngoné Latir Diop, fut le Grand Résistant et patriote, qu’on a délibérément oublié. Les intelletuels incultes, en particulier l’élite politique, désertique, ont tous trahi et failli à leur mission, ne s’intéressent qu’à eux, ne parlent que d’eux, ne travaillent que pour leur promotion sociale par leur nombrilisme, mais oublient sciemment par leur égoîsme ceux qui sont morts pour la patrie. 

Tous les héros qui ont fait la fierté du sénégal, sont sacralisés pour perpétuer leurs mémoires. Mais curieusement, la singularité du Sénégal fait que Lat Diop, l’indomptable guerrrier, demeure l’exceptionnel oublié. Toute capacité de rappeler l’histoire glorieuse, emblèmatique du grand résistant national est vue sous l’angle d’une monarchie rampante. Ce n’est qu’une simple vue de l’esprit. 

 Le Sénégal dénie ses résistants, mais bénit ses traitres. Lat dior, le
patriote, la figure de proue, l’un des héros les plus emblèmatiques, les plus charismatiques, témoignent éloquemment la trahison de ses élites contre cet illustre personnage, par son courage, sa ténacité remarquable, exceptionnelle de ce vaillant guerrrie, qui infligea de lourdes pertes aux troupes colonialistes, malgré l’armement supérieur de ces derniers. Le sénégal n’honore point ses hommes d’honneurs historiques. 

 Un peuple politiquement immature, oublieux, enterre sciemment l’histoire remarquable et la mémoire de ceux qui jouèrent, jadis, un role de premier plan. Le Sénégal est-il vraiment un pays civilisé ? Ceux qui ont défendu héroïquement, vaillament résisté contre la tyrannie des colonialistes sont sciemment entérrés, oubliés, charcutés, réduits au silence, comme s’ils furent des moins que rien. 

 De 60 à nos jours, toute la classe polique du Sénégal n’a jamais affiché le moindre respect vis-à-vis du tombeau de Lat Dior Ngoné Latir Diop, qui est en ruine et à l’indifférence quasi général. Une honte. Lat Dior Ngoné Latir Diop, le téméraire, l’indomptable, le héros national du Sénégal, le rarissime résistant, le plus prestigieux, l’audacieux, le plus coriace et le plus célèbre de son temps, fut l’ennemi tant redouté, redoutable des troupes coloniales. 

Lisez bien les témoignages historiques de Faidherbe, Pinet Laprade, Valois et Cie, qui en surent beaucoup sur l’homme qui laissa son empreinte digitale Au Sénégal. Et pour cause. Déjà à l’époque, Lat Dior Ngoné Latir Diop, âgé seulement à peine de 15 ans, entra dans la case des hommes, combattit farouchement les troupes impérialistes jusqu’à son dernier souffle, dans une bataille acharnée et violente à Dékheulé, le 27 octobre 1886, qui resta une date historique dans les mémoires collectives. 

Cet homme fut bien l’auteur des propos célébrissimes, devenus une référence : « gan du tabax »-l’étranger ne construit point ! La bataille de Latir Dior Ngoné Latir commença, alors, en 1856, suite à la décision de contruire la ligne télégraphique Dakar – St Louis et celle du chemin de fer dans le même sens. La ligne ferroviaire fut financée par la société des Batignolles. 12 janvier 1864, Lat Dior Ngoné Latir Diop et les tiédos rencontrèrent Pinet Laprade à Loro. Lat Dior en tua plusieurs hommes, mais perdit au moins 300. Au lendemain de l’abolition de la traite nègrière européenne, il fallut donc développer l’essor éconnomique et corriger le manque à gagner.

Par Ahmadou Diop CPC

mercredi 21 octobre 2015

Radio Sunuker présente Emission « Xew Xewi Rewmi » avec Ahmadou Diop du 20 Octobre 2015: Laurent Gbagbo, le résistant, panafricain ?



Nous allons parler d’un homme : un résistant, qui a ses qualités, et ses défauts, nous paraît honorable par sa combativité remarquable. Bref, la sentinelle entre dans le panthéon des héros panafricains. Il est aussi un soldat de haute stature pour la démocratie. 
Il s’agit du tigre réel ivoirien, Cet homme de conviction, paye donc son engagement pour l’indépendance de son pays, mais aussi pour la libération totale du continent africain, tant sur le plan politique, économique militaire que monétaire. 
Pour les élections présidentielles en Côte d’ivoire du 25 octobre 2015, la messe est-elle déjà dite ? 
Le tigre est sous les verrous de la cpi, pour son patriotisme et son panafricanisme. Sa détermination, son engagement et son dévouement sur la cote d’ivoire, son pays de naissance, sa patrie qu’il aime tant, lui coûtent tous ses déboires. 
La Communauté dite « internationale », en lieu et place des ivoiriens et du conseil constitutionel, déclaraait Alassane Ouattara, vainqueur contre son rival, Gbagbo.
Lors des élections présidentielles en Côte d’ivoire de 2010, orchestrées sur l’imbroglio ivoiro-iovorien, l’abondance de la mécanique de référence aux orientations impérialistes, lynchait sans retenue le coupable désigné en mauvaise posture : Laurent Gbagbo. La règle générale : savoir distiller par tous les moyens les mensonges, au besoin par l’automacité des falsifications exagérées, en les travestissant, sciemment et de nature à créer le choc et le dégout de la partie adverse, pourvu qu’ils atteignent et heurtent l’opinion internationale, peu importent donc qu’eils soient vrais ou fausses . Ceci dans le but de discréditer le présumé coupable, qu’il faut nécessairement abattre, accabler avec des preuves ridiculement erronées, inventées de toute pièce. 
L’objectif visé, c’est faire douter le peuple et renverser favorablement la situation au camp « de la république du Golf « et légitimer sa cause, en faisant porter les atrocités ignobles au seul camp de la prétendue vindicte populaire. Et le tour est joué. La guerre de l’information doit être menée sans état d’âme, car le lecteur ne doit jamais réfléchir, puisqu’on est dans une prétendue démocratie habile à retourner les situations pour son compte. 
Ce faisant, le journal local, le patriote de la déroute qui servait exclusivement les intérêts étrangers en bonne posture, en service commandé recommandé, fait le sale boulot de sape : la désinformation sans retenue, ni humilité aucune, qu’il faut absolument reprendre en boucle sur toutes les chaînes capitalistes organisées parfaitement par le pouvoir de l’imposture et au nom galvaudé de la nébuleuse internationale. 
Dénigrements, blanchiment des mensonges grotesques, informations irrévérencieuses, tous azimuts, voilà le maître mot du dénominateur commun de la propagande pestilentielle décomplexée au service de la nébuleuse internationale, l’axe du mal de la tyrannie versatile.
Laurent Gbagbo a bien du mérite, pour avoir osé de mettre surpied des mécanismes politiques et afin de sortir la Côte d’ivoire sous tutelle et créer, ainsi, sa propre monnaie, à l’instar des autres pays libres et indépendants. Son initiave salutaire risquait de faire tache d’huile sur l’enemble des 14 pays de la zone franc. L’homme a bien posé des jalons d’indépendance réels pour la Côte d’ivoire. C’est bien cela qui explique sa déportation à la CPI.
Le même Ouattara contestant, aujourd’hui, l’élection la victoire de son rival n’est pas à son coup d’essai, suite à la mort d’Houphouët Boigny le 7 décembre en 1993. Le même personnage refusait jadis l’élection d’Henri Konan Bédié à la présidence de la République. Ouattara n’aime pas la Côte d’ivoire, mais n’aime que lui-même pour ses propres intérêts crypto personnels, mal placés. 
Alassane Ouattara devient le président de la république de la Côte d’ivoire, suite à l’intervention de l’Onu, le 11 avril 2011. Lors des manifestants du 18 février 1992, Laurent Gbagbo échappe de peu à un assassinat, car la balle qui lui était destinée, le rate et après avoir ricoché sur le macadam, fait éclater la rotule d’une dame qui le suivait. 
Aussi extraordinaire que cela puisse paraître, Alassane Ouattara, qui était premier ministre à cette date, des commerces ont été incendiés, sauf celui de sa femme, Dominique Ouattara.
On est soit putschiste ou démocrate. Mais jamais les deux à la fois, dit Laurent Gbagbo dans une interview d’un journal à Genève, 24 avril 2011 22h41. Quelle intelligence et quel courage !
LG : « Absolument. S’il y a une chose que je ne supporte pas c’est la soumission. Surtout quand elle engage la vie de tout un peuple. Mes convictions ne sont pas négociables. Tant pis si j’en paie le prix.»
Pour régler une crise post-électorale, avait-t-on vraiment besoin de verser du sang ivoirien ? 
Aux Etats-Unis, en 2000, suite au contentieux électoral entre Georges W. Bush et AL Gore, les prétendus parangons de la démocratie avaient-ils besoin des armes ? Et pourquoi exclusivement en Côte d’ivoire et pour la première fois dans l’histoire des élections ?
Dés 1990, premier ministre de Félix Houphouët Boigny , le président Ouattara a confié pour quinze ans la concession privée de l’eau et de l’électricité de la Côte d’ivoire à Martin Bouygues, ami intime de Ouattara lui-même.
Sylvanus olympio au Togo, élu président de la république en avril 1960, annonce que l’un de ses premiers objectifs majeurs est que le Togo sorte de la zone franc au profit de la monnaie anglaise. Les accords qui devaient fixer la rupture entre la banque de France et celle du togo devraient être signés le 15 janvier 1963. Deux jours avant, il est assasssiné le 13 janvier. 
Laurent GBABO, qui voulait suivre les traces de Sylvanus Olympio a été écarté lui aussi du pouvoir.
Par AhmadouDiop CPC

mardi 20 octobre 2015

Chronique : Laurent Gbagbo, le résistant, panafricain ? Par Ahmadou Diop CPC



Nous allons parler d’un homme : un résistant, qui a ses qualités, et ses défauts, nous paraît honorable par sa combativité remarquable. Bref, la sentinelle entre dans le panthéon des héros panafricains. Il est aussi un soldat de haute stature pour la démocratie.
Il s’agit du tigre réel ivoirien, Cet homme de conviction, paye donc son engagement pour l’indépendance de son pays, mais aussi pour la libération totale du continent africain, tant sur le plan politique, économique militaire que monétaire.
Pour les élections présidentielles en Côte d’ivoire du 25 octobre 2015, la messe est-elle déjà dite ?
Le tigre est sous les verrous de la cpi, pour son patriotisme et son panafricanisme. Sa détermination, son engagement et son dévouement sur la cote d’ivoire, son pays de naissance, sa patrie qu’il aime tant, lui coûtent tous ses déboires.
La Communauté dite « internationale », en lieu et place des ivoiriens et du conseil constitutionel, déclaraait Alassane Ouattara, vainqueur contre son rival, Gbagbo.
Lors des élections présidentielles en Côte d’ivoire de 2010, orchestrées sur l’imbroglio ivoiro-iovorien, l’abondance de la mécanique de référence aux orientations impérialistes, lynchait sans retenue le coupable désigné en mauvaise posture : Laurent Gbagbo. La règle générale : savoir distiller par tous les moyens les mensonges, au besoin par l’automacité des falsifications exagérées, en les travestissant, sciemment et de nature à créer le choc et le dégout de la partie adverse, pourvu qu’ils atteignent et heurtent l’opinion internationale, peu importent donc qu’eils soient vrais ou fausses . Ceci dans le but de discréditer le présumé coupable, qu’il faut nécessairement abattre, accabler avec des preuves ridiculement erronées, inventées de toute pièce.
L’objectif visé, c’est faire douter le peuple et renverser favorablement la situation au camp « de la république du Golf « et légitimer sa cause, en faisant porter les atrocités ignobles au seul camp de la prétendue vindicte populaire. Et le tour est joué. La guerre de l’information doit être menée sans état d’âme, car le lecteur ne doit jamais réfléchir, puisqu’on est dans une prétendue démocratie habile à retourner les situations pour son compte.
Ce faisant, le journal local, le patriote de la déroute qui servait exclusivement les intérêts étrangers en bonne posture, en service commandé recommandé, fait le sale boulot de sape : la désinformation sans retenue, ni humilité aucune, qu’il faut absolument reprendre en boucle sur toutes les chaînes capitalistes organisées parfaitement par le pouvoir de l’imposture et au nom galvaudé de la nébuleuse internationale.
Dénigrements, blanchiment des mensonges grotesques, informations irrévérencieuses, tous azimuts, voilà le maître mot du dénominateur commun de la propagande pestilentielle décomplexée au service de la nébuleuse internationale, l’axe du mal de la tyrannie versatile.
Laurent Gbagbo a bien du mérite, pour avoir osé de mettre surpied des mécanismes politiques et afin de sortir la Côte d’ivoire sous tutelle et créer, ainsi, sa propre monnaie, à l’instar des autres pays libres et indépendants. Son initiave salutaire risquait de faire tache d’huile sur l’enemble des 14 pays de la zone franc. L’homme a bien posé des jalons d’indépendance réels pour la Côte d’ivoire. C’est bien cela qui explique sa déportation à la CPI.
Le même Ouattara contestant, aujourd’hui, l’élection la victoire de son rival n’est pas à son coup d’essai, suite à la mort d’Houphouët Boigny le 7 décembre en 1993. Le même personnage refusait jadis l’élection d’Henri Konan Bédié à la présidence de la République. Ouattara n’aime pas la Côte d’ivoire, mais n’aime que lui-même pour ses propres intérêts crypto personnels, mal placés.
Alassane Ouattara devient le président de la république de la Côte d’ivoire, suite à l’intervention de l’Onu, le 11 avril 2011. Lors des manifestants du 18 février 1992, Laurent Gbagbo échappe de peu à un assassinat, car la balle qui lui était destinée, le rate et après avoir ricoché sur le macadam, fait éclater la rotule d’une dame qui le suivait.
Aussi extraordinaire que cela puisse paraître, Alassane Ouattara, qui était premier ministre à cette date, des commerces ont été incendiés, sauf celui de sa femme, Dominique Ouattara.
On est soit putschiste ou démocrate. Mais jamais les deux à la fois, dit Laurent Gbagbo dans une interview d’un journal à Genève, 24 avril 2011 22h41. Quelle intelligence et quel courage !
LG : « Absolument. S’il y a une chose que je ne supporte pas c’est la soumission. Surtout quand elle engage la vie de tout un peuple. Mes convictions ne sont pas négociables. Tant pis si j’en paie le prix.»
Pour régler une crise post-électorale, avait-t-on vraiment besoin de verser du sang ivoirien ?
Aux Etats-Unis, en 2000, suite au contentieux électoral entre Georges W. Bush et AL Gore, les prétendus parangons de la démocratie avaient-ils besoin des armes ? Et pourquoi exclusivement en Côte d’ivoire et pour la première fois dans l’histoire des élections ?
Dés 1990, premier ministre de Félix Houphouët Boigny , le président Ouattara a confié pour quinze ans la concession privée de l’eau et de l’électricité de la Côte d’ivoire à Martin Bouygues, ami intime de Ouattara lui-même.
Sylvanus olympio au Togo, élu président de la république en avril 1960, annonce que l’un de ses premiers objectifs majeurs est que le Togo sorte de la zone franc au profit de la monnaie anglaise. Les accords qui devaient fixer la rupture entre la banque de France et celle du togo devraient être signés le 15 janvier 1963. Deux jours avant, il est assasssiné le 13 janvier.
Laurent GBABO, qui voulait suivre les traces de Sylvanus Olympio a été écarté lui aussi du pouvoir.
Par AhmadouDiop CPC

mardi 13 octobre 2015

Radio Sunuker présente Emission « Xew Xewi Rewmi » avec Ahmadou Diop du 13 Octobre 2015: Les égouts politiques paradisiaques : le Sénégal à l’honneur des imposteurs.



Reparlons encore du  climat délètre  politique sénégalais ! Et pour cause. Toute la sphère politique  sénégalaise, bancale,  entre autres,  des journalistes-poilitiques, patrons de presse,  des marabouts-politiciens,  tous  sont presque  abonnés aux pratiques  hypothétiques. Il ne suffit  pas de s’enturbanner ou  se déclarer de  l’épithète  musulmane,  pour  prétendre  réellement incarner la qualité de droiture. 
Le sénégal est  par excellence le ciel  obscurci de l’hypocrisie presque généralisée   de toutes les escroqueries inimagibles à tout vent. Contrairement aux idées, il n’y en a la pelle.  L’enrichissement tout acabit fait florès contre la morale. Un tabou qu’il convient  de  lever. à tout prix  Si les uns s’enrichissent par   leurs noms, les  autres utilisent les paramètres fourre-tout  par l’entregent  des postes de nominations, édictés par le système mafieux, qui autose toutes les dérives exponentielles.  Nous sommes en plein régime  d’une  société à deux vitesses.
La liberté au nom de la démocratie ! Un peuple, un but, une foi, telle est la devise de la République. Nous sommes des patriotes de conscience et des citoyens libres d’esprit, imbus des valeurs démocratiques  pour instaurer une société égalitaire plus juste et non une société à deux vitesses dans laquelle les uns s’enrichissent ostensiblement et librement que leur confère leur posture, tandis que le reste, majoritairement écrasé, lassé et laissé pour compte, tire le diable par la queue.
Le 10 mai 1977, Albert  Spaggiari, l’homme qui défraya la chronique  quelques mois plus tôt  en réussissant  le casse du siècle  à Nice, saute par la fenêtre du palais de justice  et s’échappe à moto…
Eh bien Macky Sall  et Cie  ont aussi tous utilisé les  mêmes égouts du paradis politique  pour s’enrichir  bassement, en  assurant leur promotion sociale en toute l’impunité totale.  Tous sont  des cambrioleurs nés.  Toute la classe politique sénégalaise et l’armada  de la déficonture  pourrie  des journalistes -politiciens  clientélistes ont emprunté les mêmes chemins douteux des enrichissements  totalement illicites jusqu’aà la lie.  Ousmane Tanor Dieng, un dinosaure parmi tant d’autres à la pelle, Moustapha Niasse,.  Ce dernier est étrangement pétrolier et actionnaire  de la société  Oryx, classé 40 ème compagnie pétrolière au monde.
 Idrissa seck, Abdoulaye  Baldé, Karim Wade, Ahmat Dansokho, Abdoulaye Bathily, Khalifa Sall,  Landing Savané,  lequel  recevait  mensuellement un pactole de 30 millions  de nos francs.  Ils  sont tous des  multimilliardaires  qui ont utilisé les mêmes raccorcis politiques, pour ne citer que ceux là.
Ceux   qui se couvrent  sous le paravent « de kala»  ou écharpe  n’échappent non  plus à la régle, usent vertement   de leur posture  supposée   de guide religieux,   se remplissent pleinement,  gloûtonnement  leurs  poches,  aunom de la religion musulmane.    
L’ethniciste ou «  l’affairiste Pétain Noir »,  joue  nécessairement  sur le  piano américano-français.  Le promoteur  du  népotisme et de la gabégie est-il un  vraiment  un  croyant ? « Ndax amna  diné ? ».
Macky n’est  qu’un messie terroriste ethnocentriste de la démesure, grisé par le pouvoir auquel il ne s’attendait nullement.  N’eûssent été ses milliards de ses sponsors colonialistes il ne serait jamais  président du Sénégal. 
En vérité, Allah ne change pas l'état d'un peuple tant que celui-ci ne change pas ce qui est en lui-même. } [Sourate 13 - Verset 11]
Être musulman, c'est avant tout croire en Allah  se soumettre à Lui et obéir à Sa Volonté. La foi musulmane se manifeste dans le comportement du croyant. Une foi qui ne modifierait pas le comportement serait déficiente. Car, en vérité, les actes d'une personne témoignent de ses convictions et donc de sa moralité. 
L’ homme de la rupture éclopée   s’est bien enrichi  honteusement sur la gestion des affaires  de  la  Cité, en enrichissant  par  ricochet, sa propre  femme, Marième Faye,  et toute sa famille  immédiate  pressureuse, de naissance , faussaire  jusqu’à l’abîme.
Le Despote endurci  sévit, interdit tout, punit,  emprisonne à tout vent,  qui il veut, quand  il veut comme il veut à sa propre convenance,  imprime sa marque de fabrique. Et le peuple  anesthésié, subit  tout,  se tient docilement,  brille  dans un silence  déplorable.
Toute capacité de  résistance contre  la dictature devient  systèmatiquement  un tabou,  crée la désunion totale,  à contrario,  la bassesse  majoritaire  l’emporte sur tout le reste.
Tout développement  de  tout  pays  commence  d’abord  par l’instruction civique et l’éducation politique de ses citoyens.
Les sénégalais n’honorent point  leurs héros, mais adulent  leurs  usuels traitres de référence qui les oppriment. Cheikh Anta Diop, valdiodio Ndiaye, Mamadou Dia et Cie  en sont une  illustration parfaite.
L’abondance de  la puanteur  locale,  nauséabonde,  embrigadée,  cartellisée  de  servitude de caniveau, servait de fil conducteur et de ralliement. Ainsi donc,  les médias endogènes   de  relais   bien  attachés   avec  la  presse étrangère, colonialiste,  propangandiste de référence, balisaient  le terrain  pour mettre en orbite un falsificateur historique, qui se niche derrière les grilles d’un palais Alpullar. A l’époque, les oligarchies financières internationales,  militaro-industrielles, capitalistes, impérialistes,  tel un écheveau  en jointure avec les lobbies maçonniques  qui  furent   preuve de prouesse exceptiuonnelle,  avaient  réussi  à rouler  dans la farine  la majorité  l’électorat  sénégalais candide. Ces derniers méconannaisent  totalement  la face cachée d’un  escroc  né,  qui  dissimulait dans le secret des dieux  son véritable visage hideux. 
En 2007, le directeur de campagne de son maître, Abdoulaye wade, avait pourtant voté par la force dans son bureau de vote, sans  daigner  montrer  sa  pièce d’identité.
Nous devons absolument nous inscrire au même  standard  historique  que  l’Europe, les  Etats-unis, les pays émergents, qui ont hissé  leurs  pays respectifs  à un haut niveau  de croissance économique et sur le plan  technique, politique  que  militaire. Aujoud’hui comme hier, toutes  ces grandes nations qu’on appelle les grandes démocraties occidentales, hautement  développées, ont crée les conditions obligatoires de leur dynamisme qui ne cesse d’augmenter sur des bases  voulues en toute conscience et  en toute en  indépdenance.  Quand on veut, on peut.  C’est une question de conscience,  collective, d’intuition politique  et de courage.   Sommes-nous donc   des incapables  pour n’être  que  sous la dépendance de l’assistanat international  ou les éternelles  vaches à lait du monde  impérialiste, capitaliste ?
Sommes-nous des abonnés de l’éternel recommencement,  qui est facteur  de fatalisme,  d’insuffisance atavique ou  de consentement réactionnaire?  L’esprit rationnel peut-il  accepter  qu’une bande de voyous,  nommés par le miracle des postes de nominations-Tan Sa Bula Nex- lesquels  sont magiquement  devenus si   riches subitement et demeurent  en éternelles sangsues, voraces,  brillent, sans coup férir, dans une opulence préjudiciable, apparente, puissent sévir  et agir sans foi ni loi et  croire  pouvoir  mettre en  bouteille   tout  un peuple, présumé soumis  d’avance ?
Ahmadou  Diop CPC