mercredi 23 janvier 2019

L’ITALIE, LA FRANCE ET LA COLONISATION – Par Khadim NDIAYE



M
embres du gouvernement italien, merci de rappeler aux autorités françaises leurs crimes. Ces autorités sont dans tous leurs états en ce moment. Pour elles, c’est un coup de poignard dans le dos reçu du frère italiano.
Les dirigeants français n’aiment pas qu’on leur rappelle ce passé si sombre. Ils ont même forgé le concept de « repentance » pour ne pas voir la vérité en face.
Chers Italiens, les Africains apprécient positivement cette dénonciation même s’ils auraient aimé le faire eux-mêmes.
J’en profite quand même pour vous dire que vous aussi avez tenté l’expérience coloniale. Nous n’avons pas oublié, chers frères Italiens. Votre Mussolini a voulu, lui-aussi, offrir à son pays un empire colonial digne des autres grands pays européens.
Votre expérience éthiopienne quoique courte est restée dans les annales. Si vous n’êtes restés que cinq ans en Éthiopie, c’est parce que la résistance a été farouche. Vous avez dû fuir et abandonner le projet.
Mais en seulement cinq années, votre colonisation de peuplement a été surprenante : près de 20 000 Italiens envoyés en Éthiopie !
Beaucoup de choses se sont passées durant ces cinq années, mais nous retenons particulièrement le triste Massacre de Graziani.
Durant 3 jours (entre le 19 et le 21 février 1937), les rues d’Addis-Abeba étaient jonchées de cadavres. On compta au total plus de 20 000 morts ! Le Yekatit 12 (date du calendrier éthiopien correspondant au 19 février) est connu de tous les Éthiopiens. Un monument a même été érigé dans la capitale à la mémoire des victimes.
Un documentaire a été réalisé sur ce massacre par la BBC en 1989, mais vos services de l’audiovisuel (ceux de la chaîne RAI) ont acheté tous les droits afin que personne ne voie les images de ces terribles massacres. Vous aviez voulu cacher le crime.
Chers ministres italiens, merci encore pour le coup de gueule fortement apprécié en Afrique francophone. Vous avez été vraiment francs avec la France sur la colonisation. Nous aussi, avons voulu être francs avec vous.
Cordialement.

2019 : la chronique annoncée des parades militaires à Dakar ? Par Ahmadou Diop.

L’unique option  contre la démocratie :  ou  la rigueur de la terreur ?
Le récidiviste pantin nègre de service, brigand,  s’est décidé à garder le  pouvoir, arrachera–t-il   cette fois ci, sa  propre victoire, comme  sa règle édictée pour sortir l’armée  et le sous fallacieux  prétexte de trouble à l’ordre public ?
Sans  le dire ouvertement, le régime fantoche,  inquisitoire, fasciste jusqu’à l’os,  semble   choisir la voie obscure, opterait-il, comme toujours,   par  la  répression brutale  et rempoter par la petite porte les scrutins présidentiels de 2019.
Compte tenu de ce que nous avons subi jusqu’ici, comme déboires, l’esprit rationnel  peut-il accepter que l’on puisse renouveler  le mandat  plus que calamiteux d’un irresponsable ?
 L’indignité du tonitruant, qui est au sommet de l’état sénégalais,  est devenue par la force des choses   une norme, partagée. Mais voulez-vous, lorsque la majorité des sénégalais  se complaisent aisément, votent les yeux fermés  pour un fraudeur incorrigible.

À peine, qu’il  a fixé  la date des présidentielles en 2019,   Macky Sall commande des Ejder Yalcin et des Ejder Toma,  le revoilà encore avec ses sabots, annonce  la couleur,  et  tient mordicus à bâillonner les scrutins présidentiels ! Plus personne ne l’ignore. Un Casus Belli indiscutable contre tout le peuple.

Le  planificateur  écrit le scénario, et nous  donne un avant-goût par la  bande annonce : achat des Ejder Toma,  dont le chiffre reste un secret, en sus  de la commande  d’armes à la France, estimée  officiellement  à  30 millions d’euros
 En vérité, ce n’est pas beau à entendre, mais  qu’on le veuille ou non,  le vote majoritaire, irrationnel, crée les conditions obligatoires, élisent leurs propres  bourreaux, qu’il catapulte au sommet de l’état, qui  le tuent, l’enterrent  violemment le plus  remarquablement du monde, sans autre forme de procès.
Rafraîchissons les mémoires et la  Grave révélation de Macky Sall: “des armes de types “Taser” ont débarquées au port de Dakar” en mars 2102.
 En mars 2012, Macky Sall, le candidat  de la France, en  meeting de clôture au Stade Alassane Djigo de Pikine, déclarait : «  le régime a commandé et débarqué au port de Dakar des «Taser» et d’autres types d’armes pour réprimer le peuple après le hold-up électoral, y ajoutait que le régime  était  prêt à tout pour faire du « fokharci (hold-up),  mais le coup de force ne passera pas   »
L’accusateur ou l’arroseur  arrosé des  Fake news contre l’ancien  régime auquel il a cheminé  pendant  8 ans, lui a permis de s’enrichir gloutonnement,  s’est  lamentablement  métamorphosé   en  Cheval de Troie de la haine viscérale, reste  plus que jamais  le même  menteur professionnel-profanateur sans vergogne,   commande du matériel de répression.
Macky félicite Aly Ngouille Ndiaye, l’homme des propos scandaleux, déclare qu’il  a l’intention  de travailler  pour que  le président Macky Sall  gagne au premier tour.
 Décidément, le délinquant de la république familiale, n’a plus aucune limite, s’autorise par son mépris congénital contre  tout le peuple sénégalais, qu’il insulte en permanence, depuis le  triste regrettable soir historique du 25 mars 2012. Plus on le laisse faire,  l’homme des paroles dédites, empêtré dans ses contradictions et ses mensonges politiques les plus saugrenus, continue et s’en fout de tout,  piétine allégrement les fondements d’un état  vassalisé, y met  nécessairement  des couches épaisses par son banditisme et son verbatim de piètre qualité, qui lui collent  à la peau.
Sommes-nous alors ses sujets taillables, corvéables à merci, ou  des couards, des maudits par notre consentement réactionnaire  quasi généralisé, pour lui laisser  le terrain, et qu’il paisse  ses âneries purulentes, qui se perlent à longueur de journée, dont il détient l’exclusivité ?
Si nous étions dans une démocratie parlante et dans  un pays civilisé avec des acteurs politiques à  la hauteur  et à l’endroit,  nous devrions appliquer systématiquement à la lettre, spontanément,  le principe  de l’appel à l’action matérielle, c’est à dire  la réponse du berger à la bergère, face au  désolant,  n’aurait pas eu le temps  de passer une seule minute au palais.  Malheureusement, nous avons affaire à des politicards, discoureurs, incantatoires,  qui parlent plus qu’ils n’en font en réalité.
 Avant qu’il ne soit trop tard,  il faut le virer  sans attendre les élections de 2019, qu’il volerait.
A quoi bon  de  réélire un braqueur électoral  Gouvernement de capharnaüm, paresseux , qui    est composé   d’une  pléthore  de  chiffonniers,  clientélistes,  vindicatifs , égoïstes et  inutiles  vivent aux crochets   de la république,  passent leur sale temps  à  égrener  les éloges imaginaires d’un félon  autocrate, opportuniste,  versatile   hautain et suffisant ?
Les stratégies Secrètes  d’un  Grand Guignol, Délinquant froid, hargneux,  agit  sans scrupules, ni vertu,  ni humilité, ni empathie au sommet de l’état  sénégalais, vassalisé.
Alors  que bizarrement, contre toute morale,  une telle  dynastie  familiale  de la dernière minute, qui est sortie des ténèbres, devient  si gloutonnée  massivement, est piteusement, copieusement  engraissée dans les deniers de l’état,  n’a jamais existé  dans les annales  de  toute l’histoire du  Sénégal ;   comme par hasard,  au moment où le valet nègre de service  de la France, digne de son rang,  arrive au pouvoir,  grâce à l’esclandre blasphématoire  en grand renfort de publicité mensongère, cataclysmique, par la baguette magique de la propagande abracadabrantesque  des médias, présumés faiseurs de roi et d’opinion.
Karim wade défie Daker et Doha, titre la sarabande mercenaire de ramassis se déchaîne, perd son sang froid.  La déchéance est à son comble dans notre  pays.
  Et  le mercenaire,  amnésique, arriviste,  le directeur-alimentaire   du quotidien de caniveau,  fait parler de lui encore,  s’arroge  piteusement  la remorque des pantalonnades  suintantes massives  à couper  le souffle, s’accommode en spectacle, titre […] indignement  Karim, de quel Peuple prétendrais-tu être le candidat ? (Par Madiambal Diagne).

De qui se moque encore   le  ripoux- pion  invétéré, pouilleux,  le  teigneux,   le  valet  le  plus sûr  de la ribambelle médiocre, alignée, plaide pour la cause et les faits   d’un contrefacteur.  Le plumitif est-il vraiment digne ?

L’irréfléchi, corrompu, l’acteur politique,l’écervelé, ou l’homme des légèretés haineuses,  abracadabrantesques, décousues, peut-il nous dire à la place publique  sa valeur ajoutée en matière  d’objectivité et sur la confronté des idées ?  Que valent donc ses simagrées ?

La même presse propagandiste de référence,  populiste, qui  tire à boulets rouges  sur les uns et les autres,  légalise et labellise ses méthodes fascistes, en échange des rétributions financières, volées dans les caisses de l’état agenouillé, vassalisé jusqu’à l’abîme.
  Gouverner, ce  n’est pas synonyme d’un chèque en blanc.  Mais  l’imposteur ne l’entend pas de cette oreille,  qui nomme sa justice  instrumentalisée,  la  manipule à sa propre guise,  contrôle tous les corps de contrôle, soi-disant  institutionnels, sème la terreur, emprisonne à tour de bras  tous adversaires,  n’a  pas confiance en lui. C’est le cas du facho  qui imprime sa marque de fabrique. Un tel  individu n’est pas digne.
 Alors, que feraient  donc l’armée nationale, la police et la gendarmerie jusque là,  qui apparaissent jouer leur rôle supplétif, semblent être toutes équidistantes  en retrait et au nom d’une neutralité  bizarroïde ?
Alors,  le secrétaire général de l’APR, qui est présumé le président de la république, est un chef de clan par définition.   Si les élections présidentielles se dérouleront dans  les conditions optimales, la transparence  et  la démocratie,  le parti cliniquement  clanique,  fatigant,  n’aura aucune chance de se  qualifier au deuxième tour arithmétiquement, politiquement au regard des rapports de force en face.

 Face à l’étrange comédie électorale  à l’horizon 2019, qui se jouera inéluctablement  dans la cour des voleurs  milliardaires en bande organisée  et  dans laquelle  le pire  Casseur du Siècle, qui  utilise  par devers  et  sans discernement tous les moyens  de l’état,   risquerait de  remporter  la mise par sa lâcheté à coup sûr.

A moins que le peuple, debout,  comme un seul homme,  s’unisse  et se soulève massivement, pour en découdre avec le traitre place  pour en finir avec lui.
Comme toujours, le nullard de la république des voyous et des proxènes ethnique,  oriente le débat, imprime sa marque totalitaire  et se focalise sur ce qu’on lui dicte, s’exécute le sale boulot,  la caste  empestée médiatique, de carpette,  médiocre presse des pantalonnades décidée,  décriée  et  opportuniste, envoyée aux charbons, démontre son véritable hideux qu’on lui connaît.  Karim wade n’est-il  pas donc  un citoyen  sénégalais ?

 La même  mécanique ordurière qui  marche  au pas du politiquement incapable, fait du bruit, tendant à masquer la culpabilité du pion – qui joue sur le piano américano français pour leur donner du travail.  Qui construit la langue de barbarie et à  quel prix ?

 C’est ça l’émergence coloniale de piètre qualité !  Et l’affaire Abdoulaye Sylla, administrateur provisoire de Aviation Handling Services (Ahs  himself, nommé par la CREI et sur ndiguel  direct  d’en haut,  est un ami intime de Marième Faye et l’homme à tout faire du couple présidentiel, selon une certaine bien informée Et pour cause.

Abdoulaye Sylla , très humidifié Taxrip-  un proche de Marième Faye,  qui a détourné plus de 800 millions  de  F CFA devant la barbe et au nez d de ladite  Crei, ou la face cachée d’un  gouvernement capitulard  de capharnaüm, n’est qu’un prête- nom du paresseux fiston, Amadou Sall, le multimilliardaire  fils  du cambrioleur né,  passe comme une lettre à la poste, juge et partie ?

 Celui  qui contrôle  tous  les médias par sa petitesse d’esprit, contrôle tout le pays.   Ce n’est plus acceptable, qu’on le veuille ou non.

On est bien dans   l’absolution  des intuitions pour les phagocyter.  ne nous laissons pas divertir par  cette bande de  farandoles, qui se complaisent, se dégonflent piteusement, ,dangereusement,  n’ont aucune vertu ,  ni  aucune parcelle de  déontologie professionnelle.
 Nous  ne leurrons pas ! Ceux qui parlent le plus du haut de leur ignorance, sont les plus mouillés.  On ne le répétera jamais sans assez, la dépendance  politique, financière, constitue une menace réelle à la démocratie.  je le répète. Tout pouvoir abusif, pour être charismatique, musèle et contrôle la presse, est par définition, totalitaire. Et la cohorte  des suppôts  corporatistes, fachos tentent de blanchir les forfaitures   gigantesques du berger colonial,  qui n’a aucune parole,   ne dispose guère d’un iota de  moralité, peu ou prou,  car d’un côté, on  rejette  l’ancien super ministre du Ciel et de la Terre,  tandis que disque de l’autre côté,  on légalise par devers, en fermant nos yeux  sur les mêmes pratiques, douteuses d’une république familiale, qui est pire que tout.   Il faut que nous soyons tous  justes et responsables.

Et la presse corrompue,  antipatriotique,  matelassée, dressée en coupe réglée,  brille elle même par son silence  cynique,  est coupable,  a  choisi son camp- un secret de polichinelle- vit aux dépens de la mendicité, compte tenu de son immoralité affligeante.

Chronique : les lobbies franc-maçonniques et les Croyances Mystiques sont-ils source d’impunité et de Totem chez les Falsificateurs Nègres de Services ? Par Ahmadou Diop.

Qu’on le veuille ou non, les  faussaires nègres de services  tous des  tondus et  unifiés sous le joug  colonial sont par définition, le talon le Talon d’Achille à la démocratie   en Afrique. Il n’y a aucune discussion possible là-dessus.  
Tout d’abord par l’actualité  internationale de la semaine dernière, qui a son importance capitale, nous amène à parler de l’icône, le panafricain ivoirien et son assistant Blé Goudé défraient la chronique en continu et pour cause !
Car d’un côté, Laurent GBAGBO et son lieutenant Blé Goudé,  sont étrangement  triés au volet  et  accusés de crimes contre l’humanité, croupissent dans les geôles suprémacistes blanches  de la CPI,  tandis que  de l’autre côté, en particulier en Afrique francophone, qui est  sous tutelle coloniale, des  autocrates  seigneurs de guerre, des francs-maçons, inamovibles  agissent sans foi ni loi  en toute impunité, règnent en maîtres absolus, foulent du pied toutes les libertés fondamentales, confisquent la démocratie, ne s’inquiètent  pas outre mesure, d’où le constat amer  de  la politique à géométrie variable d’un déni de justice, des leurres  de deux poids et deux mesures.  L’idée  qui consiste à  dénier le statut de  héros  à tout panafricain,  qui se dresse la tète haute, est  plus que  jamais  réelle. Qui peut la nier.
Laurent GBAGBO et son lieutenant Blé Goudé, les détenus politiques, après sept ans de kidnapping,  sont  acquittés,  restent quand même  et jusqu’ici en prison, puisque le  procureur  en a décidé autrement, a fait appel. D’après RFI, pour le bureau du procureur, une remise en liberté est problématique, car il y a risque de fuite. Et la libération de ces deux hommes représente un risque de déstabilisation du pays..
 Quelles sont les véritables raisons qui se cachent par derrière ?   S’agit-il d’une justice des vainqueurs et ses rebondissements ?
Selon  cette radio,  bien informée, les deux parties sont convoquées à une audience le 1er février devant les cinq juges de la Chambre d’appel. Cette dernière va ensuite statuer pour prendre une décision. Plusieurs issues sont possibles, parmi elles : le maintien en détention, la remise en liberté avec ou sans conditions.
Le retour de l’ivoirien bon teint  dans son  pays d’origine inquiète-t-il Alassane Ouattara, le valet, le  gardien du Temple des intérêts colonialistes,  n’est qu’un président virtuel   des coups de canon, qu’il faille déporter  à nouveau  le tigre réel  dans un  autre pays européen, ou le garder le plus longtemps possible à la Haye ?  Une première dans l’histoire mondiale,   d’un comble  exceptionnel d’une indignité. 
 Pourrait-on éloigner  un politique européen en dehors de ses racines, sous le prétexte  qu’il  dérange ses adversaires politiques ? Autrement dit, ce qui n’est  guère possible en Europe, on l’applique systématiquement  à tout africain digne,  et  qui  veut être libre. Il y a quelque chose  d’insolite, de gros  et qui est inacceptable. 
Comment peut-on interpréter le maintien  et le soutien massif  dans le secret des dieux  les larbins dictateurs tortionnaires, qui se transforment en valets dociles, et  qui pillent   toutes les ressources  naturelles  de toute  l’Afrique et pour le compte du même  gendarme colonial-, ferme ses radars sur les dérives  des mêmes  régimes fantoches, capitulards, tous ferrés et  aux attaches du pré-carré ,colonial, se transmettent le pouvoir de pères en fils et  parfois même de frères en frères ,  sous le nez et à la barbe  de la puissance expansionniste,  toujours Toute-puissante sur le terrain du crime,  et fait sa propre   loi  à l’échelle continentale africaine  francophone,  malgré les apparences formelles  des indépendances  de  la dépendance dynamique, reste plus que  jamais son esclave de droit divin, dans les faits matériellement prouvés, quoique l’on puisse dire  ?  
À l’effigie de  la dynastie  des  Déby,  qui est dans les fourgonnettes françaises, nomme son fils  à la tète des hydrocarbures, Macky Sall  risque de le suivre  machinalement peu et peu, nommera  à tour  son frangin, Aliou Sall, le plastique, toutefois qu’il rempilera,  si on n’y ne prend pas garde, nous restons  dans notre somnolence,  quand demain fera jour, il deviendra  le vice-président de la république familiale.
Sidikiba,  qui est nommé  à la cpi par le valet du Caniche de l’Occident,  se prosterne devant celle-ci    a été  unilatéralement créée  par Trois pays, autoproclamés le gendarme  Colonial.  Le Guignol, est   l’un des pires dicteurs qui restreignent drastiquement  et davantage les libertés  fondamentales  de conscience, a rejoint donc   le cercle des bénis –oui-oui.
Le Tigre Réel  a accordé Alassane Ouattara la nationalité  ivoirienne.  Tout traitre digne de son rang,  à un moment ou à un autre, devient l’ennemi juré de son bienfaiteur.  C’est la règle  en Afrique.    « Macky Sall, l’Envoyé Spécial  Colonial accrédité  en Afrique, et  attitré à Dakar »,  des Emerson Mmangagwa, des Ouattara, et du défunt Mobutu et Cie, ne nous démentiront jamais  pas.    Malgré  à qui est dit, ici ou là, l’Afrique,  reste  le grenier du monde  des pillards  et  leurs   pirates valets, autocrates serviles, clowns et soumis, le continent perd plus qu’elle ne reçoit en termes d’aumônes, comme en témoignent éloquemment les prétendues réalisations entreprises étrangères impérialistes, coloniales,  qui se frottent les mains, tendant à corriger  habilement leurs récessions  économiques, récurrentes dues au capitalisme débridé.
  Depuis la semaine dernière au Sénégal, il  se susurre que le pouvoir  tyrannique s’apprête à procéder     des arrestations massives   de certains opposants pour troubles à l’ordre public, si bien qu’ils  montent au créneau  et  pour  prendre  à témoin l’opinion publique sénégalaise. Le réfractaire à la démocratie en avait donné un avant goût, en arrêtant  Serigne Assane Mbacké, lors  des parodies législatives du 30 juillet 2017.
La menace est donc  prise  au sérieux. Et pour cause.  Plus l’autocrate en place au Sénégal prend de plus en plus des libertés réforme le code électoral par des coups de forces,  pour écarter des candidats gênants, la dite  prétendue Solennité internationale  reste sourde, muette et aveugle  sur les dérives du mercenaire.  y a-t-il donc des accointances et surtout les intrusions  des lobbies franc-maçonniques et les pratiques mystiques  sur le terrain du crime ?
Liyengu liko yengueul moko eup Doley n’est-ce pas ?  Le Hooligan, caractériel, le  principal Gourou du népotisme, pourvoyeur des achats  de conscience abîmer, quand il parle, dans son adn,  tombe plus bas que jamais  n’a que de la haine viscérale,  du mépris, du sang dans sa bouche, quand il s’agit de ses opposants qu’il réduit de plus en plus à sa plus simple expression : «  On peut pas les battre et les empêcher de pleurer ».  Pour dire la vérité,  voilà  quelqu’un  qui  n’a aucune hauteur, ni  honneur, ni minime, soit-il,   ne mérite  nullement son statut  supposé, dont il abuse chaque jour que dieu fait. 
  Emerson Mmangagwa, le putschiste a déjà utilisé les mêmes paramètres du fascisme  contre ses rivaux, et pendant la nuit et à quelques heures des résultats présidentiels contestés.
 Pour rafraichir les mémoires, les  créations coloniales  mal ficelées et très coûteuses  de façade  en grande pompe à l’époque par l’autocrate odieux, Mobutu, ont coulé le zaïre, aujourd’hui, remodelée la République démocratique du Congo en pleine crise  politique,  ne l’oublions pas. Ici au  Sénégal, malgré l’abondance médiatico-politique  tambour battant  autour  de l’exubérant taux de croissance,  n’est que virtuel, et  dont   s’enorgueillit le farandole en place et ses  ouvrages ici ou là,  en bandoulière, n’obéissent qu’à un calendrier politique, et  cachent  en réalité  un despote,  tient  à planifier un putsch électoral,  pour assoir  durablement son régime colonialiste aussi longtemps qu’il le jugera nécessaire.  
Ce n’est parce que le machiavel  sénégalais, peut  disposer sans doute d’autres nationalités, organise  ses  réalisations   pour les mettre en avant  à la veille des cirques électoraux, ne l’exonèrent pas  d’être un tyran de son espèce, montre son véritable hideux.
 L’apprenti sorcier l’ignare Planifie  savamment son putsch électoral, focalise peu à peu  les esprits naïfs  sur le fameux  Ter et son bilan chaotique et le rafistolage  de ses œuvres coloniales  cataclysmiques, continue par devers son matraquage politique, médiatique, qu’il télécharge à la place publique, et à la seule fin de croire nous tromper, pour en tirer à lui seul les dividendes politiques, comme  arrière-plan, et exposer de nouveau son trophée de guerre, comme ce fut le cas de la radio thérapie à quelques jours du braquage électoral des dernières  législatives truquées, sont passées comme une lettre à la poste.
Du haut de leur ignorance qui leur colle à la peau, les  vrais coupables,  désignés ignares, criminels sataniques, irresponsables, mécréants menteurs profanateurs professionnels, enturbannés des leurres,  évacuent le vrai débat,  orientent  et détournent les citoyens sur les vraies questions.
Ceux mêmes qui se trouvent derrière les grilles d’un palais des fétichistes, sont apparemment  d’appartenance franc –maçonniques, s’accrochent mordicus et lamentablement  aux croyances  mystiques, se reconnaissent entre tous eux-mêmes par leurs platitudes manifestes et leur trahisons incommensurables, parrainent par derrière les dérives exponentielles,  ignominieuses,  n’ont rien à faire que de faire des campagnes de diabolisation  calomnieuses des fourberies à l’encontre du leader Pastef,  et pour lequel bizarrement,  ils ont une faiblesse notoire  et une  peur bleue pour l’affronter face à face  les  yeux dans les yeux  et  ce,   sur les plateaux de télévision interposés.  
Que vient faire l’animal sympathique comme logo de l’apr, la symbolique de la mythologie franc-maçonnique ? Ahmed Khalifa Niasse avait révélé que Macky Sall, alors candidat de Benno Bokk Yaakaar, est un franc-maçon. La plupart des  chefs d’État africains  noirs appartiennent aux loges maçonniques. La liste est connue.  Le  chargé des questions économiques du Parti de l’indépendance et du travail (Pit),  2012, Ibrahima Sène accuse sans équivoques  directement  le cheval marron.  Nous citons textuellement ses propos ” 
Ibrahima Sène est allé même jusqu’à accuser le patron de l’Alliance pour la République (Apr) d’appartenir à une loge maçonnique et d’avoir signé le pacte de cette secte sous l’égide de feu Bongo. Il ne s’est pas arrêté là. Il a également allégué que Macky Sall a acheté une station de radio à 200 millions, une maison à 1 milliard mise au nom de son épouse, un château à Peulga nord… Et Ibrahima Sène d’invectiver le candidat qualifié au second tour: “Tu as assez menti aux Sénégalais, il est temps que tu sois découvert”.
Malgré les dénégations peu convaincantes  d’Abou Abel  Thiam,  selon lesquelles Macky Sall n’est pas un franc-maçon, ne le sera pas, ne risque pas de l’être.  Un tel  démenti formel  n’est pas de l’argent,  n’engage que son auteur,  selon la lecture cryptée de la loge franc-maçonnique, puisque le concerné, l’accusé,  se tut,   se garde bien de répondre, ne s’est  jamais exprimé sur lui-même et publiquement sur la question qui fâche. Qui ne  dit rien, consent.
La déclaration d’Abdoulaye Wade, selon laquelle il n’est plus un franc-maçon,  a crée  sa descente aux enfers continue, et qu’il faille le  combattre  à tout  prix et sans pitié également son fils, Karim Wade, y compris Khalifa Sall, est  victime des turpitudes  magiques de Tanor Dieng n’a jamais rien gagné de lui-même, est plus que jamais si puissant sous l’ère » Nédo ko bandoum ».
 Entre  le Pedigree,  le soi-disant  président du HCCT- le  haut Conseil des  Collectivités Territoriales et le Chef de bande clanique qui contrôle qui et pourquoi ? Tous les chefs d’état franc-maçons restent toujours en exercice, quoiqu’ils puissent faire de répréhensibles. Au Sénégal, il y en a à la pelle au plus haut niveau de l’échiquier politique Sénégalais.
Les interminables  procès  politiques  inflationnistes cataclysmiques  portent-ils donc  des soubassements francs- maçonniques, cachés et  sur commande, comme arrière –plan, auxquels s’y greffent  les croyances  mystiques et les  étranges disparitions incongrues, infinies ?
Au-delà des intrusions de la justice politique, qui agit elle aussi  sur commande, se pose aussi la question  des morts qui se perlent à la pelle à un rythme effréné, atteignant même  et bizarrement des proportions démesurées, que l’on ne saurait mettre sur l’autel du fatalisme.
Décidément, la consanguinité- en bandoulière  versus  la nédo ko bandoumerie – non assumée,  a la peau dure.  Le lyrisme de mauvais aloi  et  la séquence pestilentielle du label professionnel d’un nihiliste peu orthodoxe pro ethnique font froid au dos. Ou  cherche-t-il  du grain à moudre ?
 Le  plumitif,  qui n’en est  pas un, en dit le moins lorsqu’ il s’agit du tonitruant,  et pour lequel il ne tarit pas d’éloges loufoques, alambiqués  «  dépoussière »  la liste macabre  des 15 morts en 2012,  mais  tient à absoudre  et à bras raccourci ceux  des crimes d’état, jamais élucidés, dont  Macky Sall  porte la marque digitale  et l’entière responsabilité devant l’histoire.
Le sémillant béni oui-oui tente-t-il de vendre la marchandise avariée, comme étant une figure messianique des leurres ? Alors que le régime apocalyptique le plus souillé, de détient la palme  peu reluisante des morts suspects jamais égalés, ne se comptent plus, tant à l’intérieur du pays, qu’à l’extérieur de nos frontières.
 Il n’y pas de crimes parfaits, mais des  crimes impunis, disait un philosophe français . L’autre cité plus haut, cagoulé  à la sauce  «   Nédo ko bandoum »  hiérarchise-t-il aussi  les crimes,  ignore que tous les  crimes regrettables, abjects  se valent tous et quels  que soient leurs  responsables  directs ou indirects, et d’où qu’ils puissent venir
L’éternel Talon d’Achille  à la démocratie « NA DAC LU  MBURUMA DAJUTE CA TALBA».   Il n’y a que deux options : soit qu’il parte  par  les urnes parlantes,  pacifiques et populaires, comme l’ont été ses devanciers.  Ce que je ne crois pas, puisque le singulier, qui n’en démord jamais  gagne par devers  à tous les coups  par son braquage électoral permanent,  qui  passe comme une lettre à la poste.  Soit il ne que l’ultime recours par la par le rapport de force contre  le caractériel. 
Face à la république des traitres en bande organisée et au premier desquels, le bougre vindicatif, l’usage de la force,  est l’apanage des lâches,  de la lâcheté ne restera pas la loi, ne passera pas. 
En politique l’erreur se paye cash ? Et pour cause ?  La mal  gouvernance  bancale de l’autocrate est une suite logique.  Lu dijiweu diéhut diogufeu-  la mauvaise graine ne peut produire le contraire. On ,en avait vu les signes –coureurs en 2007,  l’ex directeur  de campagne de wade, aujourd’hui,  son ennemi juré, n’est pas un président normal, mais  le chef de bande clanique  avait voté sans  daigner montrer sa carte d’électeur, allant jusqu’à menacer de mort les membres du bureau de vote.
 La mécanique  infernale nous gouverne  par des décrets abusifs, décide de tout, interdit tout, castre toutes contradictions et tout contre-pouvoir et sème la terreur par sa justice politique, qui est en intelligence simultanée avec l’assemblée des godillots et du conseil anti constitutionnel, y compris tous les corps de contrôle présumés  institutionnels  restent tous  au garde-à vous sous la botte du fasciste, l’ennemi public  et fauteur de trouble à l’ordre public
 À  date  échue, tous les  projecteurs et  les tirs groupés  des patriotes auront l’ordre de se focaliser, et de  se braquer  pour  mettre leur  curseur contre le traitre, Macky Sall en chair et en os.   Dès le gond au matin,  moralement, et politiquement, le Sursaut National nous RECOMMANDE d’utiliser massivement et sans retenue d’aucune sorte nos cartes d’électeurs IMPARABLES  pour les mettre à l’ENDROIT ET  CONTRE  l’ENVERS  DU  DÉCOR. Lequel  doit subir  obligatoirement un purgatoire, que ne  le fait le pain sur le feu- le Traitre en chair et en os- « NA DAC LU  MBURUMA DAJUTE CA TALBA », de sorte qu’il disparaisse  totalement au Grand  jour avec  un Grand J en majuscule. Amine !
Face  aux enjeux encourus et  au suppôt et ses fripouilles,  la résistance nationale s’impose par un sursaut  d’un bloc monolithique,  nous recommande  de retrousser nos manches, pour venir à bout à  l’impunité et mettre un terme  définitif
Si par miracle, comme c’est souvent le cas  chez les nègres de service, satellites au pré-carré colonial, sont  cliniquement morts et politiquement, « mais tous se réveillent, on ne sait par quelle renaissance magique »,arrachent eux-mêmes et par devers leurs propres scores fantasmagoriques, dignes d’eux, dont l’usurpateur en place, est en première loge, de ce qu’il faire de plus répugnant,  en ce moment là,  nous n’avons d’option que de faire usage à notre artillerie lourde, populaire, pour en finir avec lui.
C’est uniquement en Afrique, LE TERRAIN DE PREDILECTION  de la fourberie des guignols, bénis oui-oui, où l’on trouve  des traitres  minables, seigneurs de guerre, ragaillardis, loufoques, pouilleux, qui rempilent, plastronnent et pavoisent, et  gagnent à tous les coups par la mécanique usurière, symbolisé par  le soi-disant suffrage universaliste n’est qu’un foutoir d’enfumage, est synonyme d’une simple formalité administrative, passe comme une lettre à la poste