Qu’on le
veuille ou non, les faussaires nègres de services tous des tondus et
unifiés sous le joug colonial sont par définition, le talon le Talon
d’Achille à la démocratie en Afrique. Il n’y a aucune discussion
possible là-dessus.
Tout
d’abord par l’actualité internationale de la semaine dernière, qui a
son importance capitale, nous amène à parler de l’icône, le panafricain
ivoirien et son assistant Blé Goudé défraient la chronique en continu et
pour cause !
Car d’un
côté, Laurent GBAGBO et son lieutenant Blé Goudé, sont étrangement
triés au volet et accusés de crimes contre l’humanité, croupissent
dans les geôles suprémacistes blanches de la CPI, tandis que de
l’autre côté, en particulier en Afrique francophone, qui est sous
tutelle coloniale, des autocrates seigneurs de guerre, des
francs-maçons, inamovibles agissent sans foi ni loi en toute impunité,
règnent en maîtres absolus, foulent du pied toutes les libertés
fondamentales, confisquent la démocratie, ne s’inquiètent pas outre
mesure, d’où le constat amer de la politique à géométrie variable d’un
déni de justice, des leurres de deux poids et deux mesures. L’idée
qui consiste à dénier le statut de héros à tout panafricain, qui se
dresse la tète haute, est plus que jamais réelle. Qui peut la nier.
Laurent
GBAGBO et son lieutenant Blé Goudé, les détenus politiques, après sept
ans de kidnapping, sont acquittés, restent quand même et jusqu’ici
en prison, puisque le procureur en a décidé autrement, a fait appel.
D’après RFI, pour le bureau du procureur, une remise en liberté est
problématique, car il y a risque de fuite. Et la libération de ces deux
hommes représente un risque de déstabilisation du pays..
Quelles
sont les véritables raisons qui se cachent par derrière ? S’agit-il
d’une justice des vainqueurs et ses rebondissements ?
Selon
cette radio, bien informée, les deux parties sont convoquées à une
audience le 1er février devant les cinq juges de la Chambre d’appel.
Cette dernière va ensuite statuer pour prendre une décision. Plusieurs
issues sont possibles, parmi elles : le maintien en détention, la remise
en liberté avec ou sans conditions.
Le retour
de l’ivoirien bon teint dans son pays d’origine inquiète-t-il Alassane
Ouattara, le valet, le gardien du Temple des intérêts colonialistes,
n’est qu’un président virtuel des coups de canon, qu’il faille
déporter à nouveau le tigre réel dans un autre pays européen, ou le
garder le plus longtemps possible à la Haye ? Une première dans
l’histoire mondiale, d’un comble exceptionnel d’une indignité.
Pourrait-on
éloigner un politique européen en dehors de ses racines, sous le
prétexte qu’il dérange ses adversaires politiques ? Autrement dit, ce
qui n’est guère possible en Europe, on l’applique systématiquement à
tout africain digne, et qui veut être libre. Il y a quelque chose
d’insolite, de gros et qui est inacceptable.
Comment
peut-on interpréter le maintien et le soutien massif dans le secret
des dieux les larbins dictateurs tortionnaires, qui se transforment en
valets dociles, et qui pillent toutes les ressources naturelles de
toute l’Afrique et pour le compte du même gendarme colonial-, ferme
ses radars sur les dérives des mêmes régimes fantoches, capitulards,
tous ferrés et aux attaches du pré-carré ,colonial, se transmettent le
pouvoir de pères en fils et parfois même de frères en frères , sous le
nez et à la barbe de la puissance expansionniste, toujours
Toute-puissante sur le terrain du crime, et fait sa propre loi à
l’échelle continentale africaine francophone, malgré les apparences
formelles des indépendances de la dépendance dynamique, reste plus
que jamais son esclave de droit divin, dans les faits matériellement
prouvés, quoique l’on puisse dire ?
À
l’effigie de la dynastie des Déby, qui est dans les fourgonnettes
françaises, nomme son fils à la tète des hydrocarbures, Macky Sall
risque de le suivre machinalement peu et peu, nommera à tour son
frangin, Aliou Sall, le plastique, toutefois qu’il rempilera, si on n’y
ne prend pas garde, nous restons dans notre somnolence, quand demain
fera jour, il deviendra le vice-président de la république familiale.
Sidikiba,
qui est nommé à la cpi par le valet du Caniche de l’Occident, se
prosterne devant celle-ci a été unilatéralement créée par Trois
pays, autoproclamés le gendarme Colonial. Le Guignol, est l’un des
pires dicteurs qui restreignent drastiquement et davantage les
libertés fondamentales de conscience, a rejoint donc le cercle des
bénis –oui-oui.
Le Tigre
Réel a accordé Alassane Ouattara la nationalité ivoirienne. Tout
traitre digne de son rang, à un moment ou à un autre, devient l’ennemi
juré de son bienfaiteur. C’est la règle en Afrique. « Macky Sall,
l’Envoyé Spécial Colonial accrédité en Afrique, et attitré à Dakar »,
des Emerson Mmangagwa, des Ouattara, et du défunt
Mobutu et Cie, ne nous démentiront jamais pas. Malgré à qui est
dit, ici ou là, l’Afrique, reste le grenier du monde des pillards et
leurs pirates valets, autocrates serviles, clowns et soumis, le
continent perd plus qu’elle ne reçoit en termes d’aumônes, comme en
témoignent éloquemment les prétendues réalisations entreprises
étrangères impérialistes, coloniales, qui se frottent les mains,
tendant à corriger habilement leurs récessions économiques,
récurrentes dues au capitalisme débridé.
Depuis
la semaine dernière au Sénégal, il se susurre que le pouvoir
tyrannique s’apprête à procéder des arrestations massives de
certains opposants pour troubles à l’ordre public, si bien qu’ils
montent au créneau et pour prendre à témoin l’opinion publique
sénégalaise. Le réfractaire à la démocratie en avait donné un avant
goût, en arrêtant Serigne Assane Mbacké, lors des parodies
législatives du 30 juillet 2017.
La menace
est donc prise au sérieux. Et pour cause. Plus l’autocrate en place
au Sénégal prend de plus en plus des libertés réforme le code électoral
par des coups de forces, pour écarter des candidats gênants, la dite
prétendue Solennité internationale reste sourde, muette et aveugle sur
les dérives du mercenaire. y a-t-il donc des accointances et surtout
les intrusions des lobbies franc-maçonniques et les pratiques
mystiques sur le terrain du crime ?
Liyengu
liko yengueul moko eup Doley n’est-ce pas ? Le Hooligan, caractériel,
le principal Gourou du népotisme, pourvoyeur des achats de conscience
abîmer, quand il parle, dans son adn, tombe plus bas que jamais n’a
que de la haine viscérale, du mépris, du sang dans sa bouche, quand il
s’agit de ses opposants qu’il réduit de plus en plus à sa plus simple
expression : « On peut pas les battre et les empêcher de pleurer ».
Pour dire la vérité, voilà quelqu’un qui n’a aucune hauteur, ni
honneur, ni minime, soit-il, ne mérite nullement son statut supposé,
dont il abuse chaque jour que dieu fait.
Emerson Mmangagwa,
le putschiste a déjà utilisé les mêmes paramètres du fascisme contre
ses rivaux, et pendant la nuit et à quelques heures des résultats
présidentiels contestés.
Pour
rafraichir les mémoires, les créations coloniales mal ficelées et très
coûteuses de façade en grande pompe à l’époque par l’autocrate
odieux, Mobutu, ont coulé le zaïre, aujourd’hui, remodelée la République
démocratique du Congo en pleine crise politique, ne l’oublions pas.
Ici au Sénégal, malgré l’abondance médiatico-politique tambour
battant autour de l’exubérant taux de croissance, n’est que virtuel,
et dont s’enorgueillit le farandole en place et ses ouvrages ici ou
là, en bandoulière, n’obéissent qu’à un calendrier politique, et
cachent en réalité un despote, tient à planifier un putsch
électoral, pour assoir durablement son régime colonialiste aussi
longtemps qu’il le jugera nécessaire.
Ce n’est
parce que le machiavel sénégalais, peut disposer sans doute d’autres
nationalités, organise ses réalisations pour les mettre en avant à
la veille des cirques électoraux, ne l’exonèrent pas d’être un tyran de
son espèce, montre son véritable hideux.
L’apprenti
sorcier l’ignare Planifie savamment son putsch électoral, focalise peu
à peu les esprits naïfs sur le fameux Ter et son bilan chaotique et
le rafistolage de ses œuvres coloniales cataclysmiques, continue par
devers son matraquage politique, médiatique, qu’il télécharge à la place
publique, et à la seule fin de croire nous tromper, pour en tirer à lui
seul les dividendes politiques, comme arrière-plan, et exposer de
nouveau son trophée de guerre, comme ce fut le cas de la radio thérapie à
quelques jours du braquage électoral des dernières législatives
truquées, sont passées comme une lettre à la poste.
Du haut de
leur ignorance qui leur colle à la peau, les vrais coupables,
désignés ignares, criminels sataniques, irresponsables, mécréants
menteurs profanateurs professionnels, enturbannés des leurres, évacuent
le vrai débat, orientent et détournent les citoyens sur les vraies
questions.
Ceux mêmes
qui se trouvent derrière les grilles d’un palais des fétichistes, sont
apparemment d’appartenance franc –maçonniques, s’accrochent mordicus et
lamentablement aux croyances mystiques, se reconnaissent entre tous
eux-mêmes par leurs platitudes manifestes et leur trahisons
incommensurables, parrainent par derrière les dérives exponentielles,
ignominieuses, n’ont rien à faire que de faire des campagnes de
diabolisation calomnieuses des fourberies à l’encontre du leader
Pastef, et pour lequel bizarrement, ils ont une faiblesse notoire et
une peur bleue pour l’affronter face à face les yeux dans les yeux
et ce, sur les plateaux de télévision interposés.
Que vient
faire l’animal sympathique comme logo de l’apr, la symbolique de la
mythologie franc-maçonnique ? Ahmed Khalifa Niasse avait révélé que
Macky Sall, alors candidat de Benno Bokk Yaakaar, est un franc-maçon. La
plupart des chefs d’État africains noirs appartiennent aux loges
maçonniques. La liste est connue. Le chargé des questions économiques
du Parti de l’indépendance et du travail (Pit), 2012, Ibrahima Sène
accuse sans équivoques directement le cheval marron. Nous citons
textuellement ses propos ”
Ibrahima
Sène est allé même jusqu’à accuser le patron de l’Alliance pour la
République (Apr) d’appartenir à une loge maçonnique et d’avoir signé le
pacte de cette secte sous l’égide de feu Bongo. Il ne s’est pas arrêté
là. Il a également allégué que Macky Sall a acheté une station de radio à
200 millions, une maison à 1 milliard mise au nom de son épouse, un
château à Peulga nord… Et Ibrahima Sène d’invectiver le candidat
qualifié au second tour: “Tu as assez menti aux Sénégalais, il est temps
que tu sois découvert”.
Malgré les
dénégations peu convaincantes d’Abou Abel Thiam, selon lesquelles
Macky Sall n’est pas un franc-maçon, ne le sera pas, ne risque pas de
l’être. Un tel démenti formel n’est pas de l’argent, n’engage que
son auteur, selon la lecture cryptée de la loge franc-maçonnique,
puisque le concerné, l’accusé, se tut, se garde bien de répondre, ne
s’est jamais exprimé sur lui-même et publiquement sur la question qui
fâche. Qui ne dit rien, consent.
La
déclaration d’Abdoulaye Wade, selon laquelle il n’est plus un
franc-maçon, a crée sa descente aux enfers continue, et qu’il faille
le combattre à tout prix et sans pitié également son fils, Karim
Wade, y compris Khalifa Sall, est victime des turpitudes magiques de
Tanor Dieng n’a jamais rien gagné de lui-même, est plus que jamais si
puissant sous l’ère » Nédo ko bandoum ».
Entre le
Pedigree, le soi-disant président du HCCT- le haut Conseil des
Collectivités Territoriales et le Chef de bande clanique qui contrôle
qui et pourquoi ? Tous les chefs d’état franc-maçons restent toujours en
exercice, quoiqu’ils puissent faire de répréhensibles. Au Sénégal, il y
en a à la pelle au plus haut niveau de l’échiquier politique
Sénégalais.
Les
interminables procès politiques inflationnistes cataclysmiques
portent-ils donc des soubassements francs- maçonniques, cachés et sur
commande, comme arrière –plan, auxquels s’y greffent les croyances
mystiques et les étranges disparitions incongrues, infinies ?
Au-delà
des intrusions de la justice politique, qui agit elle aussi sur
commande, se pose aussi la question des morts qui se perlent à la pelle
à un rythme effréné, atteignant même et bizarrement des proportions
démesurées, que l’on ne saurait mettre sur l’autel du fatalisme.
Décidément,
la consanguinité- en bandoulière versus la nédo ko bandoumerie – non
assumée, a la peau dure. Le lyrisme de mauvais aloi et la séquence
pestilentielle du label professionnel d’un nihiliste peu orthodoxe pro
ethnique font froid au dos. Ou cherche-t-il du grain à moudre ?
Le
plumitif, qui n’en est pas un, en dit le moins lorsqu’ il s’agit du
tonitruant, et pour lequel il ne tarit pas d’éloges loufoques,
alambiqués « dépoussière » la liste macabre des 15 morts en 2012,
mais tient à absoudre et à bras raccourci ceux des crimes d’état,
jamais élucidés, dont Macky Sall porte la marque digitale et
l’entière responsabilité devant l’histoire.
Le
sémillant béni oui-oui tente-t-il de vendre la marchandise avariée,
comme étant une figure messianique des leurres ? Alors que le régime
apocalyptique le plus souillé, de détient la palme peu reluisante des
morts suspects jamais égalés, ne se comptent plus, tant à l’intérieur du
pays, qu’à l’extérieur de nos frontières.
Il n’y
pas de crimes parfaits, mais des crimes impunis, disait un philosophe
français . L’autre cité plus haut, cagoulé à la sauce « Nédo ko
bandoum » hiérarchise-t-il aussi les crimes, ignore que tous les
crimes regrettables, abjects se valent tous et quels que soient leurs responsables directs ou indirects, et d’où qu’ils puissent venir
L’éternel
Talon d’Achille à la démocratie « NA DAC LU MBURUMA DAJUTE CA TALBA».
Il n’y a que deux options : soit qu’il parte par les urnes
parlantes, pacifiques et populaires, comme l’ont été ses devanciers.
Ce que je ne crois pas, puisque le singulier, qui n’en démord jamais
gagne par devers à tous les coups par son braquage électoral
permanent, qui passe comme une lettre à la poste. Soit il ne que
l’ultime recours par la par le rapport de force contre le caractériel.
Face à la
république des traitres en bande organisée et au premier desquels, le
bougre vindicatif, l’usage de la force, est l’apanage des lâches, de
la lâcheté ne restera pas la loi, ne passera pas.
En
politique l’erreur se paye cash ? Et pour cause ? La mal gouvernance
bancale de l’autocrate est une suite logique. Lu dijiweu diéhut
diogufeu- la mauvaise graine ne peut produire le contraire. On ,en
avait vu les signes –coureurs en 2007, l’ex directeur de campagne de
wade, aujourd’hui, son ennemi juré, n’est pas un président normal,
mais le chef de bande clanique avait voté sans daigner montrer sa
carte d’électeur, allant jusqu’à menacer de mort les membres du bureau
de vote.
La
mécanique infernale nous gouverne par des décrets abusifs, décide de
tout, interdit tout, castre toutes contradictions et tout contre-pouvoir
et sème la terreur par sa justice politique, qui est en intelligence
simultanée avec l’assemblée des godillots et du conseil anti
constitutionnel, y compris tous les corps de contrôle présumés
institutionnels restent tous au garde-à vous sous la botte du
fasciste, l’ennemi public et fauteur de trouble à l’ordre public
À date
échue, tous les projecteurs et les tirs groupés des patriotes auront
l’ordre de se focaliser, et de se braquer pour mettre leur curseur
contre le traitre, Macky Sall en chair et en os. Dès le gond au matin,
moralement, et politiquement, le Sursaut National nous RECOMMANDE
d’utiliser massivement et sans retenue d’aucune sorte nos cartes
d’électeurs IMPARABLES pour les mettre à l’ENDROIT ET CONTRE l’ENVERS
DU DÉCOR. Lequel doit subir obligatoirement un purgatoire, que ne
le fait le pain sur le feu- le Traitre en chair et en os- « NA DAC LU
MBURUMA DAJUTE CA TALBA », de sorte qu’il disparaisse totalement au
Grand jour avec un Grand J en majuscule. Amine !
Face aux
enjeux encourus et au suppôt et ses fripouilles, la résistance
nationale s’impose par un sursaut d’un bloc monolithique, nous
recommande de retrousser nos manches, pour venir à bout à l’impunité
et mettre un terme définitif
Si par
miracle, comme c’est souvent le cas chez les nègres de service,
satellites au pré-carré colonial, sont cliniquement morts et
politiquement, « mais tous se réveillent, on ne sait par quelle
renaissance magique »,arrachent eux-mêmes et par devers leurs propres
scores fantasmagoriques, dignes d’eux, dont l’usurpateur en place, est
en première loge, de ce qu’il faire de plus répugnant, en ce moment
là, nous n’avons d’option que de faire usage à notre artillerie lourde,
populaire, pour en finir avec lui.
C’est
uniquement en Afrique, LE TERRAIN DE PREDILECTION de la fourberie des
guignols, bénis oui-oui, où l’on trouve des traitres minables,
seigneurs de guerre, ragaillardis, loufoques, pouilleux, qui rempilent,
plastronnent et pavoisent, et gagnent à tous les coups par la mécanique
usurière, symbolisé par le soi-disant suffrage universaliste n’est
qu’un foutoir d’enfumage, est synonyme d’une simple formalité
administrative, passe comme une lettre à la poste