vendredi 1 février 2019

[Archive]-Chronique: le label de la Gestapo/ ou la graine de la haine. A qui donc profite le crime ? Par Ahmadou Diop CPC

Décidément, rien n’y fait. Tenez-vous bien ! Dans la république des stupidités, la graine de la haine viscérale est nécessairement source de promotion sociale et de gagne-pain. En lieu et place d’un état de droit et à l’épreuve des faits, sévit la rupture estropiée qui devient, ipso facto un puits d’imposture au nom d’une gouvernance consensuellement népotique et gabégique.

Aussi extraordinaire que cela puisse paraître, l’idéologie de la haine s’abat hystériquement contre Abdoulaye wade, l’ancien président de la république, le créateur de son élève, en la personne de Macky Sall, le multimilliardaire étrange des raccourcis politiques, du haut de son piédestal doit son envol fulgurant à celui qu’il insulte par Oumy Sy, interposée et à travers son affluence surabondante, totalitaire, monopolisée.
Apparemment, le procureur de la république reste sourd, muet, aveugle semble excentrique, pour ne rien entendre, alors que pour une simple sortie normale, au vitriol contre les dérives spectaculaires de Macky sall, agit par entente télépathique, appelle sa soldatesque pour cueillir le présumé coupable, pour crime supposé de lèse-majesté. Qui est donc derrière les injuries contre l’ancien chef d’état du Sénégal ?
 Qui ne dit rien, ne condamne pas, consent, est coupable. L’homme est-il à la hauteur comme l’encense de façon complaisante, Oumy Sy, la rabaissée politique, cherche-t-elle grossièrement à manger dans le râtelier franc-maçonnique marron ?
Certainement oui.
Parlons donc des graines avariées de la haine viscérale, telles des toiles d’araignée qui ne peuvent pas  produire le contraire !
Plus les idioties et les parades ordurières, quotidiennes, incessantes, se perlent à un rythme effréné et qui s’amoncellent ouvertement et publiquement, pour écrabouiller les citoyens libres, plus les lamentables adeptes s’agrandissent allégrement et obtiennent uniquement des postes de haute stature dans la « république alpulaarisée, familiale »..
L’homme qui nous dirige d’une main de fer depuis le regrettable du 25 mars 2012, qui a été un acteur principal, n’a jamais souffert des affres du magistère de son mentor, dont il a hérité au contraire, une immense fortune. Un tel presdigitateur ne peut fournir une once de patriotisme.
Depuis 4 ans, sans discontinuer, le masque de théâtre châtie de plus bel. Tout y est. Enfumage, mensonges, ostracismes et discriminations, non assumés. Le huis clos de la démocratie ethnique se joue à guichet fermé par l’entregent du corporatisme clanique, offensant, dans lequel les encenseurs mortifies ont le vent en poupe. C’est ça la saga pestilentielle de la ribambelle d’abondance empestée jusqu’à l’abîme ! Que voulez-vous ?
Lorsque dans un pays où la misère sociale endémique et le déficit chronique généralisé, vont en pis, et à quoi cela s’ajoute le laxisme affligeant de toute la classe politique, élaguée, isolée, charcutée et traînée dans la boue comme des malfrats, abdique par consentement réactionnaire sur toute la ligne, face à un régime de pugilat, qui agit pour des broutilles, bande ses muscles à la moindre incartade et de façon disproportionnée par l’habileté prompte de sa soldatesque SS Waffen, il va sans dire que l’abondance du mal triomphaliste, sévira, tant que la somnolence à l’échelle nationale demeurera.
Quant aux centrales syndicales, elles s’accrochent toutes dans un corporatisme hystérique, plutôt que de défendre les intérêts supérieurs de la nation.
 S’agissant donc de la société civile, elle reste peu réactive, et se contente par des incantations stériles, pour se donner bonne conscience.
Dans ces condition, le productivisme faisant cruellement défaut, rien ne peut prospérer dans le sens des progrès, car dans un tel pays étrange et à la renverse, qui prend par son manque de courage le contrepied de nos frères vaillants burkinabés, qui furent tous unis et réunis autour d’un bloc monolithique, unitaire, anti-référendum, ont la faculté, le réflexe et la sagesse de changer le rapport de force, en déboulonnant le dictateur Blaise Compaoré pour le mettre hors d’état de nuire.
On connaît la suite. Or ici, rien ne se passe absolument malgré la morosité sociale intenable, car la presse de servitude qui devrait jouer nécessairement son rôle de premier plan d’avant-garde, s’est totalement dégonflée, se laisse corrompre librement, a failli à sa mission sur toute la ligne, pour n’être que le matelas et le porte-parole, le porte drapeau d’un régime de brigandage et de la charogne.
Voilà donc pourquoi, depuis belle lurette, les promesses électorales ne suivent nullement les actions sur le terrain. Il n’est donc pas étonnant qu’il en soit ainsi.
Ce régime se résume par des provocations, dépenses onéreuses, voyages superflus, distributions massives de grades surréalistes à tout vent, campagne électorale permanente d’un régime pandémique, corrompu, budgétivore, clientéliste, incapable, arrogant, suffisant, moribond de brigandage, nous bombarde d’une rupture d’escroquerie, labellisée par une presse corrompue, bien gloutonnée. Laquelle est en lien inceste avec des politiques qui ont des consciences altérées. En définitive, les combines politiques du conseil anticonstitutionnel, bien ligoté à l’Assemblée de service du palais.
Tous les deux sont tenus en laisse par la corde du président de la république, ce monarque dans son piédestal et à l’épreuve des faits, constitue éloquemment une parfaite illustration.
 Les charivaris démentiels des revirements spectaculaires, sous le simulacre paravent d’un référendum taillé sur mesure, s’inscrivent à n’en pas douter en droite ligne, dans la régression, n’ont d’autres objectifs que de renforcer davantage les pouvoirs exorbitants du régime présidentiel, s’arroge toutes les dérives permanentes.
Il y’ a dans ce pays beaucoup plus « de fonctionnaires de la politique » que de fonctionnaires réels, mais pire encore, n’importe quel enseignant peut s’autoproclamer du jour au lendemain un professionnel du journalisme. Ne faudrait-il pas fermer toutes les écoles de journalisme dans ce cas ?
La politique n’est plus un sacerdoce, mais une question de prébendes et de sinécures. Elle est devenue un métier et non point une profession de foi, mais une profusion des menteries exponentielles, due à  une crise morale, politico-financière  et sur fond de rancunes abjectes et de rapines manifestes.
En fait, il y a un problème d’éthique et d’équité qui se pose. Le métier de journaliste implique nécessairement une véritable déontologie professionnelle. C’est quoi donc la qualité de journaliste ? Le journaliste est par définition, celui qui a la carte professionnelle, après une solide formation dans ce domaine. Apparemment, il n’en est rien au Sénégal, car ce métier est galvaudé, dissipé de sa substance.
Certes, parler, écrire correctement la langue française, est une chose, mais lorsque l’aptitude journalistique s’acquiert automatiquement au nom de la sacro-sainte loi d’un verbiage creux, politique, en bandoulière, il y a manifestement des dérives. Est-ce donc le fait que le vrai journaliste en la matière n’accepte pas du tout, qu’on lui substitue par l’arbitraire, des politiques mercenaires, chevronnés, encagoulés, pour faire le sale boulot ? La question se pose.
Les raccourcis politiques sont désormais devenus source de promotion sociale et d’enrichissements illicites de la classe politique encordée.
 On les dénomme « les rats ou les fonctionnaires de la politique » jusqu’à l’abîme Bref, ils deviennent des parasites qui ne vivent éternellement qu’aux crochets de la république qu’ils vassalisent, agenouillent pour leur nombrilisme pesant. Ce sont des anormaux, pourris, qui s’adjugent tout et ne s’en encombrent, outre mesure, d’aucune probité intellectuelle, palpable. C’est le cas de Macky Sall et son talibé, Abou Abel Thiam et Cie en bande organisée.
Ces guignols attardés, pour peu ou prou qu’ils sachent s’exprimer approximativement en français, se croient plus futés que l’ensemble des sénégalais, alors qu’en réalité, ils s’adonnent dans leur rôle de farandoles.
Ce sont des symboles invétérés de la médiocrité, qui brillent tous dans une monstruosité qui leur colle à la peau. Alors qu’ils savent dans leur for intérieur qu’ils ne valent pas un sou.
N’eût été donc l’élection de Macky Sall à la magistrature suprême, le Farba de la Françafrique, qui s’est travesti en élève, ou l’envoyé spécial colonial, l’affairiste Pétain noir, le traitre de notoriété nationale,  ne serait rien du tout. Car en Afrique des élites larbinisées jusqu’à la moelle et sous la coupole de l’emprise totale coloniale, le pouvoir est une question de clans et de familles. Les promesses électorales n’engagent que ceux qui y croient. C’est la règle générale des nègres de service de la bassesse tous unifiés.
Alors, le pedigree de la désinvolture, le prédateur, l’envoyé spécial de la servilité chevaleresque, accrédité pour les basses besognes, tient à absoudre les forfaits insurmontables de son seigneur, spirituel, sectaire, menteur professionnel, comme lui, ne cesse de développer hystériquement la quintessence d’un label de la rhétorique mensongère et au nom d’une engeance maléfique, estampillée la gouvernance calamiteuse, carambouilleuse , lamentablement aux abois, laquelle est complètement démasquée, charcutée tant sur le plan national qu’international, pour son banditisme financier, politique, blasphématoire totalement manifeste.
Il va sans que dire que ceux qui se ressemblent, s’assemblent. Ce qui les unit et supérieur que ce qui les désunit. Évidemment, de source bien informée, l’homme est payé disproportionnellement mensuellement et à hauteur de 14 millions F CFA. Dans de telles conditions déplorables, l’homme est bien obligé d’abuser pour assurer le service après- vente de ses stupidités purulentes, comme son inspirateur qui lui assure la pitance quotidienne, pour qu’il survive.
 C’est ça le secret de la république des panégyriques loufoques. C’est donc un secret de polichinelle. Pour avoir sa place au soleil, il faut encenser, mentir et mentir. Les contrevérités fumantes sont devenues une norme établie dans ce pays étrange et à la renverse.
Que fait-il de la gouvernance bancale des nominations hystériques, biscornues et aux connotations ethniques, flagrantes à laquelle il fait partie ?
C’est Macky sall himself, qui a bien signé le décret de la destruction de ladite Cité.
Partage de la Cité Tobago : Voici la liste des autorités de la République qui ont bénéficié des terrains.
« Le prétendu plan Sénégal Emergent » cache bien le scandale ubuesque de la Société Pétro-Tim Sénégal S.A, sortie de terre par Aliou Sall sous la complicité active de macky sall.
 Ou les affaires nébuleuses Sall – communément appelées Sallgate, entre autres, Arcelor Mittal, les escalades de Jakpot et la galaxie des postes de nominations à connotations ethniques dans toutes les agences clientélistes, budgétivores, poussent comme des champignons dans la capitale sénégalaise. en bandoulière, notamment le parachutage de l’enseignant Abou Abel Thiam, le tonitruant, au patronyme bien distingué, qui est très bavard et de nature hargneuse, ne doit son ascension fulgurante qu’à sa proximité avec couple présidentiel, était nommé comme conseiller à la présidence de la république -un poste qu’il quitte au profit de L’Autorité de régulation des postes et télécommunications) (Artp), dont Abdou Karim Sall, alpullaar bon teint, est le dg.
En février 2015, Abou Abel Thiam, le même homme faisait des vagues sur fond de positionnement, car à l’époque, Abou Abel Thiam), qui est bien connu pour sa boulimie, empiétait sur les prérogatives d’Abdou Karim Sall, au point de vouloir lorgner sa place.
Il est loin d’être un cas isolé. IL y en a la pelle à l’état-apr. Prenons le cas de Thérèse Faye, une femme insolente, membre de l’apr, une proche de Marième Faye, qui a bien trouvé une planque, est nommée directrice à la Case des Tout-petits. Et Macky a casé son mari comme conseiller à L’ARTP, bénéficie d’un contrat à  durée indéterminée. Ils n’ont aucune conviction, si ce n’est leurs propres intérêts mal placés.

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