Chaque jour que dieu fait, des milliers
d’africains meurent dans les
océans ou assassinés et ceci
à l’indifférence quasi
générale, si ce n’est des
incantations stériles avec des
condamnations platoniques pour se donner une conscience de façade.
La réalité dépasse l’entendement et l’esprit rationnel. On se croirait dans une autre planète. Quand l’hypocrisie tient le monde.
Combien de
présidents africains ont été assassinés et
par qui et pour le compte de qui,
que l’on
occulte et sans que cela
n’ait suscité aucune
émotion ?
Selon une certaine idéologie,
il n’y a
de victimes, de vérité, de
magnanimité que blanches, tandis que la
haine, selon les discours antaginistes, clivant, les rancune,
les violences sonnent
africaines et les autres.
En vérité, contrairement aux idées reçues, la plupart des hommes
politiques, s’arrogent hystériquement
le rôle de politiciens désinformateurs et
de manipulateurs, endurcis, se nourissent et se reconnaissent tous par leur capacité de nuissance, illimitée, n’aiment ni la
transparence sur les affaires de la cité, ni la démocratie, ni la
vérité des faits ou la vérité tout court.
Et qu’il soit ainsi, autant que
possible; de sorte que ces
populations anesthésiées,
scotchéés, qui se prêtent aux jeux, jusqu’à l’abîme, n’ont d’autres choix que de se laisser
embobinéés aussi cela
s’avérera nécessaire, et qu’elles soient
obligées à s’alimenter vaille que vaille de la
drogue des mystifications et pour
leurs dépens, si bien que les
charlatans puissent préserver leurs
propres intérêts crypto-personnels, mesquins, mal placés, et tant pis
au détriment de ceux du peuple,
qui trépasse, trinque.
Que dire de la
hiérarchisation des inégalités raciales
et des crimes à double standard ? Un crime est un crime.
Un journal indignement négrophobe
assimile les migrants africains à des rats et des terroristes
Le dessin du jour du journal dont nous ne
tairons le nom, pour ne
pas lui faire la moindre
publicité, a publié
sur son site internet, assimile les migrants africains à des rats et des
terroristes.
La même pantomime
s’aligne sur les discours de
Sarkozy, qui qualifiait les migrants
africains d’une « fuite d’eau ». Un misérabilisme qui en dit long sur la
négrophobie à visage découvert. Non
assistance aux africains migrants qui
meurent sur le chemin de l’Europe par milliers,
sont assimilés à des rats et des
terroristes. L’humanitarisme rime avec racisme.
Aucune colère, audible de l’hexagone n’a crié scandale. La négrophobie
médiatique, passse sous silence, pendant que l’on dénonce l’ignominie
des terroristes, on met de l’huile sur le feu pour attiser
l’animosité étrange de la surenchère
spectaculaire.
Terrorisme : ni l a tuerie de charleston, ni les viols des jeunes
filles africaines en Centrafrique, ni
les africains assassinés massifs par des terroristes qui ne se comptent plus,
n’ont pas les mêmes échos que ceux de Charlie Hebdo et au Bataclan. à
Paris.
Les crimes terroristes , effroyables
contre des caricaturistes de l’hebdomadaire en France avaient défrayé la chronique, et continuent de susciter une émotion généralisée en France et dans le
monde, mais pour autant, apparemment,
des crimes racistes aussi crapuleux, qui
ne comptent plus aux pays de
l’Oncle Sam, et qui visent
essentiellement la communauté noire américaine, constituent des cibles
privilégiées, doivent être condamnées rigoureusement sur toute la planète avec la dernière
énergie, pour qu’ils ne se reproduisent
plus jamais. Le terrorisme, c’est le
terrorisme. Toutes les victimes se valent. Il n’y a pas donc de
victimes supérieures aux autres. Appremment, les victimes
africaines ne sont pas logées dans le même registre que les victimes
blanches.
Il n’y a jamais de slogans perceptibles, pour dire
: « nous sommes africains, plus jamais ça ».
Les condamnations doivent avoir la même tonalité, la même intensité à l’échelle planétaire internatiobnale sans discrimination. Est-ce- le cas ? Pas si sûre.
Ce qui ce qui s’est passé aux Etats –Unis n’est
rien d’autre que des génocides, savamment organisés puisque les victimes noires
commencent à compter beaucoup. Faut-il
donc attendre que tous les noirs soient tous exterminés pour que la communauté
internationale se lève sur la planète
entière, pour dire plus jamais ça, lorsqu’il sera trop pour agir. Et en ce
moment, à quoi cela servirait de crier
scandales.
Le choc de la rhétorique suprémaciste
d’une certaine affluence communautariste
nous révulse à plus d’un
titre. L’habileté de la com’
contre le terrorisme international,
peut-elle servir de partonnerre
contre la chronique d’une chute
annoncée bien programmée en 2017 au Sénégal, si toutefois qu’il y aura des
élections présidentielles à date échue,
Les escalades massives
des dérives scandaleuses , ouvertement racistes, créent
le buzz sur l’échelle planétaire
internationale, qui n’émeuvent personne
, deviennent une convergence et un point
de ralliement des élites médiocres et aux
esprits tordus jusqu’à l’abîme.
Gobineau, Voltaire, Montesquieu,
kant, Hegel, et Cie, les pères fondateurs
du fascisme, qui décrétèrent
la hierarchisation des inégalités raciales, furent
des écervelés, qui
peignirent jadis, les noirs, tels des aninaux ou des êtres prélogiques, n’ont
jamais été à ce jour condamnés à titre posthume, firent l’apologie
de la violence : un crime imprescriptibe contre
l’humanité. Au contraire, leurs
idées ont crée
l’école du négationnisme
univetrsaliste, selon le paradigme
suprémaciste de l’intellectualisme terroriste.
Le Sénégal sous la menace du terrorisme
international : une
gouvernance des échappées
torrides
Macky change son fusil, fumine : « il n’y a aucune
interdiction sur le port du voile intégral ». Nos tirs
groupés chevaleresques, légitimes, audibles, entendus, par l’ensemble des sénégalais, en
sont-ils pour quelque chose ?
Le régime le plus répréhensible, le plus
scandaleux de toute
l’histoire
politico-financière, cache sa
nature surréaliste, révéle son
caractère blasphématoire par ses échappées torrides, tend par la ruse, à absoudre ses forfaitures infinies. Pire encore, il tient à créer contre vent debout, les conditions
obligatoires d’une insécurité publique,
qui lui permettrait de ne pas respecter le calendrier des
élections présidentielles à date échue.
La menace inventée du terrorisme
au Sénégal n’est qu’un
tissuthèque de mensonges grossiers,
savamment élaborés par le pouvoir
d’état tortionnaire, totalitaire au premier rang duquel le tonitruant tyran, en l’occurrence, Macky Sall, du haut de son piedestal, se niche derrière une respectabilité
d’apparence au sommet de l’état familial, ethnique, corrupteur,
corrompu, est le premier
terroriste, l’activiste, l’irréfléchi et le principal commanditaire, direct, désigné « de
la république des proxénète »,
corporatistes, caîds de la haute
délinquance financière internationale, de classe exceptionnelle.
Il est temps maintenant d’imposer la démocratie
au sein de l’audiovisuel, notamment les médias publics et la
transparence, pour l’équilibre du temps de parole, l’éthique et l’équité.
Avant tout, nous devons mettre un
terme à l’hégémonie ethnique totalitaire de la bande d’ouailles de
journalistes, propagandistes, corporatistes tous placés, alignés à la tete du service public.
Par Ahmadou Diop CPC