mercredi 4 novembre 2015

Chronique : La République de servitude : Macky Sall, l’ethniciste, terroriste ou le Farba de la françafrique. Par Ahmadou Diop CPC.



Où va donc  le Sénégal des incertitudes  avec des élites de pacotilles  qui  plombent son  développement et son avenir ?  
Tenez-vous bien ! La  République des guignols corpratistes, des incivilités, humidifiées, ethniques, terroristes,  des parjures, à couper le souffle,  inverse ridiculement  les rôles, à la seule fin de se dépatouiller  de ses engagements et promesses électorales  qu’elle a laissés sciemment aux vestiraires.  Le ridicule ne tue plus.
La république inquisitoire dite « Big Brother », chronique des conjectures et des invectives  sévit, accuse hystériquement  à tort des citoyens  libres,  présumés  coupables  d’avance de violences terroristes  sans que celle- ci ne  soit  pas en mesure  d étayer  les  preuves matérielles contre  les  accusés .  C’est  un crime   ignoble  imprescriptible que  d’accuser des  innocents.  

Ce régime  anxiogène,  criminogène, abonné aux  procès  présagés judiciaires des soubassements politiques,  est  plus coupable que  ceux  qui sont  réduits au silence dans les  goulags  du premier voleur  plus  riche que les présidents de  la république des nations  développées.   
Tout d’abord, qu’on   le veuille ou  non,  le Sénégal n’est jamais  tombé aussi bas  que  sous le magistère  calamiteux d’un nègre  de service,  suppôt de naissance.

Nous n’avons  pas  de  leaderships patriotiques,  mais  de  pitoyables  félons, des garnements  serviles, tous soumis  pour la cause coloniale, notamment celui qui est au  plus haut sommet de l’état sénégalais.
Depuis le regettable soir du mars 2012, l’état policier, inquisitoire,  bande ses muscles,  le tout répressif sévit,  foule du pied les libertés fondamentales, indivieulles.  Un tel  foutoir, étouffant,  mérite son effrondrement par la fascisation des esprists.  Tous les acteurs politiques sont systèmatiquement  sur  écoutes téléphoniques  permanentes  et  sous le collimateur du cyclone fasciste  du matin au soir.  « Le Big Brother » vous surveille, vous suit partout, sans répit.   Macky  Sall, arriviste, servile «  MBEW  TAKHRIP »,  le  menteur,  traitre, inégalé, inégalable,  incorrigible  de son espèce,  est pire qu’Abdoulaye Wade.
Rien n’y fait. Qu’il  s’agisse   donc  de  la  religion ou  de  la  gestion transparente  des affaires  de la cité,   encore moins de la liberté d’expression,  tout passe au peigne fin,  pour interdire tout et n’importe quoi pour n’importe quel motif bidon.

Par définition, tout régime fasciste,  qui  tue  la liberté de  culte  religieux,   est synonyme de  menace  à l’ordre public.   En fait,  le terrorisme  d’état  devient  une religion,  sème   la terreur  pour se   maintenir  au pouvoir.  Désormais, toute capacité de resistance  pour garder son indépendance, sa liberté, sa religion, est source de terrorisme ou  déstabilisation.
« Le Mussolini sénégalais », Macky Sall,  l’envoyé spécial colonial  marche au pas de ses parrains.
Les mots manquent pour qualifier les coups tordus d’un .règime accidentogène, accidentel,  où les opérations coups de poings tout azimut régentent les symboles de la tartufferie interdisent   tout et n’importe quoi et à n’importe quel prétexte bidon.
Les faits parlent d’eux-mêmes. Sous le magistère précédent, les citoyens manifestaient spontanément, librement dans la rue, ni retenue aucune. Et la presse qui  se déchaînait, hier,   en mettait toujours  une couche épaisse, en exagérant même. Aujourd’hui, cette même  profusion  change son fusil,  se tue comme une carpe, à moins de tresser les éloges complaisants pour l’honneur d’un tyran. Mais, maintenant, dans la république des tontons macoutes, la soldatesque de service cueille n’importe qui à  n’importe quelle heure de la journée ou de la nuit. Place, maintenant à l’inquisition et aux rafles permanentes, pour interdire tout ! La liberté d’expression devient nécessairement un délit.
Tout opposant réel ou supposé même est suspecté d’avance, s’il n’est pas arrêté au mépris des règles élémentaires de la démocratie.
En 2012, le peuple souverain, indépendant libre, en a décidé autrement, en élisant un absolutiste encagoulé. Place maintenant au prix fort à payer ! La graine avariée ne peut produire le contraire. On ne  récolte  ce que l’on sème. Le travail ne se décrète pas, mais il se vit dans la compétence et l’action sur le terrain, non par  des incantations stériles pour se décharger des promesses électorales jamais tenues. L’homme parle plus qu’il ne travaille, en réalité.

Macky Sall suit et applique sysmatiquement, historiquement la charte et la voix totalitaire de  l’expansionnisme  suprémaciste.  Tout sout soufisme pacifique sert de terrorisme.
En verité, désormais, dans ce pays,  tout bon musulmant  est présumé terroriste.  Macky, le terroriste ethniciste est  le  plus effroyable  de toute l’histoire du sénégal,  trouble  lui-même l’ordre public,  inverse les rôles et offense tout le peuple. C’est le propre de tout despote honni, nègre de service,   agit  en toute impunité, selon sa pulsion névrotique, pathologique.

En effet,  d’une part,  nos analyses  politiques minutieusement étudiées  laissent apparaître  la classe politique singulière,  étrange, atypique, sénégalaise, de classe exceptionnelle,  scotchée à l’attelage  à la machine toxique d’un chef de clan  ethniciste, représentée  par la personne ,de  Macky Sall, la taupe, le ,pion invétéré, irrécupérable,  du  piano  impérialiste  international, outrageant,  s’accorde  toute en toute impunité,  ne  se  dispute entre  elle-même qu’au moment  du partage  des postes  de  nominations, mais à  contrario , lorsqu’il  s’agit  de  proposer  une meilleure répartition  plus  équitlable  des ressources  entre les citoyens,  pour l’instauration d’une  justice sociale, transparente, dans toute sa composante, et dans laquelle  toutes individualités naissent libres  et égales  devant la loi en droit comme  en devoirs,  dans un état  de droit  et  à l’épreuve des faits tangibles, ; surtout , la brulante question  de  la défense supérieure   des   intétérêts  vitaux, légitimes, nationaux, incessibles  inaliénables du peuple,  mais curieusement et  aussi extraordinaire que cela puisse paraître,  la  trahision  par entente et   par télépathie,  fait consensus et sans bruits.

D’autre part,  nous  n’avons jamais  vu  à l’Assemblée  Nationale  du  Sénégal,  où les prétendus députés du peuple  par le peuple et pour le peuple,  puissent, se  transformer en   pugilat  ou  à couteaux tirés , notamment  sur la prééminence  et  la prégnance insoutenable du statut d’immunité du chef de l’état, qui est , en réalité,  une impunité et une véritable offense contre le,peuple qui l’a élu, alors que  les électeurs  majoritaires  méconnaissent les mécanismes des  enjeux politiques, intrinsèques .
Voilà donc les visages  hideux  de  nos  soi-disant honorables représentants. !  En vérité,  pour  dire  les choses telles qu’elles sont  et non point que certains  en veuillent qu’elles soient,  n’ont rien de tel. C’est le moins que l’on puisse dire.  Ils agissent toujours dans le sens contraire, c'est-à-dire, pour  leurs intérêts ridiculement crypto-personnels, mal placés
Le sénégal  des inégalités sociales,  criardes, s’aggrave de plus en plus,  telle une peau de chagrin   par   le manque d’intuition politique  de  la part  d’une certaine élite, transmuée  à   la  tartufferie nauséabonde.  Laquelle  démontre  son incurie face au marasme social. En verité,   la symbolique   maçonnique, traitresse  jusqu’à l’os. 

Par Ahmadou Diop CPC.


Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire