Où va donc le Sénégal des
incertitudes avec des élites de
pacotilles qui plombent son
développement et son avenir ?
Tenez-vous bien ! La
République des guignols corpratistes, des incivilités, humidifiées,
ethniques, terroristes, des parjures, à
couper le souffle, inverse
ridiculement les rôles, à la seule fin
de se dépatouiller de ses engagements et
promesses électorales qu’elle a laissés
sciemment aux vestiraires. Le ridicule
ne tue plus.
La république inquisitoire dite « Big Brother », chronique des
conjectures et des invectives sévit,
accuse hystériquement à tort des
citoyens libres, présumés
coupables d’avance de violences
terroristes sans que celle- ci ne soit
pas en mesure d étayer les
preuves matérielles contre
les accusés . C’est
un crime ignoble imprescriptible que d’accuser des
innocents.
Ce régime anxiogène, criminogène, abonné aux procès
présagés judiciaires des soubassements politiques, est
plus coupable que ceux qui sont
réduits au silence dans les goulags du premier voleur plus
riche que les présidents de la
république des nations développées.
Tout d’abord, qu’on le veuille
ou non,
le Sénégal n’est jamais tombé
aussi bas que sous le magistère calamiteux d’un nègre de service, suppôt de naissance.
Nous n’avons pas de leaderships patriotiques, mais
de pitoyables félons, des garnements serviles, tous soumis pour la cause coloniale, notamment celui qui
est au plus haut sommet de l’état
sénégalais.
Depuis le regettable soir du mars 2012, l’état policier,
inquisitoire, bande ses muscles, le tout répressif sévit, foule du pied les libertés fondamentales,
indivieulles. Un tel foutoir, étouffant, mérite son effrondrement par la fascisation
des esprists. Tous les acteurs
politiques sont systèmatiquement sur
écoutes téléphoniques
permanentes et sous le collimateur du cyclone fasciste du matin au soir. « Le Big Brother » vous surveille,
vous suit partout, sans répit.
Macky Sall, arriviste,
servile « MBEW TAKHRIP », le
menteur, traitre, inégalé,
inégalable, incorrigible de son espèce, est pire qu’Abdoulaye Wade.
Rien n’y fait. Qu’il
s’agisse donc de la
religion ou de la
gestion transparente des
affaires de la cité, encore
moins de la liberté d’expression, tout
passe au peigne fin, pour interdire tout
et n’importe quoi pour n’importe quel motif bidon.
Par définition, tout régime
fasciste, qui tue la
liberté de culte religieux, est synonyme de menace
à l’ordre public. En fait, le terrorisme
d’état devient une religion, sème la terreur
pour se maintenir au pouvoir. Désormais, toute capacité de resistance pour garder son indépendance, sa liberté, sa
religion, est source de terrorisme ou déstabilisation.
« Le Mussolini sénégalais », Macky Sall, l’envoyé
spécial colonial marche au pas de ses
parrains.
Les mots manquent pour qualifier les coups tordus d’un
.règime accidentogène, accidentel, où
les opérations coups de poings tout azimut régentent les symboles de la
tartufferie interdisent tout et n’importe quoi et à n’importe quel prétexte
bidon.
Les faits parlent d’eux-mêmes. Sous le magistère
précédent, les citoyens manifestaient spontanément, librement dans la rue, ni
retenue aucune. Et la presse qui se
déchaînait, hier, en mettait toujours une couche épaisse, en exagérant même.
Aujourd’hui, cette même profusion change son fusil, se tue comme une carpe, à moins de tresser
les éloges complaisants pour l’honneur d’un tyran. Mais, maintenant, dans la
république des tontons macoutes, la soldatesque de service cueille n’importe
qui à n’importe quelle heure de la journée ou de la nuit.
Place, maintenant à l’inquisition et aux rafles permanentes, pour interdire
tout ! La liberté d’expression devient nécessairement un délit.
Tout opposant réel ou supposé même est
suspecté d’avance, s’il n’est pas arrêté au mépris des règles élémentaires de
la démocratie.
En 2012, le peuple souverain, indépendant
libre, en a décidé autrement, en élisant un absolutiste encagoulé. Place
maintenant au prix fort à payer ! La graine avariée ne peut produire le
contraire. On ne récolte ce que l’on sème. Le travail ne se décrète pas, mais il se vit dans la
compétence et l’action sur le terrain, non par
des incantations stériles pour se décharger des promesses électorales
jamais tenues. L’homme parle plus qu’il ne travaille, en réalité.
Macky Sall suit et applique sysmatiquement, historiquement la charte et
la voix totalitaire de l’expansionnisme suprémaciste.
Tout sout soufisme pacifique sert de terrorisme.
En verité, désormais, dans ce pays,
tout bon musulmant est présumé
terroriste. Macky, le terroriste
ethniciste est le plus effroyable de toute l’histoire du sénégal, trouble lui-même l’ordre public, inverse les rôles et offense tout le peuple.
C’est le propre de tout despote honni, nègre de service, agit en toute impunité, selon sa pulsion
névrotique, pathologique.
En effet, d’une part, nos analyses
politiques minutieusement étudiées
laissent apparaître la classe
politique singulière, étrange, atypique,
sénégalaise, de classe exceptionnelle, scotchée
à l’attelage à la machine toxique d’un
chef de clan ethniciste, représentée par la personne ,de Macky Sall, la taupe, le ,pion invétéré,
irrécupérable, du piano
impérialiste international,
outrageant, s’accorde toute en toute impunité, ne
se dispute entre elle-même qu’au moment du partage
des postes de nominations, mais à contrario , lorsqu’il s’agit
de proposer une meilleure répartition plus
équitlable des ressources entre les citoyens, pour l’instauration d’une justice sociale, transparente, dans toute sa
composante, et dans laquelle toutes
individualités naissent libres et
égales devant la loi en droit comme en devoirs,
dans un état de droit et à
l’épreuve des faits tangibles, ; surtout , la brulante question de la
défense supérieure des intétérêts
vitaux, légitimes, nationaux, incessibles inaliénables du peuple, mais curieusement et aussi extraordinaire que cela puisse paraître, la
trahision par entente et par télépathie, fait consensus et sans bruits.
D’autre part, nous n’avons jamais vu à
l’Assemblée Nationale du
Sénégal, où les prétendus députés
du peuple par le peuple et pour le
peuple, puissent, se transformer en pugilat
ou à couteaux tirés , notamment sur la prééminence et la
prégnance insoutenable du statut d’immunité du chef de l’état, qui est , en
réalité, une impunité et une véritable
offense contre le,peuple qui l’a élu, alors que
les électeurs majoritaires méconnaissent les mécanismes des enjeux politiques, intrinsèques .
Voilà donc les visages
hideux de nos
soi-disant honorables représentants. ! En vérité,
pour dire les choses telles qu’elles sont et non point que certains en veuillent qu’elles soient, n’ont rien de tel. C’est le moins que l’on
puisse dire. Ils agissent toujours dans
le sens contraire, c'est-à-dire, pour
leurs intérêts ridiculement crypto-personnels, mal placés
Le sénégal des inégalités
sociales, criardes, s’aggrave de plus en
plus, telle une peau de chagrin par
le manque d’intuition politique
de la part d’une certaine élite, transmuée à
la tartufferie nauséabonde. Laquelle
démontre son incurie face au
marasme social. En verité, la symbolique
maçonnique, traitresse jusqu’à
l’os.
Par Ahmadou Diop CPC.
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