La brutale
et la récurrente répression institutionnalisée tous azimuts, est la
seule vocation du gouvernement de capharnaüm en bande organisée, tendant
à tuer dans l’œuf toute contestation, toute contradiction et
tout-contre – pouvoir peu ou prou.
J’ai
l’impression que tout leader politique sénégalais, qui cherche
l’émergence politique, économique et financière du Sénégal, sans y
associer l’ancienne puissance coloniale- la France- qui est plus que
jamais présente sur le terrain, hier comme aujourd’hui, Macky Sall,
le représentant des intérêts français et le disciple de Senghor et
Diouf, fera tout son possible, pour l’éliminer d’office sans pitié sur
la scène politique et quels que soient les moyens peu orthodoxes, dont
il usera pour arriver à ses fins de basse besogne.
Le
gardien du temple du pré-carré, est-il donc sur les traces de Senghor ?
Mamadou DIA, président du conseil, l’intrépide soldat contre le
colonialisme, un patriote, figure de proue, emblématique charismatique
et fervent croyant musulman, qui se dressa contre la négritude
politique, et farouche défenseur des intérêts supérieurs de l’état
sénégalais, paya les frais.
Le
colonialisme, pirate et stratège, qui se sent menacé de perdre la
face, et fait sa mainmise sur toute l’économie sénégalaise,
extravertie, mute comme un serpent, délègue à ses larbins de faire le
sale boulot à sa place.
Est-ce
donc le cas de Ousmane Sonko auteur du brûlot “Pétrole et gaz du
Sénégal : chronique d’une spoliation” ? Je le crois en toute conviction.
Et pour cause.
Après des
insultes à répétitions et sans répit, surtout la semaine dernière,
saccage du QG PASTEF par des hommes armés de haches et de machettes,
dans la nuitdu mercredi23aujeudi 24 janvier 2019,
ont cassé tout ce qu’il y avait comme outils et mobiliers, ordinateurs,
tables, chaises, à un mois de la présidentielle de 2019.
Quels sont
les dessous de l’hystérie et la violence de la république du far
west contre l’ancien inspecteur des impôts ? J’ai peur pour sa vie
qui est en danger. Quel est donc le secret cataclysmique « du
Sonkisme » dévastateur pour faire sauter les verrous, au point que le
leader pastef suscite un mépris abyssal, donne du fil à retordre, au
pouvoir clanique, et qui l’empêche de dormir ? La bande de racailles
ne dort plus ne sait plus où se donner de la tète ?
Les milices nous donnent la mesure d’un bazar des criminels n’excellant que dans les invectives et les coups bas.
Que nenni,
l’état –apr, paranoïaque, pathétique, sous protectorat colonial, dans
ses gonds, reprend du poil de la bête, fait des pieds et des mains,
tient à préserver les intérêts impérialistes, et croit sauver, ainsi,
sa peau par la petite porte.
L’État
Machiavélique, envahissant fait fi de l’armée, de la police nationale et
de la Gendarmerie, est donc un acteur politique, a crée par décret
présidentiel, une milice parallèle comparable à celle des Tontons
macoutes- sous l’acronyme ASP- Agence de sécurité de proximité n’est
pas à son coup d’essai- ne peut pas se dédouaner de ce gangstérisme
qui n’en est pas un.
Comme
d’habitude, El hadji Kassé, le conseiller nihiliste en Communication
« Nédo ko bandoum » prend les devants, fulmine : « sur le saccage du
QG d’Ousmane Sonko que ce sont des Apéristes qui ont fait cet acte
ignoble ». C’est rien d’autre que de l’enfumage classique et de la
diversion, qui sont identiques aux pratiques despotiques.
Le chargé
de la Com` des charniers des mensonges de son espèce oublie-t-il donc
que celui qui a accusé, et gracié et exilé par décret présidentiel
Karim Wade, est aussi le même, qui a signé par décret, la révocation
de Khalifa Sall de sa qualité de maire Dakar, a fini par perdre son
mandat de député par la fatwa des dépités serviles, ayant pris cause et
faits du traitre himself, dont la culpabilité avérée, est pire que
ceux qu’il a éliminés conjointement par sa justice et par son
Conseil Anticonstitutionnels, tous les deux pour ne citer que ceux-là,
restent plus que jamais des ustensiles.
L’autre
pédigrée, réquisitionnée en toute circonstance, et très prompte, toute
disponible et matelassée, en l’occurrence, Aminata Touré- ferré très
incisive, assène ses coups contre le patron de REWMI-« l’appel
désespéré de Idrissa Seck », et dans l’espoir de reprendre des Galons
demain.
La quelle
[ Mimi touré] est bien connue sous le sceau d’Envoyée Spéciale de la
bouffonnerie repoussante – digne de son nom, – dite la désertique
mascotte, est aussi très pouponnée dans la galaxie des Sirènes
Aléatoires, devient par la baguette magique une étrange
multimilliardaire des Ténèbres de la Tanière de la Haine Viscérale, l’un
des personnages curieux de la république des proxénètes en bande
organisée, et dont le moins que l’on puisse dire, n’est pas une
sainteté, malgré sa langue bien pendue, s’est scandaleusement bien
servie sur le butin de la médiation Sédoo Xalis biñu sacc émanant
de la part de ceux qui ont transigé, et ce, naturellement, sous la
bienveillance du Principal Casseur du Siècle au Sénégal, n’est rien
d’autre que l’Envoyé Spécial Colonial, accrédité en Afrique, et attitré
à Dakar., n’a qu’une apparence de respectabilité.
Le
mercenaire- transporteur –ou le sénégalais-franco-libano, cimenté à
l’hydre mafieuse de la Françafrique, et ses valises pleines à
craquer de FCFA, et dont la sainteté est plus que jamais obscure,
notamment sur les costumes de Fillion, en sait-il un peu plus sur
un vaste hold-up électoral, planifié par le chef de la république du
Far west, déclare « MACKY SALL EST UN PERSONNAGE CONSIDERABLE ET
HONNETE », IL « PASSERA AU PREMIER TOUR » ?
Le lâche
despote bafoue tous les droits de l’homme, notamment la démocratie,
les libertés individuelles, collectives de conscience, prétend se
refugier lamentablement derrière la souveraineté nationale ; lorsque
cela l’arrange. Qu’il ne nous parle pas ni d’ingérence, ni de droit
International, pour se tirer d’affaire sur ses pratiques fascistes comme
système de Gouvernance des Muscles ! L’état doit garantir la
sécurité des biens et des personnes
Indéniablement, qu’on le veuille ou non, tous les chemins du caillassage
infâme du siège de Sonko mènent incontestablement et directement au
palais en toute logique. Il ne peut être autrement. Point n’est pas
d’ergoter ou de chercher de midi à quatre heures. La
saisine du procureur n’y fera rien, dégagera toute responsabilité
directe ou indirecte le planificateur. Et le contraire serait
d’ailleurs étonnant.
Contradictions
du droit international de la démocratie des impérialistes à huis
clos et au mépris de la souveraineté des pays libres et indépendants.
L
|
e droit international n’est pas
équitable, n’a d’existence que par ceux là mêmes qui l’ont
élaboré à huis clos et pour eux-mêmes, le violent en
toute impunité, tant qu’ils n’y trouveront pas leurs propres
comptes. C’est une coquille vide, insensée du début à la fin. Pour
arriver à leurs fins, ils utilisent savamment des mécanismes très opaques
qui leur sont favorables. Tout revient à leurs concepteurs.
Le droit
international, qui est conçu et pensé par les mêmes, rime avec
Communauté Internationale, puisque c’est du pareil au même. L’état du
Sénégal, qui a bien signé tous les chartes et les conventions
internationales, les piétine allégrement, face à cette solennité
apparaît sourde, aveugle et muette. Alors qu’elle est loquace ailleurs
dans le monde.
Par les
faits qui parlent d’eux depuis toujours, face aux dérives du régime
fantoche en place au Sénégal, on remarque l’absence de 3 pays.
Dans le
monde, il n’y a que 5 devises de paiement sont acceptées dans le
paiement international : à savoir l’euro, le dollar, la livre sterling,
le franc suisse et le japan yen. Tous les autres pays sont obligés de
passer dans ses monnaies citées. C’est pourquoi les Brics disposent de
leur propre système bancaire, et reproduisent à l’identique le FMI et
la banque mondiale. D’autre part, ceux qui gouvernent le monde ne
sont pas ceux que l’on croit. Les véritables patrons appartiennent aux
grandes familles, bancaires dirigent le monde. Contrairement à ce qui
est dit ici ou là, le PIB de la Chine dépasse de loin celui des
Etats-Unis en terme du taux de croissance.
Par
conséquent, le droit international se conçoit exclusivement dans le
pacte colonial et au nom de la bipolarisation et du partage du monde,
veuille que chacun des plus forts dans la Cour des Grands, puisse
défendre librement, orbi et urbi, ses intérêts propres mercantilistes,
et ce, par des marionnettes interposées, en définitive, se confinent
toutes dans leur rôle de poupées, pour exister
Le droit
international ne bénéficie qu’à leurs Créateurs par les mêmes, qui
s’autoproclament Communauté Internationale, disposent exclusivement
d’un droit de véto à l’ONU. Les plus forts contrôlent et écrasent les
uns et les autres, sont satellites des deux camps opposés.
Le comble
du comble, est qu’’à mes yeux, la Fédération Internationale des
Autocrates Africains- entre autres, Emmerson Mnangagwa le Crocodile (
coupe Internet pour tuer), Sassou Nguesso, des Bongo I et Bongo II, Paul
Biya, Ouattara, Pierre Nkrunziza et Cie, des béni-oui-oui; et dont le
larbin Macky Sall- le pion chouchouté- des réfractaires à la
démocratie, devraient être traités au même pied d’égalité que les
terroristes.
Étrangement,
et aussi extraordinaire que cela puisse paraitre, les mêmes pantins-
parasites, surtout les 14 pays africains satellites, n’ont aucune
parcelle de souveraineté peu ou prou, malgré leur apparence, ont les
Pieds et poings liés, restent tous
sous protectorat du pré- carré colonial, apparaissent fréquentables,
utilisent par devers des doctrines et des politiques totalitaires
désuètes, répressives, contraires et non conformes à la déontologie
régalienne , bénéficient contrairement en toute impunité des passe
droits et des parapluies de la part de ceux qui leur déroulent le
tapis rouge, les couvrent, les couvent.
Mais en
même temps, les distributeurs des bons ou mauvais points aux uns et aux
autres, selon leurs postures, jouent les arbitres- deux poids et deux
mesures- s’ingèrent directement dans des pays souverainement libres
qui leur tiennent tète, et qui se dressent debout, mordicus, et
ce, sur la base que les états n’ont, pas d’amis mais des intérêts, et
sous le prétexte fallacieux de ne plus se mêler dans les affaires
des Etats. Sissi – MBS et Cie, sont-ils donc plus présentables que
Maduro et les autres en ont pour le grade et pour cause. ? Qui sont les
coupables et les victimes ?
Tout
dépend de la posture des uns et des autres, selon la loi et les
dividendes de ceux qui ont élaboré le droit international. Les droits
économiques passent-ils avant ceux des humains ? Dans l’hypothèse où le
tribun, Mélenchon, envisageait une visite au chef d’état vénézuélien,
cela créerait un tremblement de terre dans l’hexagone. La crédibilité
des régimes autoritaires se mesure-elle à l’aune de leurs largesses
vis-à-vis de ceux qui les brident ?
Décidément,
la charte de l’impérialisme a la peau dure. Chassez le naturel, il
revient toujours au galop. TRUMP donne le tempo et reconnaît
l’illégalité de sa marionnette, autoproclamée, satellite et les
puissances satellites menacent Maduro d’organiser des
élections sous peine de reconnaître Juan Guaido comme si le Venezuela
ne doit avoir pas sa souveraineté, est nécessairement leur domaine
réservé.
La
légalité et la l’illégalité du chef du de l’état Vénézuélien
doivent-elle dépendre de la volonté des puissances ? Auquel cas ce
n’est plus la démocratie- ce qui est surréaliste et fort de café, est
que pendant que l’on dénonce la dictature et le statut du vénézuélien
en tant que président légitime de la république bolivarienne, on lui
substitue une autre dictature, en reconnaissant de facto le putschiste,
sans la musique états-unienne ne serait rien.
Mais les
mêmes qui bandent leurs biceps se gardent bien de critiquer vertement
leurs chiens de garde, au contraire, ils les gratifient et changeant,
telles des girouettes, lorsque cela les arrange bien. Ceux quinous
dominent, nous opposent, et nous oppressent par la mécanique politico-
idéologique, linguistique universaliste des leurres, que sais-je encore,
et à dessein de piller toutes nos ressources vitales, lesquelles si
elles avaient été exploitées judicieusement et de façon efficiente,
optimale, permettraient à coup sûre d’avoir notre souveraineté
africaine, et nos défenses nationales, le développement économique,
pérenne, et par-delà, auraient pu créer les services annexes et les
conditions de frapper notre monnaie commune à l’échelle supra
nationale africaine, pour nous sortir du guêpier infernal, humiliant,
qui n’a que trop duré ?
Au nom
du bipolarisme hégémonique et contrairement à ce que le prétendu
droit international veut nous laisse croire, comme si nous sommes des
gueux, est par définition, un concept idéologique et un prolongement
soft du colonialisme, comme arrière-plan, selon la vision du gendarme
du monde et son satellite occidental, capitaliste « Suprémaciste
blanc », se liguent à l’échelle internationale, tels un écheveaux
s’autorisent toutes les dérives, tiennent à dominer tout le reste du
monde, qu’ils tentent « de démocratiser », promeuvent ailleurs la
culture de la trahison, tuent partout le patriotisme ; la liberté,
violent, piétinent et foulent du pied systématiquement la souveraineté
internationale des pays du sud, tranchent en lieu et place de ces
derniers.
Tous ceux
qui se dressent la tète haute contre leurs chemins en auront pour leur
grade, sont mécaniquement considérés comme de vulgaires dictateurs.
Autrement
dit, ceux là mêmes qui nous tambourinent à longueur de journées des
cours magistraux de démocratie, et que sais-encore, ont une autre
lecture sur la question, ne pensent qu’à eux-mêmes et ne protègent que
leurs propres intérêts économiques mercantilistes, et ce, par leurs
médias interposés de référence mondialiste, propagandiste, assurent le
service après-vente par la mécanique de la rhétorique idéologique.
En effet
chez les impérialistes, le droit international se conçoit exclusivement
par les mêmes qui l’ont élaboré et pour cause. Malgré les indépendances
bâillonnées et formelles de la dépendance dynamique de la décadence en
continu, selon le concept colonialiste, le continent africain, dit
honteusement francophone, supposé son esclave de droit divin, fait
partie intégrante de son pré-carré, le tout-puissant, n’est jamais loin,
et que personne d’autre ne doit interférer à sa logique de politique de
domination.
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