Reparlons encore du climat
délètre politique sénégalais ! Et
pour cause. Toute la sphère politique
sénégalaise, bancale, entre
autres, des journalistes-poilitiques,
patrons de presse, des
marabouts-politiciens, tous sont presque
abonnés aux pratiques
hypothétiques. Il ne suffit pas
de s’enturbanner ou se déclarer de l’épithète
musulmane, pour prétendre
réellement incarner la qualité de droiture.
Le sénégal est par excellence le
ciel obscurci de l’hypocrisie presque
généralisée de toutes les escroqueries
inimagibles à tout vent. Contrairement aux idées, il n’y en a la pelle. L’enrichissement tout acabit fait florès
contre la morale. Un tabou qu’il convient
de
lever. à tout prix Si les uns s’enrichissent par leurs noms, les autres utilisent les paramètres fourre-tout par l’entregent des postes de nominations, édictés par le système mafieux, qui autose toutes les dérives exponentielles. Nous sommes en plein régime d’une société à deux vitesses.
lever. à tout prix Si les uns s’enrichissent par leurs noms, les autres utilisent les paramètres fourre-tout par l’entregent des postes de nominations, édictés par le système mafieux, qui autose toutes les dérives exponentielles. Nous sommes en plein régime d’une société à deux vitesses.
La liberté au nom de la démocratie ! Un
peuple, un but, une foi, telle est la devise de la République. Nous sommes des
patriotes de conscience et des citoyens libres d’esprit, imbus des valeurs
démocratiques pour instaurer une société
égalitaire plus juste et non une société à deux vitesses dans laquelle les uns
s’enrichissent ostensiblement et librement que leur confère leur posture,
tandis que le reste, majoritairement écrasé, lassé et laissé pour compte, tire
le diable par la queue.
Le 10 mai 1977, Albert Spaggiari,
l’homme qui défraya la chronique
quelques mois plus tôt en
réussissant le casse du siècle à Nice, saute par la fenêtre du palais de
justice et s’échappe à moto…
Eh bien Macky Sall et Cie ont aussi tous utilisé les mêmes égouts du paradis politique pour s’enrichir bassement, en assurant leur promotion sociale en toute
l’impunité totale. Tous sont des cambrioleurs nés. Toute la classe politique sénégalaise et
l’armada de la déficonture pourrie
des journalistes -politiciens clientélistes ont emprunté les mêmes
chemins douteux des enrichissements
totalement illicites jusqu’aà la lie. Ousmane Tanor Dieng, un dinosaure parmi tant
d’autres à la pelle, Moustapha Niasse,.
Ce dernier est étrangement pétrolier et actionnaire de la société
Oryx, classé 40 ème compagnie
pétrolière au monde. Idrissa
seck, Abdoulaye Baldé, Karim Wade,
Ahmat Dansokho, Abdoulaye Bathily, Khalifa Sall, Landing Savané, lequel recevait
mensuellement un pactole de 30 millions de nos francs. Ils sont tous des
multimilliardaires qui ont
utilisé les mêmes raccorcis politiques, pour ne citer que ceux là.
Ceux qui se couvrent sous le paravent « de kala» ou écharpe n’échappent non plus à la régle, usent vertement de leur posture supposée
de guide religieux, se
remplissent pleinement, gloûtonnement leurs
poches, aunom de la religion
musulmane.
L’ethniciste ou
« l’affairiste Pétain Noir »,
joue nécessairement sur le
piano américano-français. Le
promoteur du népotisme et de la gabégie est-il un vraiment un croyant ? « Ndax amna diné ? ».Macky n’est qu’un messie
terroriste ethnocentriste de la démesure, grisé par le pouvoir auquel il ne
s’attendait nullement. N’eûssent été ses
milliards de ses sponsors colonialistes il ne serait jamais président du Sénégal. En vérité, Allah ne change pas l'état d'un
peuple tant que celui-ci ne change pas ce qui est en lui-même. } [Sourate
13 - Verset 11]
Être musulman, c'est
avant tout croire
en Allah se soumettre à Lui et obéir à Sa Volonté. La
foi musulmane se manifeste dans le comportement du croyant. Une foi qui ne
modifierait pas le comportement serait déficiente. Car, en vérité, les
actes d'une personne témoignent de ses convictions et donc de sa moralité.
L’ homme de la
rupture éclopée s’est bien enrichi honteusement sur la gestion des affaires de la Cité, en enrichissant par ricochet,
sa propre femme, Marième Faye, et toute sa famille immédiate pressureuse, de naissance , faussaire jusqu’à l’abîme.
Le Despote endurci sévit,
interdit tout, punit, emprisonne à tout
vent, qui il veut, quand il veut comme il veut à sa propre convenance, imprime sa marque de fabrique. Et le
peuple anesthésié, subit tout,
se tient docilement, brille dans un silence déplorable.
Toute capacité
de résistance contre la dictature devient systèmatiquement un tabou,
crée la désunion totale, à
contrario, la bassesse majoritaire l’emporte sur tout le reste.Tout développement de
tout pays commence
d’abord par l’instruction civique
et l’éducation politique de ses citoyens.
Les sénégalais n’honorent point
leurs héros, mais adulent leurs usuels traitres de référence qui les
oppriment. Cheikh Anta Diop, valdiodio Ndiaye, Mamadou Dia et Cie en sont une
illustration parfaite.
L’abondance de la puanteur locale,
nauséabonde, embrigadée, cartellisée
de servitude de caniveau, servait
de fil conducteur et de ralliement. Ainsi donc,
les médias endogènes de relais
bien attachés avec
la presse étrangère,
colonialiste, propangandiste de
référence, balisaient le terrain pour mettre en orbite un falsificateur historique,
qui se niche derrière les grilles d’un palais Alpullar. A l’époque, les oligarchies
financières internationales,
militaro-industrielles, capitalistes, impérialistes, tel un écheveau en jointure avec les lobbies maçonniques qui furent
preuve de prouesse exceptiuonnelle,
avaient réussi à rouler
dans la farine la majorité l’électorat
sénégalais candide. Ces derniers méconannaisent totalement
la face cachée d’un escroc né,
qui dissimulait dans le secret
des dieux son véritable visage hideux.
En 2007, le directeur de campagne de son
maître, Abdoulaye wade, avait pourtant voté par la force dans son bureau de
vote, sans daigner montrer
sa pièce d’identité.
Nous devons absolument nous inscrire au même standard
historique que l’Europe, les
Etats-unis, les pays émergents, qui ont hissé leurs
pays respectifs à un haut
niveau de croissance économique et sur
le plan technique, politique que militaire. Aujoud’hui comme hier, toutes ces grandes nations qu’on appelle les grandes
démocraties occidentales, hautement
développées, ont crée les conditions obligatoires de leur dynamisme qui
ne cesse d’augmenter sur des bases
voulues en toute conscience et en
toute en indépdenance. Quand on veut, on peut. C’est une question de conscience, collective, d’intuition politique et de courage. Sommes-nous donc des incapables pour n’être
que sous la dépendance de
l’assistanat international ou les
éternelles vaches à lait du monde impérialiste, capitaliste ?
Sommes-nous des abonnés de l’éternel recommencement, qui est facteur de fatalisme,
d’insuffisance atavique ou de
consentement réactionnaire? L’esprit
rationnel peut-il accepter qu’une bande de voyous, nommés par le miracle des postes de
nominations-Tan Sa Bula Nex- lesquels
sont magiquement devenus si riches subitement et demeurent en éternelles sangsues, voraces, brillent, sans coup férir, dans une opulence
préjudiciable, apparente, puissent sévir
et agir sans foi ni loi et croire
pouvoir mettre en bouteille
tout un peuple, présumé
soumis d’avance ?
Ahmadou Diop CPC
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