Macky
Sall mérite-t-il vraiment le statut de président de la république ?
Jusqu’où ira-t-il donc ? La réponse est évidemment non.
Qu’on le veuille ou
non, lorsqu’il s’agit de jouer les plaisantins dans la basse cour du pré-carré
de la françafrique, les élites fourbes africaines, s’accordent
et s’activent toutes pitoyablement
devant leurs maîtres suprémacistes, expansionnistes, blancs, bon teint,
au point qu’elles oublieent leurs semblables du côté hexagonal. MAcky Sall, est
bien en première loge « de la caste des fonctionnaires africains de la politique ».
L’esclandre de la démocratie ethnique, tribaliste, ostensiblement satanique plombe et retarde le développement du Sénégal.
Face au malaise social
endémique, chronique, qui va en pis,
l’homme des dénégations et des reniements, du haut de son piédestal, s’en fout de tout,
pille, rafle à tout vent et interdit toute contradiction politique, mais brille par son mutisme coupable sur la
question du pétrole et gaz, qu’il s’accapare avec son frère Aliou Sall, lequel «Takrip»- écrabouille tout citoyen libre, face
à une justice garde-à-vous et
aux ordres, laquelle est bien dévoué,
vouée à l’hégémonie d’un chef exécutif, corporatiste, terroriste,
lui-même, dans les faits éloquents.
Soyons donc sérieux pour dire que Macky Sall n’est pas la solution du Sénégal. Naturellement en Afrique, la contradiction politique se conçaoit exclusivement par l’abus de la force publique pour faire
taire toute opposition toalement
résignée, cisaillée, qui abdique par consentement réactionnaire sur toute la
ligne.
Soyons aussi conséquents,
car le plouque, fourbe, Macky Sall en chair et en os, est-il
vraiment la solution d’un Sénégal prospère, émergent et debout avec une
diplomatie forte ? Et la gambie, qui est dans l’appendice du Sénégal, tenue d’une main de fer par le dictateur, sanguinaire, Yaya
jammeh, putschiste, sert de bases
arrières pour des terroristes. Face au mou, le despote des tribulations assassine des sénégalais comme
des mouches, s’insurge, s’autorise tout, les divise, qu’il disjoint, les corrompt abondamment à tour de bras, qu’on appelle des soi-disants
artistes , alimentaires, présumés panafricains-mon œil-,quémandeurs, oui, chantent sa gloire.
Sur le plan
international, on assiste sans discontinuer à une diplomatie lamentable,
molle, chancelante, peu réactive, totalement
farfelue, voire même inexistente, absente, qui fait profil bas, face à ses
responsabilités, lorsqu’il s’agit de défendre ses ressotissants en europe, lesquels en détresse, sont laissés à eux-mêmes et pour compte,
pendant ce temps sur le terrain du crime, la république des fripouilles et de la bamboula, bande ses muscles à la moindre fantaisie,
continue ses interminables procès judicaires à double standard et à géométrie
variable par des coups tordus,
selon la tête des clients sélectionnés , qui sont au mauvais endroits, et
dont les contours portent en bandoulière
des connotations politiques en arrière-plan.
Sans prendre partie pour karim wade, qui fut ministre d’état, n’a jamais
bénéficié des tribunaux d’exception, mais il est jugé par la crei dite la cour
royale de Macky Sall-« l’envoyé Spécial
Colonial au Sénégal » en Afrique des élites serviles, toutes alignées
par la même puissance colonilale, qui monopolise toutes les parts de marchés et sans
appel d’offres.
A l’intérieur, pour couronner le tout, on nous sort un chiffre bidon de 6,
50% d’un taux de croissance supposé qui
contraste totalement avec la réalité. Mais ce qui est cocasse, c’est que la presse de carpette fait moins de
bruit sur le procès de Mimi Touré, suite à la plainte d’Hissène Habré, se déroule
le 18 avril 2016, pour avoir fait faux
et usage, fasilication de signature pour les cae. L’ex ministre exige son procès par la haute cour de justice, alors que le
même traitement a été refusé à karim WADE.
Quel est donc le
secret de l’anesthésie généralisée des
sénégalais sur le régime le plus scandaleux de toute l’histoire du Séngal par
ses dénégations des couches épaisses,
alors que sous d’autres cieux, la moindre once de frasque les faisait
bondir dans leur gonds ?
Soyon aussi conséquents ! Le voleur Macky Sall à col blanc continue de
bénéficier d’un blanc seing national,
malgré l’abondance de son impunité à
propension, alors que les milliards de francs cfa qu’il a détournés dans la poche du
contribuable sénégalais dorment dans le secret des dieux et dans les paradis fiscaux qu’il massifie avec
des comptes ouverts et placés à
l’étranger à l’abri des regards indiscrets.
Et les zones d’ombre
entre Arcelor Mittal- qui a déboursé
72, 20 milliards de francs cfa en
septembre 2014 entre autres, la longue liste non exhaustive des mêmes patronymes des
postes de nomination Tan Sa Boula Nex-
et à caractère ethnique de Macky Sall, non encore élucidés ?
Pétrole et gaz ou le scandale qui éclabousse Macky Sall et Aliou Sall.
Le seigneur du Tchad, Idriss Déby, qui
est au pouvoir en 1990, suite à un coup
d’Etat, soutenu par la France. Quoique
l’on puisse dire, le maître du Tchad apparaît, triomphaliste et obtiendrait à tous les coups et systèmatiquement des
scores fantasmagoriques, comme tout despote endurci. En Afrique des fascistes les scrutins ne sont qu’une simple formalité administrative.
Pendant
que les parodies judiciaires dissidents
contre Hissène continuent dans le
temple obscurci du népotisme et des
falsificateurs, déclarés et ceci sous le
nez et la barbe des mêmes parrains
bienveillants, qui restent tous
silencieux sur un régime ethnocentrique,
sanguinaire d’Idriss Déby, lequel reste
totalement invisible dans les radars assombris de la cpi suprémaciste blanche
pour ne juger que des indigènes nègres,
présumés.
En Afrique, le poste de président de la république sous tutelle coloniale s’achète
à coups de milliards de Francs CFA à
travers le piano américano-français.
Et la Haute autorité des collectivités locales qui s’apparente à du « réchauffé- Tangal »-
en vérité, c’est le retour du sénat en
quelque sorte qui ne dit pas son nom-
tout comme l’était d’ailleurs le cse- Conseil économique et social Sénégal
du temps du-pds - qui devient le Conseil Economique, Social et Environnemental-
compte 120 personne, dirigé par la transumante Aminata Tall. Le
référendum-fourre-tout est taillé sur
mesure par le renégat, faussaire dans l’âme, change son fusil d’épaule,
continue sa trajectoire totalitaire par
ses menteries inflationnistes. Le
même rituel des changements sans changements véritables sévit, car
le dictateur Macky Sall, continue sa trajectoire, totalitaire pour caser
sa bande de « doungourous » tous convertis, en alimentaires.
Cette prétendue haute autorité n’est en définitive qu’une cour royale des recalés politiques, clientèlistes,
mafieusx, très voraces et boulimiques,
qu’il nourrit par la caisse noire, communément appelée la machine toxique à
corruptions massives.
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