mardi 26 janvier 2016

Chronique : Projet diabolique de la réforme des institutions bancales : CPC le déclare solennellement nul et non avenu ! Par Ahmadou Diop


CPC, qui est  le  porte étendard, porte drapeau  et porte-parole des sans voix,  se met  en porte à faux contre l la réforme funeste  du despote Macky Sall, veut  trancher,  se substituer  en lieu et place du peuple sénégalais,  souverain, indépendant et libre.

Pour la CPC, la ruse  d’un tel plan diabolique  de ne peut assouvir  de promotion d’un mythomane, opportuniste, arriviste,  jusqu’à l’abysse  s’autorise tout et n’importe quoi, pour blanchir  de façon  indécente les échappées torrides  d’un diable.
D’une part, lorsque  Macky Sall propose  la réforme  des  institutions,  en même  temps,  réduit au silence tous ses opposants,  se dédire  irréversiblement  de son mandat  présidentiel,   interdit toute manifestation  pacifique, en oubliant tout le peuple, et  garder sa caquette de  secrétaire général de son parti politique. Cela partcipe à un mensonge grotesque, d’autre part, selon l’article  27   de  la constitution,  la réduction  du mandat  ne peut  être modifiée  que par voie référendaire.  Une  seule question   essentielle, unique  doit être posée : oui ou non pour la réduction du mandat  présidentiel de 7 à 5 ans.
 La Conscience Patriotique pour le Changement au Sénégal- -«XAM SA REW – BËG SA REW – JARIÑ SA REW», est à la fois l’ossature, la colonne vertébrale et la tète de pont des patriotes, chargée de la légitime défense démocratique, se veut un véritable contre-pouvoir libre indépendant, souverain, pour la restauration d’un état de droit.
 Dans ces conditions, la Conscience patriotique pour le changement au Sénégal, XAM SA REW – BËG SA REW – JARIÑ SA REW s’insurge, rejette, condamne énergiquement  sans   appel et  s’érige contre la réforme des institutions, diligentée sur commande par le  président de la république, qui est en réalité,  juge et partie.
En lieu et place d’une  véritable rupture dans l’action, plus qu’un village entier digne d’un capharnaüm, constitué exclusivement d’un corporatisme ethnocentrique, s’approprie de tout l’appareil d’état avec des postes de haute pointure, taillés sur mesure, sans compter le même clan de soi-disant dg au service public, portent mécaniquement les mêmes substantifs particuliers. En définitive,  sous l’ère Macky, tout est permis.
Le référendum  en mai  2016  est une chose, mais la  prétendue réforme  des institutions  figurées,  c’en est une autre. Il n y a point  de lien entre les deux termes. Car tous les deux sont totalement dissemblables.  Que Macky Sall se le tienne pour dit ! Ce qui se conçoit bien s'énonce clairement, sans lague de bois.
 Il n’incombe nullement  au président de  l’Assemblée nationale  d’obéir au premier magistrat de la république sur la question vitale.  Encore moins, l’avis des cinq Sages du Conseil constitutionnel sur le projet de référendum n’a qu’un caractère  consultatif. Rien n’est donc supérieur au calendrier  républicain, référendaire, qui  doit se tenir à  date échue, le  29 mai 2016.  Une seule et unique question  demeure : oui ou non pour la réduction du mandat présidentiel de  Macky Sall , qui passe de 7 à 5 ans. Outrepasser  cette question indivisible, en y incluant  d’autres interrogations supplémentaires,  constitue  à  un manquement ou viol contre  l’esprit de la constitution.
Cette censure contre l’avis du peuple  qui  n’en est pas une n’est plus acceptable.  Car la souveraineté appartient  au peuple  libre, indépdendant  qui l’execerce par voie référendaire en toute légitimité
La gouvernance des parloes dédites  est devenue  une religion  d’état, sous  Macky Sall,  s’érige en arnaqueur, endurci,  nègre de service.
Cette réduction qui  était donc  une promesse de campagne du  candidat, doit se matérialiser  sur le terrain  et dans l’action  par  un véritable référendum  populaire  dans  laquelle  la liberté de choix des citoyens libres, sans bruits, ni encombre, ni fioritures, doit primer.
 En vérité, ce régime fasciste, fainéant, fantaisiste, fantoche, qui interdit  à tout vent,  toute manifestation pacifique,  embastille ses adversaires politiques,  tue la liberté,  réduit toute voix discordante des opinions,  qui est le  premier  droit inaliénable  des citoyens,  ne peut être crédible.
Or, dans une  véritable  démocratie, transparente, efficiente, celui qui s’autproclame le parangon de la rupture tangible et  à l’épreuve des faits,  doit mettre en exécution sa parole donnée, de façon que le référendum programmé,  puisse se tenir à date échue. Conditionner la consultation ou y  ajouter  des questions annexes, constitue  immanquablement à des mensonges d’état.
Les dessous de la prétendue réforme des institutions  qui  cachent des rapines politiques,  ne visent qu’à  blanchir et  présenter Macky Sall  sous de faux postulat sur la scène mondiale,  présumée faiseur de rois,  avec comme  en  arrière-plan, un prestige fabriqué de toute pièce. 
Contrairement  aux idées  reçues,  il n’y a pas que  l’intégrisme religieux, tant s’en faut,  mais il y a aussi son corollaire, qui est aussi  dangereux, à savoir l’intégrisme terroriste,  politico-ethnique, étatique,  médiatique,  savamment élaboré,  et échappe à toute règle, en sens qu’il est  légalisé, démocratisé par sa violence  qu’elle exerce  sur les citoyens.
la violence psychologique et physique exercée par  les  ustensiles  de Macky  Sall   contre  toute   opinion libre  ou sur  toute opposition  réelle ou supposée,  qu’il tient à réduire  au silence, dans la perspective d’arracher  la victoire  et pour  tuer  en elle  toute velléité  de contradiction  politique.
Manigances, hableries, filouteries, manipulations à dessein  de  tromper et gruger les sénégalais par des  échappées suffocantes,   ne passeront pas.  Encore moins,  la pilule ne passera pas.

 Donc  tous debout pour déjouer un référendum taillé sur mesure pour un éternel faussaire de naissance et dans l’âme jusqu’à l’abîme, représenté  en la personne  de  Macky Sall, qui  prépare habilement  une masacarde  référendaire fourre- tout- un foutoir — dont le but inavoué  consiste  à   légaliser par la l’artifice  ce qu’il  est convenu d’appeler  avec euphémisme  un banditisme étatique.

Le référendum n’a rien à voir  avec les réformes institutionnelles présumées, qui ne sont qu’une vaste escroquerie, tendant à créer les conditions d’un hold-up électoral.

Macky sall, qui est devenu  le maître de l’esclandre des scandales,  prépare en toute logique,  les esprits qu’il tient à phagocyter  par la ruse, alors qu’une  une seule question demeure oui ou  non pour la réduction du mandat présidentiel de 7 à 5 ans.


Le Sénégal a élu  par son étourderie manifeste, massive, généralisée et l’échelle nationale, collective, une sangsue, vampirisée, qui  s’est  bien nourrie sur l’épaule de la république, vit aux crochets de l’argent du contribuable sénégalais,  astiqué, comme il en existe  chez les élites africaines de pacotille, plus  riches que Crésus par  les raccourcis politiques. Lesquelles   ne disposent  aucunement de  la moindre once de moralité.
 Le  référendum, reste  la  priorité absolue, qui  est au-dessus  des interêts partisans,  divise et crée  la cacophonie   au niveau  de majorité de  la  classe politicarde désertique,  s’accorde  bassement  à  la trajectoire  du fasciste Macky sall, le presseux, fourbe et chef clanique de la république des fripouilles de la racaille des menteurs professionnels, incultes,  mercenaires et alimentaires.

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