Macky Sall, le nègre de
service ״blanc״, francophile honore Abdou Diouf, qui fut président de la république du Sénégal
par décret présidentiel, se
définit lui-même comme étant un français
du Sénégal, mais oublie l’homme d’honneur,
le Savant sénégalais, bon
teint, Cheikh Anta Diop.
Le Centre international de conférence
Abdou Diouf de Diamniadio (CICAD) entre en toute logique dans la dynamique organisée de la dépendance systématique.
Le Centre international de conférence
Abdou Diouf de Diamniadio (CICAD) offre
une particulaité, en ce sens qu’elle récompense en filigrane à faire la
promotion de la langue française, qui est
ce logiciel d’asservissement, de domination de service public et d’enseignement.
Aussi extraordinaire que cela
puisse paraître, Senghor [ paix à son âme], après avoir régné 20 ans, sans
partage, viola délibérément
la
constitution et déclara à sa propre convenance,
son dauphin, Abdou Diouf, qui devint
le président de la République
du sénégal, le 01 janvier 1981,
par décret présidentiel.
Cheikh Anta Diop, fut le
premier savant scientifique, africain dans le panthéon des savants des vertus multidimensionnelles qu’on
ne saurait enterrer sous aucun prix.
De toute façon, l’actuelle clique politique pathétique a d’autres préoccupations ausssi
indignes que d’immortaliser ce panafricain hors du commun.
Mon frère, Ndiawar Diop
se demandait la semaine si abdou diouf
n’est pas derrière
l’embastillement de Karim wade, l’opposant le mieux placé contre Macky
sall. Toute porte à le croire en
toute logique. Je suis totalement en
osmose avec le patriote qui a
des réflexes prodigieux, lorsqu’il
s’agit des sciences politiques.
Abdou Diouf: « Je trouve chez Macky Sall une vision qui me
rassure ». Il croit
gruger les sénégalais, présagés oublieux et se substitue
allégrement à leurs consciences.
’Vous savez, un homme d’Etat, c’est une vision, une
détermination et une capacité d’action. Et je trouve tous ces éléments chez le
président Macky Sall’’
Selon Abdou Diouf, la vision, la détermination et la capacité
d’action chez macky sall, se
résument à réduire au silence tout
citoyen libre et tout opposant
réel ou supoosé. En fait, toute capacité de résistance devient
sysèmatiquement source délit. Abdou Diouf
fait l’apologie de la tyrannie.
Chez Abdou Diouf la
vision, signifie, abuser de la force publiquue et faire taire toute voix discordante des
opinions libres. La vision chez macky Sall, c’est promettre, mentir et mentir à
n’en plus finir.
En définitive, Abdou Diouf a une
vision drôle de la démocratie, car l’homme
fait preuve d’une démonstration magistrale de
ce qu’il savait faire,
lorsqu’il était sur les manettes.
Voilà un jugement de valeur abracadabrantesque de la part d’un
illuminé, déclaré- non- éclairé !
L’érection de ce bâtiment insensé, porte incontestablement la marque indélébile des velléités hégémoniques de l’expansionnisme
triomphaliste.
De 1963, date historique du fameux coup d’état de Senghor contre
Mamadou Dia, le Président du
Conseil, le serviteur, jusqu'aujourd'hui, le Sénégal, agenouillé, n’est jamais
tombé aussi bas que sous l’ère d’un faussaire né, versus
françafrique
« soft » .
Général Tavarez De Souza A Abdou DiouF : « il n’a jamais
été question de coup d’état ». Qui
croire entre les deux hommes ? Naturellement, nous croyons au Général contre « doungourou « de
Senghor, qui a bel et bien bénéficié
d’un decret présidentiel, totalitaire de
Senghor (paix à son âme). C’est la même
chose chez Macky Sall, qui a été bien élevé au grade de Grand Officier de la légion d’honneur
française dans les jardins de
l’ambassade de la France à Dakar,
en 2008, pour moult services rendus à la France. C’est donc normal
que le couple Abdou Diouf - Macky Sall s’unisse, puisque tous les deux portent les
mêmes valeurs ignobles devant l’éternel. Ce qui les unit est supérieur à ce qui
les désunit. Tous les deux sont liés par
le même cordon ombilical : tous les
deux jouent sur le piano américano-français. Malheureusement, c’est le sénégal
qui y perd.
Abdou Diouf, nourrit du
lait de son défunt mentor, Senghor, porte donc nécessairement la même « ADN » que celle de son bienfaiteur, Senghor. Peut-il en être tre autrement ? Le contrare serait étrange. Tout se tient en politique. Il est inutile de répéter que les liaisons
dangrereuses des hommes constituent une régression totale pour tout
le pays. s
L’histoire d’un peuple
vaillant, debout et fier de l’être, n’a de
sens que lorsque’elle se passe là où
elle se passe au moment
de son histoire, pour imprimer sa marque. Qu’on le veuille ou non, historiquement et présentement, le Sénégal, malgré
son apparaence, est le laboratoire des
traitres majoritaires, tous unifiés,
encordés, telle une toile d’araignée.
.En vérité, l’homme est
récompensé pour son actisme et son rôle
déterminant pour la dynamique de francophonie, qui
est cet outil d’asservissement,
d’enseignement et de service public, le support médiatique, politique,
linguistique et culturel.
La constitution est le
Tallon d’Achille du Sénégal.. La langue officielle du Sénégal reste bien le français, qui est par essence, un outil de travail, un logiciel d’enseignement de service publi ; en réalité, une domination extérieure de
propagande essentielle, constituant le
socle fédérateur, fondamental, pour la
promotion des modes de pensée d’une
culture étrangère.
Cheikh Anta Diop, la
référence par excellence de l’homme noir, le savant le plus considérable, le plus
coriace de toute l’histoire de
l’Afrique, était en tête de peloton des intellectuels africains, qui
dénonçaient Senghor, le chantre de la nègritude et son
degré d’inféodation totale à la
culture et à la langue française. A
l’époque, Cheikh Anta Diop décryptait
l’attitude scandaleuse de Senghor,
comme étant le codificateur du fascisme,
le maître du plagiat historique, en particulier, son fameux poème
intitulé : « l’émotion est
nègre et la raison hellène» (Léopold
Sédar Senghor).
En fait, Senghor tenait
vaille que vaille hystériquement et à démontrer la dualité rationnelle de l’homme blanc par rapport au nègre, paresseux
par nature, et qui danse constamment.
Cheikh
Anta Diop : « Senghor me dénigre à la télévision »
״ À
propos de la question du plagiat, je renvoie à « TAXAW » numéro 3, je
ne suis que la énième victime avec Hamani Diori, (détérioration des termes de
l’échange) ; le Président Bourguiba (francophonie) ; la Pira (civilisation de
l’universel); Camus (politique politicienne) ; Ousmane Socé (métissage
culturel) ; Césaire (Négritude) ; André Blanchet (balkanisation) ; Gaston
Deferre ( horizon 80, devenu horizon 2000 ou 2001) ״
L’écrivain
sénégalais, Boubacar Boris Diop, résume bien l’aliénation des élites
africaines, en pariculier, sénégalaises : « vous savez, le secret de la domination excercée sur nous
par l’occident, repose sur la domestication des élites. A ce jeu, la France est très forte et elle a dans
divers domaines de la connaissance et de l’art,
des relais africains qui se chargent de justifier sa domination sur l’Afrique »
Ahmadou Diop CPC
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