En réalité, nous avons
affaire à un caractériel qui s’est transformé en caméléon
n’est pas prêt de changer.
Il promet plus qu’il
n’en fait en réalité. C’est une girouette
qui n’entend pas raison, agit selon ses pulsions pithiatiques inguérissables. Celui
qui dénonçait hier, lorsqu’il en mauvaise posture, le récuse aujourd’hui,
comme si rien n’était. L’hommme
n’inspire pas confiance et les
sénégalais qui sont tombés des nues, s’inquiétent et ne savent plus à quel saint se vouer.
Pire encore, ses
conseillers convertis en «dougourous», taillables à merci par sa presse interposée de servitude talibanisée, se chargent bassement de blanchir les mensonges cousus de fil blanc.
Une exceptionnalité d’un pays étrange et à la renverse qui s’accroupit et fait
allégeance par force face à un fourbe.
La réalité dépasse
l’entendement rationnel. Un conte de
fée. « Sunu Rewmilé » n’est
jamais aussi bas que sous Macky Sall- « Charlie, l’affairiste Pétain Noir »,
l’Envoyé Spécial Colonial, en chair et
en os, le symbole maléfique de la pégre mafieuse. Un comble du vandalisme ! Si nous en sommes là, c’est parce qu’il y a dans
ce pays plus de traitres que de patriotes.
On ne récolte ce que l’on sème. Macky Sall au pouvoir, le Sénégal trinque et
paye le prix fort. Les gros bras qui
parainent la marionnette, ne font pas du bruit, mais agissent dans l’ombre et sur le terrain du
crime. Si l’Afrique n’avance pas, c’est
parce qu’il y a des traitres unifiés
dans son ventre, préférent se servir et asservir leurs semblables sur l’autel
de la rengaine.
Macky Sall est l’humidifié - « Taxrip»--jusqu’au cou.
Peut-il se donner une once
virgnité ? Gouverner, c’est prévoir, c’est aussi faire preuve de
transprence, d’éthique et l’équité par des preuves matérielles sur le
terrain. Les étalages des troubles à
l’ordre public et les
déballages massifs à couper le souffle nous édifient largement sur la nature de la république des
fripouilles, constitutionnalistes, alimentaires, mercenaires, incultes et des menteurs professionnels,
cartelisés. Les voleurs ne dispuent qu’au moment du partage du butin. C’est
maintenant chose faite. Cet homme n’a été élu que grâce à l’esclandre de ses milliards qu’il a volés..
Macky déclarait dans le
magazine américain Foreign affairs : « qu’il a bénéficié des privilèges relatifs à
sa postion d’ancien premier ministre.
L’homme apparaît n’avoir jamais
de devoirs, mais exclusivement des droits. Une curiosité. Voilà
donc à quoi ça sert d’élire un pickpocket. !
Tant que l’issue des
scrutins de pacotille se jouera dans la cour des présidentialistes, multimilliardaires des postes de nomination TAN SA BULA NEX - des notables imaginaires, croire à un
Sénégal émergent participe à une
grosse arnaque. C’est une simple vue de l’esprit.
Un visionnaire est un
dirigeant, méritoire,
responsable, intuitif,
charismatique, gratifié par des
qualités intellectuelles, remarquables, dont l’activité repose
essentiellement sur l’intelligence, l'honnêteté, l’éthique et
l’équité, qui a des capacités de réflexions prodigieuses de haut niveau sur la sphère
publique, et qui propose
des solutions appropriées, pérennes,
où défendre des valeurs par rapport à
son intime conviction.
Macky Sall, le
pâteux méprise de façon indécente les citoyens
auxquels il est redevable.
Curieusement, le réfractaire à la démocratie,
tient mordicus, est flegmatique aux critiques justes des sénégalais qui le rapppellent à l’ordre. Et pour cause. Un tel pitre de son espèce n’a la moindre étoffe pour diriger le Sénégal. Un président de la république, qui ne respecte pas sa parole, ne mérite aucun égard.
Un président de la république oublieux, qui dérape à tout vent, écrabouille, abuse lâchement et dangereusement de la
force publique n’est pas digne de son rang..
Il convient
de lui dire
qu’il ment, car il n’est pas
au-dessus des lois, ni un prophète
encore moins un dieu. Un
président est tenu de respecter ses
obligations. C’est un devoir moral. Celui
qui préside aux destnées de tout
unpays, doit avoir de la retenue,
le sens de l’honneur et leprouver
matériellement et dans l’action tangible, le dévouement, être serviable, l’ouvert d’esprit, la lucidité, l’humlité, la
tolérance, le respect de sa
parole donnée, la sagesse, la courtoisie et la rigueur, l’intelligence par le poids des mots. Le
président de la république est un
titre et non une fin en soi. Un tel
personnage doit savoir raison garder et prêcher la bonne parole,
laquelle inspire la confiance au peuple.
Tout prétendu dirigeant qui n’accepte pas ses régles élémentaires, n’est pas méritant de sa posture.
Le premier magistrat de la république ne peut ignorer que gouverner, n’est
pas synonyme d’un chèque en blanc. Il doit fournir le meilleur de lui-même. L’éthique
et l’équité sont ses
meilleurs alliés qui garantissent
sa crédibilité. Un président de
la république a des devoirs et des droits.
Rendre compte de son bilan positi ou négatif n’est pas un
cadeau offert au peuple, mais une prescription régalienne, pour tout chef d’état responsable. C’est un droit inaliénable, une exigence,
voire même un sacerdoce. Les citoyens qui l’ont élu, doivent savoir. Esquisser
ses questions fondamentales ou se prendre pour un boxeur et cogner pour sévir,
en bandant les muscles,
L’arrogance euphorique d’un Etat apr : un
géant virtuel de circonstance aux pieds d’argile.
L’Etat -APR n’est guère représentatif dans l’échiquier politique
sénégalais, son poids n’est que virtuel en termes d’adhérents. Toutes les gesticulations stériles de Macky Sall ne visent qu’à massifier un parti chroniquement déficitaire qui est
cet éméché, cliniquement clanique, n’a que des invectives, mais dispose réellement pas d’assises politiques.
L’exceptionnalité sénégalaise a
crée un président de circonstance.
Le féticheur n’est pas bien préparé pour
le poste de la république, car l’homme
manque cruellement de vision.
C’est un parti de famille pire que le pds qu’il a succédé par la ruse et sur la
base d’une surmédiatisation obscure des
lobbies tapis dans l’ombre. Pour la première fois dans l’histoire de la
république, l’opposition est politiquement plus forte que l’apr au pouvoir.
L’opposition doit mener la danse plutôt d’être la remorque de service et des
sinécures.
Comment expliquer la ruse
machiavélique, maçonnique, représentée par l’étrange animal sympathique dans un
parti politique ?
Depuis sa
défenestration foudroyante de son
poste de président de l’Assemblée Nationale du Sénégal,
de puissants lobbies extérieurs aux motivations politico-financières cachées,
ont réhabilité leur homme, en l’élevant au grade de Grand Officier de la
légionnaire d’honneur de la France en 2008,
dans les jardins de l’ambassade de la France à Dakar.
Depuis lors, l’homme continue
de bénéficier allégrement
de solides appuis extérieurs, tissait
à petitx feux doux sa toile, dans
le monde fermé, ombrageux de la part des oligarchies internationales
financières, estampillées : la franc-maçonnerie de chefs d’état africains
au fur et à mesure qu’il gravit des échelons dans les nominations incommensurables par l’étourderie de celui
qu’on surnomme, le « Pape du Sopi », aveuglé et anesthésié par la
magie noire, ne voyait rien venir. Maintenant, il a bien vu quand c’est trop
tard, pour bien agir et corriger le tir.
Ahmadou Diop CPC
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