dimanche 23 septembre 2012

Oui, pauvre cancre, piètre guignol, les injuries ne passeront pas ! Cheikh Ahmed Tidiane DIOUF : en effet, la LD ne peut comprendre les discours décousus d’une certaine ordure de la démesure.


Décidemment, dans ce pays, on ne sait d’ailleurs, pourquoi, mais malheureusement, certaines personnes  apparemment atteintes d’indécence mentale chronique ou en mal de publicité,  pour exister sur la scène médiatique, s’offrent piteusement en tribune et versent systématiquement dans la schizophrénie effroyablement lamentable. Pour un oui et pour un non, bizarrement, qu’elles aient été tentées par le diable, elles sont incontrôlées, incontrôlables et s’autorisent tout comme si le monde leur appartient. Comme si cela ne suffisait pas, elles n’y vont pas sur le dos de la cuillère et se comportent en démons  illuminés exécrables jusqu’à perdre les pédales à dessein de se faire un nom  par n’importe quel moyen, fut-il ridicule, quitte même à être vulgaire. Pour  peu que la tête d’une personnalité politique  ne leur revienne pas, elles se croient permissives et déchaînent leur haine viscérale  publiquement, pour se faire admirer. Est-ce une thérapeutique ou une pathologie ? C’est bien le cas de ce pestiféré de la démesure, en l’occurrence, Cheikh Ahmed Tidiane DIOUF, un garnement à la langue bien pendue plus rapide que la vitesse de la lumière et du son, déversant sa longue litanie d’insanités sur l’ensemble «  des Ldistes », tous pris pour des gueux. Qui est donc cet énergumène pitoyable, étourdi qui s’offre grotesquement et bassement  en spectacle ? Pauvre con, vous inspirez le dégoût !

 Oui,  pauvre cancre, piètre guignol, les injuries ne passeront pas ! Cheikh Ahmed Tidiane DIOUF : en effet, la LD  ne peut jamais  comprendre les discours décousus  d’une certaine ordure de la démesure.  Face à l’esclandre d’un vaut rien, tel un mouton qui cherche de la paille, nous ne pouvons pas laisser passer la pilule au risque qu’il ne devienne inguérissable.  Contrairement aux allégations mensongères, la LD n’est ni un parti clanique, ni de retraités, mais un parti de l’avant-garde, de masse qui s’inspire, du socialisme et de la sociale démocratie, de la liberté, du progrès, de la justice sociale et de la paix.

 Nous représentons la vraie gauche radicale, la cheville ouvrière la plus représentative en terme de qualité et non de quantité des intérêts majoritaires et des laissés pour compte, même si le discours de pourriture ne rime pas à la vérité des faits. Cela, nous l’assumons.

 Dire que la LD est mal placée pour la suppression des fonds communs relève d’une contre vérité fumante. En vérité, c’est la preuve d’une caste corporatiste, extrêmement dangereuse, excitée, boulimique, qui a du mal à défendre son bifteck. Finie la donc la république des sinécures extensibles ! A ce prisme là, nous déclarons solennellement que de telles affabulations sont totalement indignes d’un présumé intellectuel, en réalité, ce que nous avons lu est la résultante d’une machine de rancunes, de la part d’un déréglé mental qui perd le sens des réalités. A cet égard, monsieur le symbole de la tartufferie, la LD  n’a aucune leçon à recevoir de qui que ce soit, surtout d’un individu égoïste et aussi borné. Travaillez et contentez-vous de votre salaire, plutôt que de  compter sur les fonds communs inutiles et budgétivores ! Nos discours sont totalement conformes à nos convictions politiques. Ce ne sont pas les gesticulations inutiles, scandaleuses qui vont diluer notre éthique morale. Que cela soit clair ! Qu’on se le tienne pour dit !

 Cependant, à défaut d’apporter la  moindre contradiction politique, comme nous le martelons toujours, l’attitude hystérique et irresponsable du Sénégalais lambda caractériellement indiscipliné, réside à se focaliser sur des pirouettes pour justifier l’injustifiable. Alors, monsieur, si vous n’êtes pas capable de comprendre cela, parce que vous avez certainement des insuffisances criardes, la seule solution qui vaille pour vous, c’est de vous taire, plutôt de vous offrir affreusement en piètre clown !  Monsieur, un peu de retenue, de courtoisie, tout n’est pas permis !

 Comme le dit admirablement l’adage bien connu chez de nous, « ku xamul buur saay na, ñu nela buur dee na» (à qui ne comprend "le roi a disparu", on lui dit : "le roi est mort"). Apparemment, le donneur de leçons, s’octroyant librement  en docteur ès sciences politiques de la pieuvre, mérite bien qu’on le recadre nécessairement, puisqu’il semble ne rien comprendre jusqu’ici, à tel point qu’il faudrait le remettre à sa place.

 Énergumène pitoyable, étourdi, vous pouvez continuer la jaspinerie et vous offrir grotesquement et bassement en spectacle, mais vos incantations stériles ne changeront nullement le cours de l’histoire. Et vous le savez parfaitement.
Oui, monsieur, la LD ne comprendra jamais  l’attitude scandaleuse d’une certaine ordure de votre espèce.

 Monsieur, ce n’est pas parce que vous êtes dans vos gongs que la LD reculera sur sa trajectoire des fonds communs pour assainir la salubrité publique. Détrompez-vous et revenez à de meilleurs sentiments   !

 Monsieur, vous faites preuve d’une bassesse immonde par votre mesquinerie dont vous  portez l’unique responsabilité devant l’histoire. Votre discours de bas étage, de la salissure dont vous détenez l’unique secret n’aura aucune prise réelle sur la détermination de la LD et de son remarquable leader historique, charismatique, en l’occurrence, l’éternelle sentinelle de la république, en la personne d’Abdoulaye Bathily, comme étant l’un des plus intègres emblématiques de tout l’échiquier politique, quoique vous fassiez. Que cela vous plaise ou non !  Peut-on arrêter vraiment  les bras d’une mer ?

 Excellence de la tavelure, par vos paroles abjectes, vous pensez rabaisser un homme  aussi valeureux et honorable, au contraire, vous êtes ridicule, ignoble, irresponsable par  votre attitude méprisable, en perdant votre temps à dénigrer aveuglément et gratuitement un homme exceptionnel, aux âmes bien nées,  par son dévouement constant au service de la république, sa moralité, sa simplicité et son humilité. Personne ne peut ignorer ses qualités, sauf vous. N’avez-vous pas honte de vouloir livrer aux chiens à la seule fin de décrédibiliser un homme d’état d’une  telle stature ? Non, ça suffit, maintenant !

  Monsieur, vous faites preuve d’un cynisme indescriptible, car vous  représentez le prototype même de la répugnance par vos mensonges cousus de fil blanc. Et vous le savez en toute conscience, mais la mauvaise foi vous anime. Mais le ridicule ne tue plus dans ce pays à la renverse. La médiocrité inverse les rôles. Faut-il avoir le culot et l’outrecuidance de vouloir déshonorer et humilier à tout prix tout un parti par vos outrages corrélativement conformes à vos inanités ubuesques et surréalistes ?

 L’ignominie dont vous êtes comptable, est votre plat de cuisine.  Croire pouvoir porter au pinacle un parti populaire relève d’une ineptie monumentale condamnable. Que vous  êtes-vous donc lamentable, moisissure intrépide pour culpabiliser et distribuer des bons et des mauvais points au nom de quelle posture ?

 Admirez-vous d’abord devant une glace avant de sortir des sacrilèges absurdes qui n’engagent que votre pauvre personne insignifiante ! Vous êtes bien déplorable pour écorner de quelle manière que ce soit la LD, serait-ce qu’un iota. Vous êtes donc trop minable et gonflé pour nous donner des leçons de conduite, alors que votre verbiage creux est la preuve de votre état d’esprit étroit.

Monsieur, vous êtes assurément un cancre  maudit ! Vous êtes donc coupable de vos récriminations sordides !
Evidemment, le discours ordurier est naturellement conforme à la petitesse d’esprit de son auteur aux relents purulents. Est pire celui qui croit  faire preuve d’une objectivité ridicule sur fond de haine dans son for intérieur, alors qu’il ne sait pas qu’il représente lui-même le déchet  pur de son espèce. Alors, que dire de cette charogne emmitouflée de poison, aux odeurs aussi pestilentielles que celles des poubelles ? Laissons donc le soin à l’auteur de s’administrer lui-même son propre poison !

 
Le combat continue !

Ahmadou Diop

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire