mercredi 30 mars 2016

L’obscurité et le culte de la médiocrité des nègres de service plombent l’Afrique. [Par Ahmadou Diop]



Tout d’abord pour commencer, précisons ceci : les nègres de service, dont Macky Sall, aujourd’hui, est le premier pantin sur le piano de la françafrique, atlantiste, aux ramifications et des vertus peu transparentes, le représentant adulé, du cercle fermé des intérêts colonialistes, n’est qu’une créature moribonde au puzzle de mauvais aloi pour nous les vrais patriotes aux vérités éternelles.
Je l’ai martelé à maintes reprises et le redis sans cesse, car l’Africain, le vrai de l’ivraie, n’est héros que lorsqu’il meurt. Un paradoxe d’un manque d’aplomb antipatriotique, qui résulte incontestablement d’une particularité africaine, ne comprend rien de son passé si douloureux. Une idée que j’ai toujours défendue avec corps et âme, jusqu’à preuve du contraire. Le véritable héros africain n’est reconnu comme tel pour les siens qu’à sa mort, quand ce sera trop tard pour corriger le tir, en attendant, demain, l’éternel recommencement. Une bêtise qu’on répète à l’infini et tout le temps.
C’est la règle éternelle des renoncements de la servitude jusqu’à l’extinction du soleil et de la lune. S’agit-il, alors d’une malédiction de Cham qu’on porte sans le savoir dans nos gènes ? Mais l’Europe, à contrario, heureusement, prend le contrepied de l’Afrique totalement exclue de l’hagiographie mondiale pour la bassesse inouïe de ses escrocs multimilliardaires, traitres nègres de service plus riches que l’ensemble des chefs d’état des pays développés. Comment des minables énergumènes de la trempe de Macky Sall, très pauvres, hier, puissent s’enrichir bassement dans une opulence effrayante, tandis que le reste de la population vit dans une pauvreté absolue, sidérante ?
Des héros tels Cheikh Anta Diop, l’éternelle référence de l’bomme noir, voire même mondial, l’exceptionnel scientifique le plus coriace, le plus prolixe pour ses recherches scientifiques les plus saillantes pour l’Afrique, Mamadou Dia, le président du Conseil, Omar Bondin Diop, un des plus éminents intellectuels du Sénégal et du continent, Patrice Lumumba, le premier congolais, nationaliste, le plus audacieux, le plus percutant pour son charisme, indéfectible, Nkrumah kwamé, le nationaliste exilé en Roumanie. Ces gens-gens là, auraient pu amener notre chère Afrique à bon port et au même stade que les Brics réunis, aujourd’hui, triomphalistes avec une remarquable indépendance politique, économique, militaire, qu’on respecte, qu’on le veuille ou non.
Depuis lors, le mal endémique, crescendo, va en pis, tel le virus Ebola, qui prospère, grimpe, décime, à tout vent, sévit, aussi longtemps, tant que l’Afrique restera la chasse gardée, présentement vassalisée, agenouillée, insultée, trainée dans la boue, par un pillage systématique organisé de ses ressources africaines exceptionnelles, indispensables, ce don de dieu, qui constitue la pompe des discordes et des guerres, alimentant exclusivement les industries européennes, expansionnistes, colonialistes, puisque l’Afrique est entre les mains sales des sous-hommes, transformés vulgairement en voyous, corrompus, travestis en carpes, ou bouffons pour les beaux yeux des maîtres impérialistes de la démocratie mondialiste de l’arbitraire et de la tyrannie.
Comment peut-on respecter l’Afrique, qui ne dispose guère d’aucun droit de véto à l’Onu, laquelle organisation vit aux dépens et basques des mêmes puissances capitalistes, colonialistes ? Où est la démocratie lorsque sous le prétexte de protéger des civils, qui sont eux-mêmes les cibles des bavures programmées, sur tous les pays disposant de ressources naturelles, abondantes, comme par hasard, selon les règles érigées de la nouvelle donne du néocolonialisme, conforme à une certaine déontologie, peu respectable, et à géométrie variable, apparemment taillées sur mesure et au nom de la démocratie mondialiste, à double standard, en fonction de la bonne posture au bon moment, quand bien même, dans les lieux des crimes imprescriptibles, l’absolution de l’UA est nécessaire, car peut être, l’Afrique elle-même, n’est pas assez entrée dans l’histoire, comme toutes les grandes nations, qui sont dotées des hautes technologies de pointe, malgré qu’une bonne frange de l’institution, soupçonne les odeurs de l’arbitraire, primant sur tout le reste.
L’Afrique subit le diktat des puissances colonialistes. Une indignité corrodante. Alors, où a-t-on vu en Afrique francophone, la moindre probante parcelle de démocratie dans ses pays tenus d’une main de fer par des voyous, qui les dirigent à coups de canons ?
Nos prétendues élites de pacotille, corvéables à merci, sont confinées dans leur rôle de pantins. Aussi extraordinaire que cela puisse paraître, dans les années 60, après la débâcle sur l’Algérie pour son gaz, qu’elle tient comme la prunelle de ses yeux, il fallait des pions et des valets triés au volet, pour rattraper le gâteau perdu en Afrique noire conquise par des pantins de la servitude et à la solde de leurs maîtres tapis dans l’ombre, qui tirent par derrière les ficelles. Ce sont tous des écrans de fumée et des indigènes de service aux pieds d’argile,  qui agissent toujours en service commandé.
Dans ces conditions, nous devons et revenir aux fondamentaux et inverser la courbe et maitriser, comme tous les autres, les nouvelles technologies, indispensables pour notre sécurité, en particulier, l’objectif nucléaire, qui est un droit légitime, inaliénable, étant donné que nous avons toutes les richesses innombrables, inestimables, dans notre sous-sol, à savoir, l’or, le précieux métal, le diamant, l’uranium, le cuivre, le cobalt, qui coulent à flot, pour mettre un terme à la dépendance expansionniste de la honte du sièle. Le respect de l’Afrique viendra d’elle-même. Trop de compromis et de compromissions finiront par nous tuer.
Nous devons aussi restituer toute l’histoire africaine bafouée par l’homme blanc, qui se croit perpétuellement l’éternel être humain, invincible, immortel, qu’il n’est jamais, alors qu’il a crée lui-même toutes les violences et qui essaie de retourner la situation à sa propre faveur. Notre propre histoire doit être réécrite par nous-mêmes, sans attendre l’aval de qui que ce soit. Qui a crée l’esclavage, l’apartheid, les guerres, la colonisation, le travail forcé, les brimades, les plus atroces que l’humanité n’ait jamais connus jusqu’ici ? Nous avons toutes les richesses et les réserves mondiales les plus importantes et pourtant, nous sommes les plus pauvres et les plus arriérés en matière de santé ou de technologies.
Face à la corpulence divine du noir le plus intelligent,, sacré, aux génies exceptionnels, inégalés, inégalables, dans son corps et son esprit, rien absolument ne lui résiste. Alors, le blanc, filou, invente l’entrée des armes pour dominer le monde. Désormais, la bataille se gagne par les armes et non point par le corps à corps. Face au corps et à corps du noir avec n’importe qui, la question sans appel est indiscutable.
Voilà l’expropriation éhontée, historique, dont sont victimes, aujourd’hui, les africains, qui sont pourtant, les seuls initiateurs de toutes les civilisations au moment où l’Europe n’existait pas encore, où, alors, quand elle a existé, elle versa dans la barbarie la plus totale, parce que la race n’est rien d’autre qu’une notion géographique, car l’homme blanc n’est devenu comme tel le jour où il a commencé à s’acclimater sous d’autre latitude glacière, en perdant sa mélanine.
En vérité, le colonialisme a forgé dans la conscience du subconscient africain à douter de lui-même.
Le discours Euro centriste a dépeint l’homme noir comme un être prélogique, l’homme noir est dépossédé de sa substance sur des bases exclusivement racistes, mais quand il rentre en possession de lui-même, de ses capacités intellectuelles, intrinsèques, il est un créateur hors pair que rien n’arrête. La beauté exceptionnelle noire, surtout celle du corps de la femme noire, sa finesse, son intelligence innée, sa sensibilité, sa grâce saisissante, éblouissante, sublimable, la fertilité de l’esprit de l’homme noir, tant dans l’art que les sciences, les plus compliquées, confirment que ces créatures hors du commun, possèdent autant de qualités indiscutables que n’importe quelle autre race de la planète.
Qu’il s’agisse des Etats-Unis, de l'Europe, la plupart des combattants sont des noirs coriaces au courage inébranlable. On leur donne nécessairement des moyens illimités avec des armes redoutables très sophistiquées, dernier cri. Voilà le patriotisme qu’il faudrait à l’Afrique pour se libérer des griffes du colonialisme offensant, dégradant.
Cheikh Anta Diop, est le libérateur des esprits domptés, ghettoïsés, l’ouragan qui a balayé le paradigme condescendant de l’occident et les larbins connus de l’establishment- que sont ces pseudos intellectuels « blancs » à peau noirs-les doungourous-des camériers manipulés, agenouillés, aliénés, et parfaitement moulés à la carapace blanche, ne jurant que par la tête du blanc, faussement supérieur, dégradant et au nom d’une civilisation fondée des dissimulations et des coups bas.
Aussi paradoxal que cela puisse paraître, plus de cinquante cinq ans après les indépendances de la dépendance des colonies françaises, toutes plus massives,  les pillages organisés à l’échelle continentale continuent. Au fond, rien n’a changé, seulement les méthodes sont édulcorées pour mieux camoufler les mêmes objectifs d’hier, c'est-à-dire l’asservissement permanent des noirs aussi longtemps que l’humanité existera. La cupidité de l’homme blanc, humanitariste, sans limite peut le conduire à faire n’importe quoi pour assouvir et arriver à ses fins politiques, fussent-elles moribondes et quel qu’en soit le prix à payer.
Nous ne devons rien attendre de l’Europe qui a colonisé, exploité, asservi l’Afrique pendant au moins cinq siècles, durant lesquels elle s’est bien enrichie pour faire sa révolution industrielle, en créant ses banques, ses paradis fiscaux, ne nous aidera jamais, ne nous faisons pas d’illusions ; on ne peut accorder le moindre crédit à l’idée d’une amitié avec l’Afrique. C’est un non sens. Adhérer à de telles thèses est une chimère, des âneries à couper le souffle. Ceux qui y croient dur comme fer pataugent dans l’utopie totale, puisqu’il n’y a aucune vérité historique des écrits européens sur l’Afrique.
Pour cela, la France ravagée par le nazisme, avait besoin de redresser son économie pillée par les ratonnades et mettre sur pied des industries lourdes, financées en partie par le plan Marshall, dont beaucoup d’autres pays européens avaient massivement bénéficié, au lendemain d’une guerre meurtrière.
Ainsi, pour la France, qui voulut garder son hégémonie, il était nécessaire de développer l’énergie nucléaire pour renforcer sa puissance économique sur ses anciennes colonies nouvellement « indépendantes ». L’uranium coule à flot au Niger. Face à la conjoncture internationale, la France dévastée militairement, agenouillée, n’avait d’autre choix que d’octroyer des indépendances de pacotille. Alors, il devenait absolument indispensable d’installer des régimes fantoches bâillonnés pour récupérer cette ressource vitale pour ses industries lourdes. Le monde occidental n’est pas une panacée, encore moins un modèle par rapport à notre ancienne organisation sociale.
C’est cela qui résulte incontestablement du retard considérable et d’un manque cruel de leaders charismatiques, emblématiques, patriotiques, allaités de la fibre d’honneur, préfèrent bassement baisser les culottes, puisque le continent est pris en otage par des collaborationnistes mesquins, qui ne travaillent que pour faire plaisir aux puissances colonialistes, au nom d’accords bidon, pour saper et bâillonner durablement les indépendances formelles, et en échange des services rendus. Ces maîtres de la démocratie mondialiste de l’arbitraire et de la tyrannie, malgré les apparences affichées, n’ont que des intérêts, mais ne défendent jamais un quelconque droit de l’Homme.
Pour les besoins du service, des traitres égoïstes, phagocytés et formatés à l’école du fascisme, se transforment en félons endurcis, irrécupérables, pullulent partout en Afrique et à tout vent, faisant florès, se mettent docilement sur le piano atlantiste, comme étant des figures de proue de la référence médiocre, empêchent nécessairement la justice sociale, le progrès et la démocratie.
C’est ça qui crée un obstacle et plombe le développement africain à l’échelle continentale, paradoxalement considéré comme l’avenir du monde. Mais le jour où l’Afrique se réveillera de sa torpeur, le peuple africain marquera l’histoire indélébile une fois de plus, tant qu’il aura compris le sens de la liberté, ce même peuple africain endormi, aujourd’hui embrigadé, prendra conscience de sa force réelle et de son propre destin, saura défendre ses propres intérêts par tous les moyens, à l’échelle continentale africaine, sortira de la pénombre dégradante de l’esclavagisme de ses bourreaux, pour inverser le cours de l’histoire.
En attendant, l’Afrique est par essence, la terre, la tanière, le réservoir, la pépinière et le repaire et le far west des bandits maçonniques encapuchonnés en bande organisée, ne visent qu’à assujettir, avilir, piller les ressources naturelles, pour asservir à jamais les populations constamment prises pour des moutons tondus. L’Afrique reste le ciel ouvert de l’obscurité tropicale, tendant à endormir éternellement tout un peuple corvéable à merci, manipulable et malléable, massivement prisonnier, raboté, qui n’a d’existence que pour n’être que l’esclave, le serviteur dompté, docile indéfectible, bien dressé sous la coupole réglée des guignols corporatistes, aux velléités hégémoniques ethniques, visiblement palpables sur le terrain du crime. Il faut le voir pour le croire. Ce n’est pas de la science fiction, puisque la réalité dépasse même l’esprit rationnel.
Pour parler vrai et au risque d’être loufoque au nom d’un surréalisme décapant, jusqu’à la lie, on ne peut guère bâtir ou développer nos pays respectivement gouvernés par des traîtres pitoyables et aux âmes médiocres, lesquelles sont en totale putréfaction avec leurs prouesses, substantiellement conformes à leur bassesse. La plupart des prétendues élites africaines sont des minables vassaux nègres de service et leur immoralité patente ne souffre d’aucune discussion possible, elles n’ont ni abnégation, ni patriotisme, ni civisme, ni vertu, ni nationalisme, d’aucune sorte, tant leur abondance médiocre, laisse apparaître nettement de piètres faquins plus riches que crésus, se transforment en service commandé de caniveau. Le corporatisme clanique, ethnique, l’utilisation de la force publique, le favoritisme, les détournements massifs des deniers publics, placés dans les paradis fiscaux, qu’elles partagent ostensiblement avec leurs propres familles boulimiques, immédiates, entre autres, amis, collaborateurs, courtisans, restent la seule clé de voûte, qu’elles considèrent comme étant la seule éthique des contradictions politiques.

La Conscience patriotique pour le changement réel, radical-CPC- XAM SA REW - BËG SA REW - JARIÑ SA REW, qui est et le moteur et la locomotive des esprits libres, s’insurge contre l’état- apr de la terreur de Macky Sall et son régime bancal, fasciste, tyrannique, despotique, dont les méthodes staliniennes, décriées, repoussantes, sont pires que celles de la Stasi, doivent cesser rapidement, au risque que nous soyons, désormais, à petits feux ses propres sujets, dociles, modulables, crevables, corvéables et à merci

La Conscience patriotique pour le changement réel, radical-CPC- XAM SA REW - BËG SA REW - JARIÑ SA REW ne supporte plus les agissements extravagants d’énergumènes, démasqués, détestables, déchainés, d’une bande d’illuminés, euphoriques d’un pouvoir calamiteux, le plus lamentable d’un régime le plus scandaleux de toute l’histoire de ce pays, qui perd ses marques, sa civilisation

et ses valeurs démocratiques d’antan, très remarquables.

La Conscience patriotique pour le changement réel, radical au Sénégal-CPC- XAM SA REW - BËG SA REW - JARIÑ SA REW, propose dés maintenant, une véritable alternative des sentinelles patriotiques à l’endroit contre l’envers du décor, représenté par la personne de Macky Sall, qui est  lui-même, très riche étrangement et sa bande de la soldatesque ss Waffen.

Macky  SALL,  candidat présidentiel,  non merci ! Un mandat, c’est déjà trop ! Il faut le virer à tout prix avant même  2017. Pas question d’un deuxième, c’est niet !

La récréation est terminée. Finies donc les prolongations de la période de grâce ! Il doit subir i la même défenestration que son idole, symbole du clinquant. Nous avons déchanté et les désillusions seront aussi fortes, si elles ne sont pas plus graves que les lendemains de l’alternance de mars 2000. Les masques tombent peu à peu à mesure que les jours et les mois passent. Les langues se délient pour démanteler admirablement la supercherie grotesque, en réalité, rancunière : « sobriété d’une bonne gouvernance vertueuse ». Sobriété d’une bonne gouvernance vertueuse ou transparence d’un népotisme comme système de gouvernance ?
« Boudara sed »-point de répit, ni de dialogue, tout doit être chaud jusqu’à la suppression totale de l’estampille néfaste qu’est cette caste de pestiférés au cœur de « l’état apérisé ». Un président de la république n’étant pas un monarque de droit divin, doit être sous pression pour répondre à l’attente de ses concitoyens qui l’ont élu à défaut et pour cause d’étourderie généralisée.
Assez de tartufferie et des histoires carambouilleuses à dormir debout ! Veni vidi vici ! L’esbroufe en spectacle ne doit plus servir de levier d’un pouvoir qui n’est jamais ce qu’il prétend être. Rien que du vent, car les annonces ne suivent pas encore les actions sur le terrain.
L’homme des galéjades qu’on a élu en mars  2012 contre son maître ne l’a été qu’à défaut et par dépit, il promet plus qu’il n’en fait en réalité. Les sénégalais sont déçus de plus en plus. Le présumé messie est pris la main dans le sac au grand jour. Chassez le naturel, il revient toujours au galop. 250 4X4 aux parlementaires très boulimiques des sinécures de la république. 10 millions à chacun des ministres minables, non patriotiques. L’ère Macky est celle d’une wadésie bis bien maquillée.
Maintenant, il nous faut à tout prix mettre à la tête de ce pays des véritables sentinelles libres, patriotiques, nationalistes à l’endroit même contre l’envers du décor, quoique cela puisse nous coûter.
Ahmadou Diop,  CPC
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