Depuis le regrettable soir du
25 mars 2012 sévissent l’intoxication, l’éternelle campagne électorale
permanente, déloyale, désinformations, manipulations déformations et
provocations surannées d’un négationniste, ségrégationniste, ethniciste sur le
terrain des crimes d’état, sempiternels devant l’éternel.
Qu’est ce qu’un régime
négationniste ?
C’est un régime autoritaire,
totalitaire, qui tue, musèle toute voix discordante des opinions libres, sans
qu’il ait besoin de justifier les crimes, qu’il a commis contre tout citoyen
libre n’acceptant pas son idéologie.
Lorsque dans un pays, une
minorité de traitres domine, il va sans dire sans que le manque de patriotisme
et de civisme chronique, constituent à n’en pas douter, les causes directes de
nos éternelles déconvenues crescendo.
Ce qui est pire et loufoque
dans la crise universitaire, c’est lorsque la presse traitresse égoïste, embrigadée,
matelassée, cartonnée par ses pantalonnades, n’échappe plus à personne, sert le
lit d’un escroc notoire.
Lequel tente d’absoudre le
crime d’état dans le lieu même du crime, il y’a seulement un an, à savoir
l’assassinat de Bassirou Faye et ses camarades lâchement arrosés à coups de
balles réelles, pour interdire toute manifestation légale, autorisée par la
constitution.
Un tel régime excelle,
labellise les pillages des ressources inaliénables du Sénégal, dont Macky Sall
est le seul responsable, blanchit pour se faire réélire bassement sur l’autel
de ses menteries inflationnistes, impossibles à compter.
En vérité, ce brouhaha cache les
charrettes d’inepties avec ses scandales de forfaitures, insurmontables,
incommensurables de la part d’un régime déshonorant, confisque la démocratie
par sa soldatesque d’auxiliaires de service, convertis en sales cuillères.
La justice sénégalaise aux ordres,
qui semble être le bras armé du totalitarisme et la presse de la sarabande de
service, toujours au garde à vous, sont comptables devant l’histoire par leur
abdication manifeste.
Qu’on le veuille ou non, en
lieu et place d’un président de la république, normal, les sénégalais ont élu
par leur étourderie généralisée, un gourou, un câble de la françafrique, un
corrompu jusqu’à la moelle, le chef dénommé de la mafia corporatiste,
ethnocentrique de la pieuvre apérisée, coalisée en entreprise de malfaiteurs,
notoirement terroristes, déclarés, non éclairés, ne s’encombrent d’aucune
parcelle, encore moins de moralité visible.
Plan funeste du Mollah Macky
Sall, terroriste : le guide népotique des scandales imprescriptibles. Au nom de la traque des biens
mal acquis qu’il dirige en réalité à distance depuis le palais « alpularisé »,
par mimétisme au maccarthysme, « le mackyethnicisme » fait aussi la chasse aux
sorcières à tous ceux qui ne veulent pas se mouiller ou se mouler dans la secte
ou la loge apr.
Pour être l’alter ego du régime
fasciste de Benito Mussolini, qui avait sa milice nommée les «Chemises noires»,
« le mackyethnicisme » crée lui sa milice des tontons macoutes, maquillée
agence de sécurité de proximité, baptisée sous l’acronyme ASP. L’agent de sécurité
de proximité abat par balle, le 24 juillet 2015, Matar Ndiaye. Un an avant,
Bassirou Faye est assassiné à balles réelles à L’UCAD en blessant d’autres
étudiants, devenus depuis des infirmes.
La deuxième guerre mondiale a
ruiné matériellement et sur le plan moral, ceux qui l’ont créée de toute pièce
par leur gourmandise. .
Il fallait donc créer
nécessairement une autre stratégie, puisque la conjoncture internationale ne
permettait plus aux puissances coloniales de dominer le monde sous de faux
postulats. Pour cela, l’ONU, qui est un organisme international, composé
essentiellement de 5 membres permanents ont droit de véto lutter pour la paix.
En réalité, c’est un
conglomérat des éternels oppresseurs, vainqueurs contre les éternels vaincus,
c’est à dire les opprimés, n’a d’autre fin qu’à perpétuer la domination
coloniale au nom d’une subtilité alambiquée pour prolonger ce qu’il est convenu
d’appeler le nouvel ordre mondial de l’expansionnisme tempéré.
La politique étant une ruse, un
art, il fallut développer un concept nouveau , qui devient obligatoire,
c’est-à-dire créer des guerres partout, pour détruire, reconstruire, en mettant
les uns contre les autres, de façon à diviser, cliver les populations et piller
à la fois les nouveaux pays indépendants par les mécanismes habilement pensés :
pyromanes et pompiers. C’est ainsi qu’est né le fameux terme de terrorisme.
A peine donc qu’il a été élu en
2012, le désertique, l’étrange multimilliardaire, dont l’antipatriotisme
déclaré, n’échappe plus à personne, commande faussement quatre hélicoptères
pour la lutte contre le terrorisme.
Prêcher le faux pour avoir le
vrai. C’est rentable et pratique. Seul le résultat escompté politique compte,
quitte même à mentir.
Point d’éthique, ni équité.
Contrairement aux idées reçues, il sait dans son for intérieur que la majorité
des sénégalais, qui l’ont élu à défaut et par dépit dans des conditions
totalement exceptionnelles, inédites, ne comprennent rien de la chose publique
et surtout en matière de géostratégie politique. Il en est parfaitement
conscient. Ceux qui l’ont conseillé sont de haut niveau.
Autrement dit, le faussaire
fait un appel du pied et donne des gages et renvoie l’ascenseur à ses sponsors,
invisibles, mais visibles qui l’avaient aidé pendant sa campagne électorale
surréaliste.
L’incapable notoire de classe
exceptionnelle, l’inimitable maître des coups tordus, est toujours arrimé sur
le piano américano-français pour sa servilité, a prêté allégeance à ses
propriétaire du coté bitim rewmi, se décharge peu à peu savamment, se défausse
habilement de ses promesses électorales, se met aimablement sur la musique
rituelle internationale, l’éternel thème fétiche, favori du terrorisme pour
détourner les consciences sénégalaises.
Le Satan mollah Macky cherche
sciemment le bordel dans ce pays pour créer les conditions obligatoires d’une
instabilité, politique tendant à ne pas pouvoir faire faussement la tenue des
élections présidentielles à date échue, en 2017.
Les signes avant-coureurs
persistent et sont visibles de plus en plus. Son aura s’est effilochée
lourdement, telle une peau de chagrin. Il en est conscient depuis qu’il s’est
écarté des raisons pour lesquelles il a été élu. En partie, c’est l’une des
stratégies politiques de bas étage. Il sait qu’il est impopulaire. Il est
convaincu que si le calendrier républicain est respecté, il perdra le pouvoir.
C’est pourquoi, il fait de la
surenchère pour semer la zizanie, qui consiste à arrêter des étudiants qu’on
accuse d’atteinte à la sureté de l’état. Une telle attitude est dangereuse. On
peut même se demander s’il n’a pas reçu des conseils venus d’ailleurs.
Les arrestations massives
d’étudiants, présumés passibles à la cour d’assises, suite aux jets de pierres
prenant une tournure politique constitue, ce que l’on peut appeler le plan
diabolique scandaleux d’un monstre incapable de respecter ses promesses électorales,
orbi et urbi, tient à se sucrer sur le terrorisme imaginaire pour y trouver une
décharge nécessaire et une bouée de sauvetage pour compenser son étourderie et
ses forfaitures à couper le souffle.
Parlons donc des deux affaires
qui éclaboussent la république bananière : Arcelor-MITTAL-PETROTIM Sénégal SA.
Deux scandales d’état imprescriptibles parmi tant d’autres passés sous silence.
D’après une certaine presse
bien informée, Arcelor-Mittal : compensations dérisoires. En septembre, Arcelor
Mittal a déboursé 150 Millions dollars [72, 2 milliards F CFA] pour régler le
litige. Une somme aussitôt transférée via deux virements distincts [140
millions de dollars et 10 millions de dollars à l’agence parisienne BNP Paribas
sur le compte de l’avocat de Macky Sall, qui est aussi celui de l’état du
Sénégal. alors que le bureau d’étude confiée à GUSTASON avait évalué à 5
milliards de dollars le montant des réparations dues au Sénégal.
D’autre part, le pétrole
découvert aux larges des cotes du Sénégal nous laisse pantois : La société américaine détient
60 %, 10% pour l’Etat du Sénégal, le propre frère de Macky, Aliou Sall, maire
élu des combines, détient 30% du pétrole de l’état sénégalais. C’est un vol. Il
n’y a ni plus ni moins. Macky Sall a l’obligation de s’expliquer sur toutes ces
histoires totalement carambouilleuses.
Bouche et motus cousue sur la
question pendant que l’on se focalise exclusivement sur des broutilles, des
jets de pierres organisées pour victimiser Macky Sall. Cela constitue un des
éléments clés pour que Macky ourdisse un plan savamment diabolique à la seule
fin de croire pouvoir s’éterniser au pouvoir et échapper, ainsi, à la justice
et sauver par ricochet, sa famille immédiate, pressureuse, comme il en existe
chez les dictateurs nègres de service.
En vérité, les subterfuges,
organisés à la pelle par le pouvoir totalitaire à l’épreuve des faits, enfreint
les libertés fondamentales, individuelles, agresse constamment, tue la vérité à
petit feu la démocratie, arrête à tout vent toute personne, sous le fallacieux
prétexte de vouloir déstabiliser les instituions et atteinte à la sureté de
l’état. Cela ne se repose sur aucun postulat réel.
Pour dire la vérité, rien que
la vérité, les scandales financiers grossiers sous Macky Sall sont les plus
effroyables de toute l’histoire politico-financière du Sénégal. Les jets de
pierres ne sont rien d’autre qu’un alibi pour faire taire toute voix
discordante des opinions libres.
Le comble du comble, une armée
de bouffons opportunistes serviles, corporatistes, convertis en vulgaires
pantins de caniveau monopolisent, envahissent et prennent en otage tous les
plateaux de télévision en abreuvant d’insultes permanentes ceux qui se dressent
la tète haute contre celui qui est niché derrière les grilles d’un palais des féticheurs.
Ahmadou Diop
CPC
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