mardi 18 août 2015

Chronique : lâcheté de l’Etat-APR, tortionnaire, victimaire des leurres ? Par Ahmadou Diop CPC


Lâcheté de l’Etat-APR, le parti au pouvoir, tortionnaire, gouverne par son indignité manifeste, trahit, guillotine totalement la démocratie et interdit toutes les libertés fondamentales collectives, individuelles. Sa police qui a la gâchette la facile, continue de commettre des bavures sans qu’il y’ ait nécessairement des coupables désignés.
Ce régime de foutoir n’est jamais coupable, mais s’érige constamment victimaire des leurres. Autrement dit, comme tout régime fasciste, les mêmes victimes demeurent toujours les éternelles coupables, à contrario, les vrais délinquants qui ont commis des crimes économiques, physiques passent pour être des victimes éternelles devant l’éternel. Pour ce régime fasciste, qui n’est responsable de rien, car il impute les infiltrations à l’opposition. C’est la règle érigée en système de gouvernance autoritaire comme il en existe en Afrique des dictateurs.
Les despotes organisent les conditions obligatoires d’une instabilité politique auprès de ses bailleurs, situés outre atlantique, qui sont considérés comme des faiseurs d’opinions sous la baguette magique de leur presse étrangère, propagandiste jusqu’à la lie.
Pire encore, ils font en sorte que la sarabande farandole achetable s’y associe nécessairement et valide l’escroquerie.
Encore une fausse alerte à la bombe : l’enquête suit son cours, comme tout pouvoir d’Etat totalitaire, le régime fasciste de Macky Sall, organise savamment ses mensonges d’Etat crées de toute pièce pour se dédouaner de ses menteries inflationnistes. Celui qui fait une fausse alerte à la bombe, prépare encore en toute logique, un crime d’Etat, sera donc le seul coupable devant l’histoire.
Une chose est sûre : Macky Sall installe à petit feu la république familiale et ses diables d’ouailles pétainistes de rats ethniques corporatistes naturellement sans éthique, ni équité.
On se rappelle du plus vaste hold -up électoral lors des municipales de pacotille en 2014 pendant lesquelles le beau – frère du président de la république, en l’occurrence, Mansour Faye, est élu maire de St Louis et ministre de l’hydraulique de l’assainissement par un dispositif policier, disproportionné sécuritaire, exceptionnel, sous l’état de siège.
Cerise sur le gâteau, Aliou Sall s’arroge lui aussi à la fois et maire de Guédiawaye par des combines politiques et président des maires du Sénégal, et maintenant, banquier. Pour ne rien arranger l’étudiant Bassirou Faye a été assassiné lâchement à coups de balles réelles, mais Macky parlait déjà à l’époque, d’infiltrations. Qui vole un œuf, volera donc un bœuf. On s’attend à tout sous l’ère Macky Sall.
Tout pouvoir abusif, pour être charismatique, musèle la presse, est totalitaire, par définition. C’est ma conviction.
Si vous désirez la sympathie des masses, vous devez leur dire les choses les plus stupides et les plus crues, disait Hitler. C’est exactement ce que met en musique Maky Sall, « Charlie ou l’affairiste Pétain Noir » en chair et en os, le maquilleur, le moteur débridé de L’Etat-APR, le gourou de classe exceptionnelle du népotisme et la gestion gabégique.
Sa presse de servitude, matelassée totalement corrompue, prend cause et fait du totalitarisme ambiant, en échange des services bien rendus.
L’escobarderie de la mal gouvernance labellisée devient une norme établie. Où est donc la rupture sobre, vertueuse, efficiente, transparence ? Sous l’ère Macky Sall, on légalise ce que l’on dénonçait hier. Où est l’état de droit, dans tout cela, lorsque le président de la république envoie ses auxiliaires de service tenus en laisse, interdisent toutes manifestations légales, autorisées par la constitution ?
L’effraction par l’entrisme d’une certaine classe politique prouve éloquemment qu’elle ne dispose guère d’aucune vision politique, encore moins de patriotisme avéré. Les vieilles recettes décriées reviennent en surface.
Lâcheté de l’Etat-APR, le parti au pouvoir, tortionnaire, gouverne par son indignité manifeste, trahit, guillotine totalement la démocratie et interdit toutes les libertés fondamentales collectives, individuelles. Sa police qui a la gâchette la facile, continue de commettre des bavures sans qu’il y’ ait nécessairement des coupables désignés.
Ce régime de foutoir n’est jamais coupable, mais s’érige constamment victimaire des leurres.
Autrement dit, comme tout régime fasciste, les mêmes victimes demeurent toujours les éternelles coupables, à contrario, les vrais délinquants qui ont commis des crimes économiques, physiques passent pour être des victimes éternelles devant l’éternel. Pour ce régime fasciste, qui n’est responsable de rien, car il impute les infiltrations à l’opposition.
C’est la règle érigée en système de gouvernance autoritaire comme il en existe en Afrique des dictateurs. Les despotes organisent les conditions obligatoires d’une instabilité politique auprès de ses bailleurs, situés outre atlantique, qui sont considérés comme des faiseurs d’opinions sous la baguette magique de leur presse étrangère, propagandiste jusqu’à la lie.
Pire encore, ils font en sorte que la sarabande farandole achetable s’y associe nécessairement et valide l’escroquerie.
Encore une fausse alerte à la bombe : l’enquête suit son cours, comme tout pouvoir d’Etat totalitaire, le régime fasciste de Macky Sall, organise savamment ses mensonges d’Etat crées de toute pièce pour se dédouaner de ses menteries inflationnistes. Celui qui fait une fausse alerte à la bombe, prépare encore en toute logique, un crime d’Etat, sera donc le seul coupable devant l’histoire.
Une chose est sûre : Macky Sall installe à petit feu la république familiale et ses diables d’ouailles pétainistes de rats ethniques corporatistes naturellement sans éthique, ni équité.
On se rappelle du plus vaste hold -up électoral lors des municipales de pacotille en 2014 pendant lesquelles le beau – frère du président de la république, en l’occurrence, Mansour Faye, est élu maire de St Louis et ministre de l’hydraulique de l’assainissement par un dispositif policier, disproportionné sécuritaire, exceptionnel, sous l’état de siège.
Cerise sur le gâteau, Aliou Sall s’arroge lui aussi à la fois et maire de Guédiawaye par des combines politiques et président des maires du Sénégal, et maintenant, banquier. Pour ne rien arranger l’étudiant Bassirou Faye a été assassiné lâchement à coups de balles réelles, mais Macky parlait déjà à l’époque, d’infiltrations. Qui vole un œuf, volera donc un bœuf. On s’attend à tout sous l’ère Macky Sall.
Tout pouvoir abusif, pour être charismatique, musèle la presse, est totalitaire, par définition. C’est ma conviction.
Si vous désirez la sympathie des masses, vous devez leur dire les choses les plus stupides et les plus crues, disait Hitler. C’est exactement ce que met en musique Maky Sall, « Charlie ou l’affairiste Pétain Noir » en chair et en os, le maquilleur, le moteur débridé de L’Etat-APR, le gourou de classe exceptionnelle du népotisme et la gestion gabégique.
Le scandale de la Société Pétro-Tim Sénégal S.A créée par le propre frère de Macky Sall passe comme une lettre à la poste. Et l’affaire scabreuse « Sallgate » continue de défrayer la chronique ? On continue à nous rouler dans la farine. Le ménage doit nécessairement commencer par soi-même, n’est-ce pas Monsieur le président de la République ? Voila la lâcheté de l’Etat-APR., tortionnaire, victimaire des leurres !
Manipulation, désinformation, chantage, abus de pouvoir. Affabulation qu’on tient à blanchir en vérités éternelles, leurs propres vérités devant l’éternel.
L’arrogance de l’état -APR et sa suffisance populiste, propagandiste, apparentée clanique, s’autorise tout, pour se tirer d’affaire et se servir du miel des jeux politiques peu orthodoxes ? L’APR. roule à contre sens de l’histoire par son immobilisme et son incurie peu honorables, par son manque d’intuition politique sur les réformes nécessairement constitutionnelles, mais aussi, son insolence ostentatoire repoussante à plus d’un titre, comme si l’éloquence de l’étourderie manifeste, sur fond de diversion permanente, régente l’autoritarisme des interdictions tout azimut à coup de poing, au prétexte de menaces à l’ordre public, tendant à confisquer durablement la démocratie
Reparlons encore de Djibo Leyti Kâ, l’homme des stratégies bancales antipatriotiques ! Les gouvernements changent, mais rien ne change et tout continue en pis. Les mêmes méthodes indignes, biscornues sévissent dans le ciel obscurci sénégalais des partis politiques.
Djibo Leyti Kâ déclare ceci à l’opposition, nous le citons: « Je viens vous annoncer que j’ai reçu mandat de mon parti pour aller discuter… »
Dans notre pays, les chefs de partis politiques confisquent la démocratie et redussent leurs écuries comme étant exclusivement des biens personnels. Et Djibo Leyti Kâ, l’éternelle girouette, qui ne fait pas exception à la règle, atterrit donc à l’écurie, incurieuse du cheval marron beige. , apocalyptique.
Dans le paysage politique singulier sénégalais atypique, l’habileté du transvasement et l’entrisme des pirouettes décousues des mensonges organisés et des convulsions hystériques, deviennent la seule religion des chefs de partis politiques, transformés en rats.
Un rappel : sous le prétexte fallacieux de ce qu’il appelait l’agenda des urgences et des réformes pour justifier son choix ou son entrée dans le gouvernement libéral d’Abdoulaye wade, Djibo Leyti Kâ, en 2004, est nommé ministre de l’Économie maritime par le président Abdoulaye Wade, le lendemain de la fameuse rencontre avec la délégation du pds et l’URD, le 12 avri
l 2004.
Le 5 juillet 2007, il devient ministre d’État, ministre de l’Environnement, de la Protection de la Nature, des Bassins de rétention et des Lacs artificiels dans le gouvernement de Cheikh Hadjibou Soumaré.
Autrement dit, la trahison est devenue source de promotion sociale indue dans ce pays étrange et à la renverse.
Aujourd’hui, le même Djibo Leyti Kâ utilise les mêmes paramètres irrigables pour se loger dans les valises de l’APR ou l’arrogance de l’alliance pestilentielle des rancunes et des rapines.
En vérité, Djibo Leyti Kâ officialise à petit feu son entrisme à la machine toxique, quitte donc le bateau de l’opposition. Une inélégance qui prend les relents opportunistes aux apparences de reniements et de renoncements, pendant que le chef des délinquants de la république du corporatisme ethnique, emprisonne à tour de bras toute opposition réelle, potentielle, supposée dans un état de droit, revient peu à peu de ses propres paroles dédites, en particulier, la réduction de son mandat présidentiel de 7 à 5 ans, s’arroge impunément victimaire des oripeaux.

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