Qu’on le veuille ou non, la majorité des
politicards sénégalais, attardés mentalement ; qui ont d’autres
nationalités, ne sont en réalité que des aliénés ? voilà une
singulière exceptionnelle africaine à l’échelle continentale des élites
dociles nègres de service des 14 pays assujettis, tous tenus d’une main de fer,
se précipitent à signer la tête baissée des prétendus accords de défense
avec l’ancienne puissance coloniale, toute-puissante et plus que présente
sur le terrain du crime et qui imprime sa marque.
Il va de soi que toute
l’Afrique des richesses immenses et des larbins recule
affreusement, pendant que la Chine de MAO, qui a opéré par son courage,
sa révolution culturelle politique en masse à la face du
monde et les Brics tous sont des états souverains,
indépendants, libres dans les bien faits, avancent à pas de
géant sur les tous plans et obtiennent tous des résultats escomptés,
compte tenu de leurs réflexes nationalistes à hauteur teneur.
Cependant, hélas, l’Afrique à la traîne, baptisée
indignement francophone par la sarabande des lâches despotes,
incorrigibles et la France, c’est le rapport de force prime entre
oppresseur, opprimés, c’est à dire dominateur et dominés, esclavagiste et
esclaves, dans une moindre mesure, pour dire la vérité.
Il est incontestablement établi que tous les pays
qui se sont développés, économiquement, politiquement, culturellement et
militairement, ont utilisé tous, exclusivement leurs propres langues comme
supports linguistiques, médiatiques. La performance serait de moindre qualité
s’ils avaient emprunté d’autres expressions étrangères.
A ce prisme, le wolof, unificateur, est la langue
la plus parlée au Sénégal, pourrait servir de support officiel.
C’est un problème politique qui est lié à la
constitution étrange du Sénégal, laquelle est articulée à la francophonie.
C’est un choix délibérément politique et pour cause.
Le blanc a compris depuis fort longtemps
que pour diviser un peuple, il faut absolument le fragiliser, le
dompter, le dominer, le faire douter de lui-même, en désagrégeant
sa société et corrompre, formater ses élites et couper le cordon ombilical qui
le lie avec le peuple, afin de le rendre stérile et inefficace, pour qu’il
fasse table rase avec son passé. Aucun peuple ne peut se développer,
s’épanouir réellement sans la prise en compte de ses traditions
spécifiques et sa culture qui constituent le ciment historique.
Conséquences de l’aliénation culturelle des
Décrets des Quatre Communes au Sénégal et la création des
Tirailleurs Sénégalais par Faidherbe à nos jours
Avant la pénétration coloniale,
l’organisation des sociétés africaines était supérieure ou analogues à
celle de l’Europe, avec preuves à l’appui, disait l’homme d’honneur,
cheikh Anta Diop, la référence par excellence de l’homme africain, voire
même mondial, l’égyptologue, scientifique hors-pair le coriace, le plus
tenace par son mental éloquemment fertile.
Pour la première au Sénégal, l’incongruité
coloniale instaure un système de la division dans la laquelle
deux citoyens d’un agrégat d’hommes et de femmes sont aux antipodes, qui
partagent le même pays et ayant en commun la même culture et la même
histoire, se distinguent et s’opposent paradoxalement de façon
irréversible : le premier peut hypothéquer
factuellement son prénom « classé indigène », en le
francisant devient ipso facto citoyen français,
tandis que le second , dans son propre pays ne valant t rien,
est réduit au néant. S’agit-il donc d’une mission
civilisatrice ou avilissante ? La réponse se passe de commentaires sans
aucune ambigüité.
Les Quatre Communes sont : Saint-Louis,
Gorée par un décret du 10 août 1872. La Commune fut la troisième en 12
juin 1880 Rufisque, puis Dakar par décret le, 17 juin 1887
Blaise Diagne, assimilationniste notoire, élevé
par la Galaye MBaye Diagne est très tôt adopté par la famille Crespin, une
famille métisse, chrétienne
Quel est l’impact de Blaise Diagne sur les
consciences sénégalaises ? L’aéroport en construction porte son nom. Et
Omar blondin, qui a été assassiné par Senghor sur l’autel de son
engagement politique passe inaperçu.
Les autorités coloniales en accord avec lat
dior, décidèrent alors la construction du chemin de fer Dakar S
louis en 1879, en échange du maintien du Damel du
Cayor. Sur les conseils de Khalima diakhaté kala, Lat Dior Ngoné
Latir Diop remit en cause la construction du chemin de fer en 1880.
Ce qui déclencha les hostilités de part et d’autre.
Macky sall, le tirailleur sénégalais, nomme
Sidiki kaba, le ministron de la justice siège à la CPI, le tribunal
suprémaciste blanc bon teint qui ne juge que les noirs, présumés
coupables de crimes contre l’humanité, alors que ceux qui se refugient
derrière les grilles de la démocratie mondialiste de l’arbitraire et de
la tyrannie ont les mains sales, utilisent des mécanismes colonialistes au nom
de l’ONU, échappent à la justice.
Lat dior ngoné latir Diop,- Diambar ju
Boumag bi, qui fut le symbole emblématique, où l’icône téméraire de
la résistance contre les envahisseurs, tomba sur le champ de l’honneur, les
armes à la main à Dékheulé, en 1886. Depuis lors à nos jours, le
Sénégal est plus jamais sous le joug colonial français, tant
sur le plan politique, militaire, culturel, économique que monétaire,
malgré l’indépendance l’apparence des élites serviles, marionnettes, tels des
moutons tondus, prennent le contrepied des nations émergentes, pour
sauver leurs sièges éjectables, accordent leurs violons, et
s’arrimant bassement à la trajectoire de ceux qui nous oppriment,
et pillent toutes nos ressources vitales, ce don de dieu.
La tournée économique du Président de la
République n’est point une campagne électorale déguisée Par Pr Demba SOW. Ce
type sait-il vraiment de quoi il ? Sait-il ce qu’est un intellectuel
? Connaît-il la signification de la politique ?
que valent les cavalcades ethniques de caniveau
et les simagrées d’un mercenaire- doungourou , affamé inculte encapsulé ?
Être professeur n’est nullement synonyme de
vérité, encore moins d’un intellectualisme. un intellectuel n’est pas un
ramassis de connaissances mécaniques, abstraites, au service du politique
incapable, mais plutôt, une personne intelligente, intègre, compétente,
humble, et rigoureux, dont l’activité repose essentiellement sur
l’exercice de l’intelligence par sa capacité, qui s’engage en toute conscience
avec discernement dans la sphère publique pour faire part de ses analyses, de
ses expériences sur les affaires de la cité.
Le véritable intellectuel est par
définition, l’expression du peuple, qui donne ses points de
vue sur les sujets les plus variés, où défendre des valeurs, et qui dispose
d’une forme d’autorité, par rapport à son intime conviction et parfois
quitte même, au péril de sa vie, et non certainement pas un cancre
servile, qui fait preuve d’incongruité abjecte.
Dans notre pays qui est déficitaire
politiquement, en apparence, le rhétoricien est perçu comme un serviteur,
un sauveur, un véritable savant crédible et intègre intellectuellement.
C’est une simple vue de l’esprit. C’est un mercenaire de service, à la
différence de l’intellectuel de pure souche. Il n’y a point de bons
communicateurs, il n’y a que des transmetteurs habiles. Ce sont des écrans de
fumée.
Notre dépendance est d’abord
culturelle avant d’être politique
Le blanc filou, détourne, biaise, maquille
délibérément, sciemment les faits de toute l’histoire
de l’Afrique se l’approprie, a compris que pour
dominer un peuple entier, le réduire au silence, au néant et
l’assujettir, il faut l’aliéner idéologiquement, l’avilir, le
diviser, mettre les uns contre les autres, en privilégiant
tous les complexés de naissance, de façon qu’il n’y ait plus d’entente
nationale, consensuelle, pour le rendre malléable et tout reste
suit machinalement dans la trappe. C’est efficace et pratique.
LE 4 avril 1960 : la célébration
de l’indépendance de la dépendance coloniale, met l’accent
sur le mercenaire politique Senghor, mais on oublie sciemment les
précurseurs historiques, les vrais pionniers.
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