mercredi 10 février 2016

Chronique : décryptage de la rupture « souillée » à la grande piraterie familiale des hors-la- loi. Par Ahmadou Diop CPC



Depuis le regrettable soir du 25 mars 2012, Macky Sall, s’est tranformé en  promoteur exceptionnel du népotisme et de la gestion gabégique,  détient exclusivement le record  absolu des  esclandres du siècle au Sénégal.
Macky Sall, qui est  le premier pickpocket,  a  bien cheminé ensemble  avec  le régime  d’Abdoulaye wade pendant 8 ans, reste  comptable de son  bilan,  n’a jamais souffert  de son magistère, ne peut bénficier d’aucune circonstance atténuante.  Au contraire il en a bien profité  pour  avoir été au  cœur de l’état, a bel et bien  bénéficié des milliards  de Francs CFA  qui ont assuré sa promotion sociale politique.  Dans  ces conditions, il est aussi coupable que ceux qu’il  accusse d’avoir  fait preuve d’enrichisements illicites. Soyons sérieux. ! Il est bien pire que tout le reste.  C’est un délinquant notoire  de premier plan. Rien absolument ne peut le dédouaner. Vouloir le disculper ou le couvrir, c’est faire preuve de contrevérités fumantes.
Contrairement aux idées reçues, la notabilité de celui qui nous dirige d’une main de fer,  cela  n’est qu’une simple vue de l’esprit. Un fonctionnaire si riche, quelque soit l’indice de son salaire, n’est pas synonyme de patriotisme, encore moins de fiscalisme nationaliste.
Pour dire la vérité, sa place n’est pas à la présidence de la république, mais son lieu d’habitation, c’est  à dire  la prison de Rebeuss,   devenue, maintenant,   le nouveau Guantanamo, qu’il érigé à son effigie.  Lui-même, sa femme Marième Faye, Aliou Sall,  tous doivent  être les voisions immédiats  de karim wade.
Qui peut compter ses voyages inutiles par  ses folies dépensières à l’extérieur et  au Sénégal ? Les nominations hystériques, décriées et aux orientations ethniques, biscournues, sans compter ses sorties  abrasives contre le pays  et l’islam, qu’il insulte en permanence, vont en pis.
En réalité, Macky Sall,  est en définitive,  l’éternel homme des  richesses étalées et  à dormir debout  par ses  scandales imprecriptibles, à n’en plus finir. Le  despote fraudeur, chevronné,  agit sans pudeur, ni vertu, ni scrupules,  n’est ni un redresseur des consciences, mais  ne s’encombre d’aucune espèce de décence, accède de façon inattendue au plus haut sommet de l’état policier.
 Malgré les  charivaris  torrentiels pour se donner piteusement une virginité imaginaire,  l’homme qui  nous dirige  d’une main de fer,   nous  donne la mesure  d’un état  en totale déliquescence, comme système  de gouvernance des pratiques douteuses, est passé maître de la délinquance  financière internationale.
L’homme, qui affichait une fidélité de façade  à son menteur Abdoulaye Wade, candide,  se cachait  en réalité, un agent encagoulé des lobbies puissants lobbies extérieurs,  aux vertus peu transparentes,  un menteur insoupçonné, redoutable, chapardeur dans l’âme jusqu’à l’abysse, est beaucoup plus dangereux qu’il n’y apparait.   Bref, une taupe taciturne, infiltrée dans la prairie bleue.
La première dame,  Marième Faye, exemplaire, élégante par sa simplicité, pieuse musulmane sénégalaise de pure souche, immortalisée par des caméras bienveillantes à son égard- mon œil ! Alors qu’elle ne dispose d’aucun poste officiel dans la république.  Elle  occupe l’ancien bureau de karim wade, sis au dixième étage de l’immeuble Tamaro, sous la couverture bidon de fondation « Servir le Sénégal », gérée par Daouada faye, responsable de la communication et des relations extérieures de la structure. D’où viennent donc ces mds de Francs CFA ?
 Le 20 avril 2012, M. Macky Sall, conformément aux dispositions de l'article 37 de la Constitution de la république du Sénégal, déclare sur l'honneur tous ses biens, estmés au rabais  à 9 milliards de Francs CFa.
Selon les déclarations de Lamine Diack aux enquêteurs français, des fonds russes auraient contribué en 2012 au financement de la campagne de Macky Sall contre le président sortant, Abdoulaye Wade.

Nonobstant les 400 millions de  dollars octroyés   par kosmos Energy  à Aliou Sall, le propre frère de Macky Sall,  le premier ministre-Bêuk Nek du  tyran, Macky Sall,  Mohamed dionne,  qui avait promis la livraison de deux puits  de pétrole  en  décembre 2015, qu’’il a  pourvus , sans  qu’il  en informe dans les régles de l’art,  lhémicycle  du Sénégal, selon le journaliste, Baba Aïdara .Ce qui est  surréaliste et scandaleux, c’est  que l’Assemblée Nationale,  tenue en laisse, cartellisée, s’est transformée servilement peu à peu  en  caisse de résonnance et d’enregistrement  pour  le désonneur du despote, n’a été jamais  saisie, ce qui équivaut donc  à  des manquements et des dysfonctionnements à répétitions de la part d’une gouvernance totalement pandémique, à l’abondance bancale jusqu’à la lie.
Depuis  presque  4 ans,  sévissent  sans discontinuer,  l’incurie,  les charrettes de  prévarications,  entre autres,  la gestion népotique,  gabeique et les  marchés de gré, qui se perlent de plus en plus. Voilà donc  un pouvoir pourri !
La lutte contre le terrorisme est devenue une pirouette fétiche, un fourre-tout, un foutoir pour des fraudeurs aux mains totalement baladeuses des nègres de service, bien connus, agissant dans leur rôle de pantins sur commande recommandée, à la seule fin  de  plaire à leurs maîtres.
On ne peut pas être un exemple de la république, en étant en même temps, le  président de la république et  le Secrétaire Général de son propre parti cliniquement clanique et être un démocrate. Il s’agit  tout simplement d’une insulte et d’un non sens.
On ne s’autoproclame pas le chantre de la rupture, tout en privilégiant sa propre famille immédiate, les fils et filles de son homonyme avec les placements des amis, des obligés, des beaux-pères, des beaux-frères, des belles sœurs, des courtisans, des griots de la dernière heure, entre autres, des tailleurs, à des postes stratégiques taillés sur mesure au cœur d’un état personnalisé.
On ne s’autoproclame pas le chantre d’une parodie de rupture en étant un étrange multimilliardaire en un quart de tour par des raccourcis politiques.
 Et la face cachée  de la première dame ? Elle gère elle-même en  libre cour les dossiers, diligente, manigance tout, tire les ficelles  par derrière par ce  qu’elle considère comme étant  les plus lourds, à sa propre convenance, se mêle de tout, s’adjuge tout, fait  la pluie et le beau temps,  fait ce qu’elle veut, quand elle veut comme elle veut, recrute, licencie, vire à tout vent, s’érige en tout, à sa propre convenance, selon ses pulsions.  Ce n’est pas madame Senghor, qui fut  jadis, la secrétaire du président de la république,  ne nous démentira point.  Elle a  bien payé  un lourd tribut,  pour  avoir refusé de lui rendre des comptes.  Cette dernière a été remplacée par Seynabou Doucouré,  commerçante de profession,  est la femme de Khalifa Guèye, un retraité, qui reprend du service à la direction de la statistique et de la démograhie.

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